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Investis de Bby de Tivaouane pour le HCCT: Le choix porté sur Diakhou Ndiaye crée une vive polémique à Tivaouane

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La liste des investis de la coalition Benno Bokk Yaakaar de Tivaouane, pour l’élection au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), commence à faire grincer des dents. C’est en effet le choix de Diakhou Ndiaye de Mékhé qui crée la polémique. Lors d’un point de presse, Mounina Kounta, première adjointe au maire de Méouane, s’est vivement insurgée contre un tel choix, rapporte L'As.
Investis de Bby de Tivaouane pour le HCCT: Le choix porté sur Diakhou Ndiaye crée une vive polémique à Tivaouane
Mounina Kounta, première adjointe au maire de Méouane, est montée au créneau pour dénoncer l’investiture de Diakhou Ndiaye de Mékhé par la coalition Benno Bokk Yaakaar en vue des élections pour le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). C’était lors d’un point de presse tenu à Ndankh. En effet, c’est Moustapha Sylla maire de Niakhène qui conduit la liste, suivie de Diakhou Ndiaye, tandis que les suppléants sont Mouhamed Rassoul Diagne de Tivaouane et Mounina Kounta. Cette dernière estime que le choix porté sur Diakhou Ndiaye pose problème, d’autant plus qu’au « vu et au su de tout le monde, elle a fait sanctionner la liste BBY à Mékhé, lors des dernières élections législatives ».

Il s’y ajoute, à ses yeux, que les responsabilités politiques ne s’héritent pas, comme cela semble se passer dans le cas d’espèce. Pour étayer son propos, elle explique : « Diakhou Ndiaye qui est investie sur ladite liste est la sœur germaine de Mariama Ndiaye dont le mandat auHCCT s’achève. C’est donc comme s’il y avait un passage de témoin entre deux sