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Macky sur le décès de Chirac: "la France et le monde entier viennent de perdre un grand homme d'Etat",

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"La France et le monde entier viennent de perdre un grand homme d'Etat", réagit le président Macky Sall sur la disparition de Jacques Chirac, décédé ce jeudi 26 septembre 2019 à l’âge de 86 ans. Le chef de l’Etat du Sénégal a présenté ses condoléances attristées à la famille du disparu à son homologue E. Macron et au peuple français.

Macky sur le décès de Chirac:


Diass : La mairie sous le viseur de l'OFNAC

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Diass : La mairie sous le viseur de l'OFNAC

Après plusieurs plaintes déposées à l'Ofnac pour décrier la gestion du maire Aliou Samba Ciss à la tête de la commune depuis 17 ans, les éléments de Seynabou Ndiaye Diakhate ont en reçu différentes plaintes à son sujet.

Après un examen de ces dossiers, les lumiers iront dans les prochains jours fouiller la gestion de l'équipe municipale, indique une source.

Pour rappel, depuis des années, plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer la mauvaise gestion du maire de Diass et compagnies. Des accusations notamment portées sur la gestion du foncier....

Jacques Chirac est mort : les réactions en Afrique

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L'ancien président français Jacques Chirac est mort ce jeudi 26 septembre 2019. Qu'ils soient politiques ou culturels, ses liens avec le continent africain étaient forts. Quelles réactions en Afrique ?
Jacques Chirac est mort : les réactions en Afrique
Les relations de Jacques Chirac et de l'ancien président gabonais Omar Bongo étaient fortes. C'est l'actuel président gabonais, Ali Bongo Ondimba qui salue donc aujourd'hui la mémoire de l'ancien chef de l'Etat français et ses liens avec le Gabon.

Le roi du Maroc Mohammed VI salue "un grand homme", "un grand ami du Maroc".

Idriss Déby, le président du Tchad, indique sur son compte Twitter : "C'est avec émoi que j'ai appris le décès de l'ancien président français Jacques Chirac. Je salue la mémoire de ce grand Homme d'État qui a beaucoup œuvré au raffermissement des relations entre la France et le Tchad. Mes condoléances à la famille du disparu et au peuple français".

"Une perte énorme pour le peuple français et le continent européen", ce sont les mots du président du Mali, Ibrahim Boubacar Keita.


Au Congo, le président Denis Sassou N'Guesso réagit par la voix de son porte-parole.

"La France et le monde entier viennent de perdre un grand homme d'Etat", réagit le président du Sénégal, Macky Sall sur son compte Twitter.


De son côté, le président du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré déplore la perte d'un "ami" et fait part de sa "tristesse".

Jacques Chirac dirigeait la France lorsque la crise en Côte d'Ivoire a commencé au début des années 2000. C'est sous sa présidence que la France détruira l'aviation ivoirienne fin 2004. La Côte d'Ivoire est alors dirigée par Laurent Gbagbo. Parmi ses opposants, le futur président de l'Assemblée nationale et futur Premier ministre Guillaume Soro, alors proche d'Alassane Ouattara, l'actuel président.

En République démocratique du Congo, l'ancien gouverneur du Katanga et opposant, Moïse Katumbi évoque un ami de l'Afrique et un homme visionnaire sur les questions environnementales.


TV5afrique

VIDEO - Serigne Mountakha Mbacké reçoit Serigne Pape Malick Sy

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En prélude à l’inauguration de la grande Mosquée Massalikoul Jinane prévue ce vendredi, le porte parole du Khalife général des Tidianes, Serigne Pape Malick Sy a effectué une visite de courtoisie au Khalif général des Mourides Serigne Mountakha Mbacké dans sa résidence sise à colobane.
Le messager de Serigne Mbaye Sy Mansour, en voyage en France, a rendu un vibrant hommage à la communauté mouride pour la réalisation de Massalikul Jinan, avant de magnifier les liens fraternels entre Serigne Touba et El Hadji Malick Sy et leurs différents héritiers. Il s’est engagé à raffermir les relations étroites entretenues par Touba et Tivaouane. Serigne Mountakha Bassirou Mbacké a apprécié à sa juste valeur ce déplacement et a prié pour son hôte.

Fissel: Le maire accusé d'avoir détourné les subventions des navétanes

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Fissel: Le maire accusé d'avoir détourné les subventions des navétanes
C'est une situation de crise qui sévit présentement entre le maire de Fissel Cheikh tidiane BA et les 9 ASC de la commune. À l'origine du clash, ces présidents de zone accusent le maire d'avoir détourné l'argent dedié à subventionner les navetanes.
Selon leur porte parole Made SENE le maire ne se préoccupent pas des jeunes. A chaque fois qu'ils l'interpellent sur cette affaire, le maire leur sert des raisons fallacieuses pour ne pas décaisser les fonds.

Ces jeunes ont contracté une dette de 500 000 F CFA juste pour démarrer les compétitions. Ils en ont profité aussi pour demander un appui au ministre Omar YOUM, pour qu'il vienne à la rescousse du navetane à Fissel.

Guédiawaye – Un homme tente de s'ôter la vie avec un revolver dans la bouche

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Guédiawaye – Un homme tente de s'ôter la vie avec un revolver dans la bouche
L’attitude suicidaire du sieur Jean Mendy, 61 ans, a suscité hier vers 08h, des réactions d’émoi et de stupeur au quartier Daroukhane de Wakhinane Nimzath, sis à Guédiawaye. Piqué par on ne sait quelle mouche, Mendy a pris un revolver et voulu mettre fin à sa vie, en se tirant une balle dans la bouche.

Grosse frayeur au populeux quartier Daroukhane de Wakhinane Nimzath, sis à Guédiawaye. Une affaire de suicide manqué par arme à feu secoue depuis hier la localité. Même si les motivations du suicidaire restent encore inconnues, force est cependant de constater que celui-ci se trouvait seul dans sa chambre au moment où il a voulu se donner la mort. Les parents du suicidaire Jean Mendy et leurs voisins n’en reviennent toujours pas et continuent à se triturer les méninges sur les véritables raisons du geste de Mendy, qui vit avec sa famille.

Mendy tente le coup seul dans la chambre ; le voisinage parle de suicide avorté par pistolet et reste prudent

Dans le quartier, les habitants évoquent avec beaucoup de circonspection l’affaire. Ils se montrent très avares en commentaires. Ils forment dans la rue de petits groupes par affinités et évitent de se faire infiltrer. Ils jouent à fond la carte de la prudence et surveillent du regard les mouvements de curieux et de passants. Mais à force de bien tendre l’oreille, l’on finit par capter quelques bribes de renseignements sur la tragédie familiale avortée au domicile des Mendy. Sans trop entrer dans les détails, des voisins expriment d’abord toute leur indignation et lâchent: «le vieux Jean Mendy a voulu mettre fin à sa vie avec un revolver. Il se trouvait seul dans sa chambre au moment de faire ça», ont laissé entendre des habitants de la localité.

Les motivations du suicidaire inconnues, les habitants peu bavards sur les détails et la santé mentale du vieux

D’autres voisins acceptent de se confier sous le sceau de l’anonymat et embouchent la même trompette de stupéfaction. Aussi, ils peinent à lever le voile sur les motivations réelles du suicidaire et lâchent ceci : «on ignore toujours les véritables raisons du geste du vieux Mendy. Mais, lorsqu’il était seul dans la chambre, il a braqué le pistolet dans sa bouche et tenté d’appuyer sur la gâchette. Nous ne savons cependant pas comment le vieil homme a été surpris sur les faits, puis empêché de commettre le pire. Il a été trouvé en détention de l’arme à feu dans la chambre.

Les gens sont vite intervenus pour le dissuader de se tirer une balle dans la bouche», ont fait remarquer nos interlocuteurs. Qui se gardent catégoriquement de se prononcer sur la santé mentale du vieil homme. «Nous ignorons vraiment si le vieux Mendy jouit ou pas de toutes ses facultés mentales. En tout cas, il vit chez lui avec les membres de sa famille dans le quartier», ont soutenu les habitants anonymes.


Mendy évacué à l’hôpital Fann ; le revolver remis à la division de la police technique et scientifique pour expertise

Alertés vers 08h, les limiers du poste de police de Wakhinane Nimzath ont procédé au constat des faits et récupéré le revolver, avant de le remettre à leurs collègues de la division de la police technique et scientifique pour les besoins d’une expertise. Jean Mendy a été évacué au centre hospitalier universitaire (Chu) de Fann/Dakar par les sapeurs-pompiers de Guédiawaye. Une enquête est ouverte.

VIDEO - Regarder comment c'était difficile pour Me Abdoulaye WADE d'accéder au khalif.... (Des coups de matraques enregistrés)

Inauguration de la mosquée "Massalikoul Djinaane": Deux maires gabonais à Dakar

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Mbackiyou Faye, maitre d’oeuvre de la construction de la mosquée «Masalikul Jinaan » annonçait, il y a quelques jours, le cachet international qui sera donné à l’inauguration de l’imposante bâtisse. Le ballet d’autorités a commencé.
Inauguration de la mosquée
Déjà, les maires des villes gabonaises de Mayumba et Lambéréné ont rejoint la capitale sénégalaise. Ces deux villes constituent deux lieux de passages de Cheikh Ahmadou Bamba lors de son exil.

Les édiles de Mayumba et Lambaréné ont d’ailleurs été reçus par leur homologue, Sokham Wardini, maire de Dakar. Avec son équipe du bureau municipal, elle a offert, ce jeudi, un dîner à ses hôtes de marque, à la veille de l’inauguration de la mosquée.

Mayumba est une petite ville côtière située au sud du Gabon dans la province de la Nyanga. Elle est le chef-lieu du département de Basse-Banio.

Lambaréné, dont le nom provient du galoa et signifie « Essayez donc ( de nous attaquer) », est la septième ville du Gabon. Elle se situe à 250 km (par la route) au sud-est de Libreville, sur les rives de l’Ogooué. C’est aussi le chef-lieu provincial et le centre administratif, économique et médical de la province du Moyen-Ogooué.


Massalikoul Jinane : Macky Sall et Me Abdoulaye Wade réunis (photos)

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Massalikoul Jinane : Macky Sall et Me Abdoulaye Wade réunis (photos)
C’est une des images marquantes de cette journée symbolique. A l’heure où l’imam ratib de la mosquée Massalikoul Jinane fait son sermon du vendredi, les deux hommes forts de la République sont apparus pas loin l’un de l’autre. En effet, ils sont séparés par Serigne Mountakha Mbacké qui, comme Macky Sall, est assis à même le sol tandis que Me Abdoulaye Wade est sur une chaise, sans doute pris par l’âge.

senenews

Massalikoul Jinane : Macky Sall et Me Abdoulaye Wade réunis (photos)

Massalikoul Jinane : Macky Sall et Me Abdoulaye Wade réunis (photos)

Massalikoul Jinane : Macky Sall et Me Abdoulaye Wade réunis (photos)

Serigne Mountakha à Macky et Wade : "Si vous allez au-delà de vos divergences..."

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C’est un discours unificateur que vient de prononcer Serigne Mountakha Mbacké. Le Khalif général des Tidianes a ainsi invité Macky Sall et Me Abdoulaye Wade à aller au-delà de leurs divergences.

La mosquée Massalikoul Jinane vient de vivre sa première prière de vendredi, assistée par le khalif général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, Macky Sall et l’ancien chef d’Etat, Me Abdoulaye Wade.

Une journée symbolique qui a vu Serigne Mountakha Mbacké inviter Me Abdoulaye et Macky Sall à l’union. « Si vous allez au-delà de vos divergences, le pays en sera gagnant. Me Abdoulaye Wade est le symbole d’un père, Macky Sall représente un fils. Ils ont ainsi la posture de tout un pays », a ainsi réagi le khalif général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

Senenews.com

Anniversaire: Le cadeau spécial de Sadio Mané à Gana Guèye

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Sadio Mané et Gana Guèye, c’est deux joueurs qui aiment à se chambrer en dehors des terrains. On se rappelle de la Coupe d’Afrique où le milieu du PSG avait «interdit» à Sadio de tirer les penalties après deux tentatives ratées. Cette fois-ci, c’est Sadio qui prend sa petite revanche. Il a profité de l’anniversaire d’Idrissa, fêté ce 26 septembre, pour révéler son surnom: «Kouss». Et comme le veut la tradition, il lui a offert un cadeau orignal (voir photo).
Anniversaire: Le cadeau spécial de Sadio Mané à Gana Guèye

Anniversaire: Le cadeau spécial de Sadio Mané à Gana Guèye

VIDEO - Massalikoul Jinane: Macky fait un pas vers Wade…

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VIDEO - Massalikoul Jinane: Macky fait un pas vers Wade…
Macky Sall et Abdoulaye Wade se sont-ils réconciliés ? Il est très tôt pour répondre par l’affirmative. Ce qui est sûr cependant c’est que les deux hommes se sont rapprochés comme il ne l’ont plus été depuis le 2 avril 2012, jour de la passation de pouvoir au palais de la République.

Après le message de réconciliation lancé par le Khalife général des mourides suivi de Pape Malick Sy, le Président Macky Sall s’est levé puis s’est dirigé d’un pas vers son prédécesseur Abdoulaye Wade, assis sur une chaise. Il est resté debout pendant quelques minutes mais il n’est pas allé plus loin…pour lui serrer la main.


Mondial 2022: Les supporters transgenres et homosexuels seront les «bienvenus» au Qatar

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La gestion de la chaleur n’est pas le seul défi pour les organisateurs de la Coupe du monde au Qatar. Loin de là. Le respect de droits fondamentaux fait également débat alors que l'homosexualité est par exemple interdite dans l’émirat du Golfe.
Mondial 2022: Les supporters transgenres et homosexuels seront les «bienvenus» au Qatar
Nasser Al-Khater, responsable de l’organisation de l’événement, a tenu à rassurer le monde du football. Les supporters transgenres et homosexuels seront les «bienvenus» au Mondial 2022, a-t-il déclaré cette semaine, précisant cependant que les coutumes locales devront être respectées.

«Le Qatar est l’un des pays les plus sûrs au monde»

L’homosexualité est interdite au Qatar et la loi n’est pas claire sur les personnes transgenres. Ce sujet tabou est rarement abordé dans la vie publique ou par les autorités de cet émirat du Golfe conservateur.

«Je tiens à assurer à tous les fans, quel que soit leur genre, leur orientation (sexuelle), leur religion ou leur race, que le Qatar est l’un des pays les plus sûrs au monde et qu’ils seront tous les bienvenus ici», a déclaré Nasser Al-Khater. «La sécurité de tous les supporters est de la plus haute importance pour nous», a-t-il insisté.

«Les manifestations publiques d’affection sont désapprouvées»

Il a toutefois prévenu que «les manifestations publiques d’affection sont désapprouvées». Et précisé également que «l'alcool ne fait pas partie» de la culture du pays.
 

«Pour la Coupe du monde, nous voulons nous assurer que (l’alcool) soit accessible aux fans qui viennent de l’étranger et qui veulent prendre un verre», a-t-il néanmoins ajouté. Il a évoqué des «endroits désignés», en plus de la petite dizaine d’hôtels de luxe autorisés à servir des boissons alcoolisées et où le prix de la pinte de bière avoisine les 10 euros.

Un million de supporters attendus

Selon lui, «un peu plus d’un million de supporters» se rendront dans le pays du Golfe pendant le Mondial, le premier organisé par un Etat arabe et du Proche-Orient. Estimant que «le hooliganisme dans les Coupes du monde a considérablement diminué», Nasser Al-Khater a assuré que le pays avait la capacité d' «assurer la sécurité» de la compétition.

«Ce que nous avons ici, c’est la possibilité d’altercations entre les fans à cause de la taille du pays, avec de nombreux supporters concentrés dans le même périmètre», a-t-il ajouté.

L’organisation de l’un des plus importants événements sportifs au monde est un enjeu majeur pour le Qatar, dans une région secouée par les tensions et où l’émirat est lui-même soumis au boycott de ses principaux voisins qui l’accusent de soutenir les islamistes et de liens avec l’Iran, ce que Doha nie.

A Kaolack, Bira Sène accusé par 8 membres du CRG d'avoir utilisé le comité à des fins personnelles

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Le président du Comité de gestion de la lutte de Kaolack ne s'entend plus avec ses collaborateurs. Une dizaine d'entre eux l'accusent d'utiliser le Comité de gestion à des fins personnelles.
A Kaolack, Bira Sène accusé par 8 membres du CRG d'avoir utilisé le comité à des fins personnelles
Ce malentendu entre le Comité de gestion de la lutte et son responsable Bira Sène au niveau de Kaolack fait suite à une pétition conçue par huit de ses membres pour dénoncer vigoureusement sa gestion.

Dans cette pétition rendue publique, ils ont dit: " Il nous a été donné de constater, nous pétitionnaires, tous membres du comité régional de gestion de la lutte de Kaolack, que depuis bien des années, le président confond ses poches et le compte du CNG."

Toujours dans cette lettre de contestation, il a été mentionné: "Nous avons noté une absence de transparence comptable et financière, un compte trafiqué, des ressources distraites, des séries de galas clandestins etc... Et en plus de cela, les droits dus au CRG lors des galas de lutte ne sont pas versés à la trésorerie", poursuivent-ils.

Quant au président du CRG de Kaolack, M. Bira Sène, il a balayé d'un revers de main toutes ces accusations: "Chaque année, on fait une réunion de bilan. Ils sont de mauvaise foi. Concernant les gains qui sont obtenus des DCE, ils sont partagés avec tous les membres de la délégation. Chacun reçoit sa part avant qu'on ne quitte le DCE…", a-t-il répondu. Affaire à suivre.

URGENT - Abdoulaye Wade et Macky Sall réconciliés (Vidéo)

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Abdoulaye Wade et Macky Sall se sont réconciliés. Après la grande prière du vendredi, les deux hommes ont été reçus en privé par le Khalife général des Mourides dans l’enceinte de la mosquée. Quelques minutes après l’entretien, ils sont sortis main dans la main accompagnés de Serigne Mountakha Mbacké. Puis, l’ancien président de la République et son successeur ont levé leurs mains en signe de paix.


Mali: Sept soldats tués dans une attaque djihadiste

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Une embuscade tendue, ce jeudi 26 septembre, contre un convoi militaire, dans le centre du pays, a coûté la vie à 07 soldats maliens.
Mali: Sept soldats tués dans une attaque djihadiste
Les soldats qui escortaient un camion rempli d’engrais pour les paysans, auraient sauté sur une mine posée par de présumés djihadistes. Ensuite, il s’en est suivi de tirs contre le convoi.

Aucune victime n’a été répertoriée du côté des assaillants, mais en ce qui concerne les soldats, en plus des morts, il y a eu plusieurs blessés, des véhicules ont été calcinés et des armes ont été emportés, rapporte rfi.fr.

S’attaquer à Marième, c’est se tromper de cible

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Lorsque j’étais actif dans l’arène politique, comme membre de l’Opposition, président du Mouvement citoyen «Jubanti Sénégal», ma virulence contre le Gouvernement était inégalable. J’étais allergique à la peur, à la compromission, et ma place était toujours en tête de peloton, lorsque les troupes menaient des combats au front. Ce courage légendaire et cette ténacité inflexible avaient séduit mes alliés, qui avaient fait de moi le porte-parole de l’Opposition sénégalaise, au terme d’une réunion suivie d’une conférence de presse. Mamadou Mouth BANE avec leral.net
S’attaquer à Marième, c’est se tromper de cible
Je n’ai jamais été un opposant de salon ou de réseaux sociaux. Toutefois, j’avais toujours fait la part des choses entre le président de la République, Macky Sall, et son épouse, Marième Faye Sall. Cette dernière n’est pas dans le jeu politique. Lorsque j’ai démissionné de la scène politique, pour reprendre ma profession de journaliste, je me suis évertué à rester neutre dans le traitement de l’information, indépendant et équidistant vis-à-vis des groupes en compétition politique.

Je ne suis ni de l’Opposition, ni du Pouvoir. Je me suis affranchi de toute forme de sentiment partisan. En tant que Directeur de publication de DakarTimes, je n’attends rien du Pouvoir pour payer mes charges mensuelles : salaires, loyer, téléphone, carburant, frais d’impression. Si j’avais accepté qu’une autorité étatique prenne en charge ces charges liées au fonctionnement de mon journal, DakarTimes serait un organe au service de l’APR.

Mais, également, accepter qu’un opposant finance mon journal, c’est faire de ce canard un outil de combat politique pour l’Opposition. Ainsi, nous perdrions toute notre crédibilité, aux yeux de l’opinion. C’est le lieu de révéler, alors, qu’aucun opposant n’a jamais octroyé un sou à DakarTimes, le Pouvoir non plus.

En effet, nous avons choisi l’indépendance pour avoir la liberté d’informer juste, sans influence de ces deux camps qui s’affrontent sur le terrain politique. DakarTimes ne sera jamais un journal partisan. Nous n’avons aucun compte à rendre à qui que ce soit, si ce n’est notre conscience professionnelle, l’éthique et la déontologie. N’en déplaise aux mauvais esprits partisans et égocentriques.

Il est donc facile de comprendre pourquoi, après avoir dénoncé le Gouvernement, le lundi, DakarTimes applaudit des deux mains, lorsque Macky Sall enregistre de bons résultats, le mardi. Notre liberté nous inspire, également, des critiques contre l’Opposition, lorsqu’elle fait fausse route. Nous avons choisi l’indépendance, parce que nous sommes jaloux de notre liberté. Nos seuls maîtres demeurent ces Sénégalais apolitiques et non partisans.

Ne lisez pas DakarTimes, si vous êtes politiquement colorés. Nous n’en souffrirons point.
Cette liberté si précieuse et fondamentale pour tout journaliste, nous amène à décrier, de la manière la plus ferme, les agissements d’un groupuscule de Sénégalais, contre la première Dame Marième Faye Sall, aux États-Unis. Voilà, malheureusement, ce comportement irresponsable et cette indiscipline que ces quelques opposants proposent aux Sénégalais comme alternatif. Heureusement, tous les opposants n’acceptent pas de descendre dans les caniveaux, par respect à leur personne, d’abord, et au peuple, ensuite.

Lorsqu’on n’a pas les moyens d’atteindre le chef de famille, on s’en prend maladroitement à ses enfants ou à ses proches. Qu’est-ce que Marième Faye Sall a commis comme faute, pour que ce groupe tente de s’en prendre à elle ? Qu’est-ce qui peut justifier cette méchanceté étouffante, qui gonfle le cœur de ces activistes haineux ? Quelle est la responsabilité de Marième Faye Sall dans la gestion de l’État ?

Chacun est libre de manifester et d’afficher ses sentiments sur la marche du Sénégal, mais soyons juste. La satisfaction n’est jamais générale, car lorsqu’une partie applaudit, l’autre désapprouve. C’est de la sorte que s’exprime la liberté individuelle pour chaque citoyen. La Première Dame n’a aucun rôle dans le fonctionnement de l’État. En plus, on n’a pas besoin d’exposer ses divergences politiques contre son époux en terre américaine; cela ne produira aucun remède efficace.

S’attaquer à Marième, c’est se tromper de cible. Car, comme toute bonne épouse, elle accompagne et aide son conjoint dans la mission que lui a confiée le peuple sénégalais, en 2012, et renouvelée en 2019. Marième Faye incarne la femme sénégalaise dans toute sa grandeur et sa noblesse. C’est une femme relaxe, naturelle, dont l’image renvoie à celle de nos sœurs, de nos femmes aux foyers, de nos mamans.

Dans les rues de Dakar, dans les marchés et lors les cérémonies familiales, elle est adulée par les populations qui se bousculent pour lui serrer la main. Les agissements malveillants de cette petite horde de mécontents ne pourront jamais entacher son honorabilité, ni corroder l’estime que les Sénégalaises et les Sénégalais nourrissent à son égard.

Le statut de Première Dame est une Institution, incarnée jadis par Colette Senghor, puis par Elisabeth Diouf, ensuite Viviane Wade et, aujourd’hui, par Marième Faye Sall. Nous lui devons respect, comme nous souhaitons être respectés. Seuls les esprits aveuglés par la haine s’en prennent aux femmes avec une violence mal placée et une méchanceté suffocante.

C’est avec la même fermeté que je défendrai la Première Dame, qu’elle s’appelle Mme Ndèye Penda Tall Seck (Idrissa Seck), Mme Adji Soukèye Niang (Madické Niang), Mme Anna Diamanka (Ousmane Sonko), Mme Bilo Wane Mbaye (Abdoul Mbaye) etc. Pourquoi devrait-on s’attaquer aux épouses de ces opposants qui sont hors du jeu politique. Vous avez tort de vouloir mêler Marième Faye dans vos histoires politiques. Je le dis tout haut.

La maladresse de l’acte posé par ce groupe de Sénégalais contre Marième Faye Sall est un signe de faiblesse, une preuve d’impuissance politique et une incapacité grandissante face à son mari Macky Sall, qui semble imperturbable. C’est cela la vérité, car le débat politique ne peut pas et ne doit pas se nourrir de haine, ni d’agressivité. Mais, la part de certains, c’est d’insulter, faute d’avoir des d’arguments solides à apporter dans le débat national.

Les acteurs politiques sénégalais doivent tous retourner à l’Ecole du Parti pour se former, car la majeure partie est incapable d’entretenir un véritable débat de fond autour des questions de développement économique et social.

Avec ses «Questekki», Mamadou Lamine Diallo se démarque du lot en posant des questions économiques pertinentes. Le reste de la troupe se dispute le trophée du meilleur insulteur, sur les plateaux radios, télévisions et dans les réseaux sociaux. En dehors des invectives, quelle est la réponse concrète que proposent certains opposants, face aux choix économiques de Macky Sall ?

Critiquez-le dans son programme, ses réalisations, c’est votre droit. Mais proposez au moins aux Sénégalais un programme alternatif meilleur que le PSE. Véritablement, cette classe politique sénégalaise n’a pas la maturité de cette population qu’elle prétend vouloir diriger.
Aujourd’hui, le débat politique devrait porter sur les dernières conclusions du FMI, le bilan du Gouvernement actuel, la situation dans le monde rural, les inondations et les mesures prises par le Gouvernement pour assister les populations, la sécurité dans le Sahel, l’emploi des jeunes, l’utilisation des retombées du pétrole et du gaz, le contenu local, la transparence dans la gestion des affaires publiques, la justice sociale, la planification économique etc.

Mais, malheureusement, nous vivons dans un pays où le coefficient intellectuel rase le sol. Plus grave encore, la régression intellectuelle constitue la véritable menace pour le devenir de ce pays, du fait qu’elle freine l’initiative et propulse des incompétents au-devant de la scène.

Il n’y a plus de sérénité dans les rapports entre Pouvoir et Opposition. Ils se regardent en chiens de faïence. Chacun prie pour l’échec de l’autre. Or, si le président de la République échoue, c’est le tout le pays qui sombre.

Nos acteurs politiques ne discutent jamais de programme politique, parce qu’ils savent que le niveau intellectuel trop bas des populations ne permet pas de leur exiger des débats de fond sur leurs choix stratégiques. Ils font du saupoudrage politique. La critique et les injures sont devenues des armes dans cette jungle. Ne faudrait-il pas donner raison à celui qui disait que «nous n’avons que la classe politique que nous méritons» ?

Affrontez-vous autour de vos offres programmatiques, des idées. Nous avons assez souffert de vos querelles inutiles. L’immaturité de cette classe politique constitue un frein au développement de ce pays. Ce n’est pas en offensant Marième Faye Sall que les Sénégalais vont vous accorder leur confiance. Non, c’est par la pertinence de vos programmes que vous arriverez à séduire les électeurs.

L’histoire a montré qu’à chaque fois que l’Opposition exporte la bataille politique à l’extérieur, c’est parce qu’elle est dominée à l’intérieur. L’on aura constaté qu’elle n’a pas muri depuis les huées contre Abdou Diouf, devant l’Assemblée nationale française. Elle l’avait répété contre Me Abdoulaye Wade, aux États-Unis, lors d’une Assemblée générale des Nations-Unies et, aujourd’hui, avec Macky Sall. C’est illusoire de vouloir masquer sa faiblesse électorale par des actes de violence.

Marième Faye n’est pas le problème du Sénégal. Non ! Ce pays souffre de l’immaturité et de l’inconséquence de sa classe politique, incarnée par des hommes inconscients de leur responsabilité face à l’histoire. Nous avons perdu trop de temps. Le Sénégal est indépendant depuis 59 ans et l’époux de Marième Faye n’a fait que 7 ans à la tête du pays. Il est injuste de vouloir lui imputer l’échec de l’ensemble des politiques publiques, depuis 59 ans.

Pensez-vous qu’on peut développer ce pays dans ces conditions, avec ces contradictions internes trop profondes qu’aucun pays au monde ne pourrait supporter ? Dans ces conditions, ce serait un miracle de voir ce pays décoller. Ils ne sont plus dans l’adversité politique sereine et positive, puisqu’ils se regardent en ennemis. Or, la haine n’a pas sa place dans une œuvre de construction nationale.

Le Sénégal a besoin de l’ensemble de ses fils. Tant qu'on ne se mettra pas autour d'une table pour se dire la vérité, dans le blanc de l’œil, ce pays sera toujours le dernier de la classe, quelle que soit la pertinence des programmes de Gouvernement : Plan Sénégal Emergent (PSE), Stratégie de Croissance accélérée (SCA) ou le Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP).

Pendant qu’on y est, qu’est-ce qui devrait empêcher Me Abdoulaye Wade et à son fils, Macky Sall, de se réconcilier à l’occasion de l’inauguration de la mosquée de Massalikoul Jinane ? Cette réconciliation est devenue une demande sociale. Voir les opposants et le Président Macky Sall s’asseoir côte à côte, pour discuter de l’avenir du Sénégal, devrait être un fait banal, normal, comme cela se passe dans d’autres pays. Sont-ils plus patriotes que vous ?

D’ailleurs, vous verrez tous les acteurs politiques français se réunir autour de la dépouille de Jacques Chirac pour lui rendre l’hommage qu’il mérite. Voilà un bel exemple qu’il faut copier.
En Afrique, les pays qui ont connu la guerre tentent de sortir la tête de l’eau, grâce à un sursaut national et à une conscientisation générale des masses, qui ne souhaitent plus revivre des tensions politiques connues dans le passé. Le Rwanda en est une illustration.

Mais, les acteurs politiques sénégalais, qui ignorent les souffrances telles que la guerre, la famine, le terrorisme, la guerre civile, se mettent à polluer l’atmosphère par des menaces de déstabilisation du pays. Soyons responsables ! Le feu n’est pas un jouet ; Laisser Marième Faye Sall tranquille !

On a un problème de conscience citoyenne, de crise de valeurs politiques, disons de citoyenneté tout court, dont les conséquences malheureuses tapent à nos portes, chaque matin. Voyez ce que la communauté mouride a réalisé sur fonds propres. Donner autant de moyens financiers à un homme politique, il sera incapable de réussir cette réalisation grandiose comme la mosquée Massalikoul Jinan. Au contraire, il va surfacturer ou, tout simplement, détourner les fonds. A qui la faute ?

Je n'ai pas peur de dire la vérité qui vous offense, celle qui vous rappelle que vous êtes sur le mauvais chemin, celle qui violente votre conscience, parce que vous avez choisi d'être en marge des belles règles de la citoyenneté agissante. Que chacun assume ses actes, et l'histoire sera écrite sans rature. Il est impossible d'avoir une société sans couture, lorsque la méchanceté, la haine, la rancœur émaillent nos actes de tous les jours.

Regardons nous dans la glace, interpellons nos consciences et assumons nos responsabilités dans tout ce qui se passe dans ce pays. Ne détournons pas nos regards devant l'ampleur des dégâts que nous-mêmes, avons causés. Des étrangers ne viendront jamais bâtir ce pays à notre place. Faisons notre propre autocritique, notre introspection, comme au lendemain du naufrage du bateau "Le Joola".

Depuis lors, qu'est-ce qui a changé dans nos comportements ? Qu’avons-nous appris de cette leçon si douloureuse, pour changer nos comportements sur les routes, dans les lieux publics, dans nos maisons, sur la route du Magal ou du Gamou, dans nos lieux de travail ? Alors, vous avez tort de vous en prendre à Marième, qui n'est qu'une victime de votre refus d'assumer vos responsabilités.

La reconstruction nationale ne sera pas facile, parce que l'indiscipline triomphe à tous les niveaux, dans ce pays. Or, la discipline est la première vertu, la sève nourricière de tout projet national de redressement d’un pays.

«Même mort, l’ennemi a droit au respect», a dit Jean Marie Le Pen, en rendant hommage à Chirac.





Mamadou Mouth BANE avec leral.net
 

A Sédhiou, les populations exigent la libération d'un "kankourang"

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Dans la région de Sédhiou, les populations ont battu le macadam ce jeudi pour exiger la libération d'un "kankourang", arrêté samedi dernier pour avoir violenté une sage-femme.
A Sédhiou, les populations exigent la libération d'un
Dans la région de Sédhiou, les population ont battu le macadam ce jeudi pour exiger la libération d'un "kankourang", arrêté samedi dernier pour avoir violenté une sage-femme.

C'est un personnage mythique recouvert des fibres extraites d'écorces d'arbre rouges. Très craint, voire violent, il parcourt les rues en terrorisant la population pour protéger les jeunes circoncis pendant leur initiation.

VIDEO + PHOTOS : Me Abdoulaye WADE en toute complicité avec Macky SALL

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C'était un moment inoubliable et symbolique ! Toute la communauté se souviendra de ce moment important. Le président Macky SALL en toute sympathie avec Maître Abdoulaye WADE, incroyable mais vrai ! Constatez par vous même !
VIDEO + PHOTOS : Me Abdoulaye WADE en toute complicité avec Macky SALL

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Wade fait la paix avec Macky Sall grâce à Serigne Mountakha Mbacké

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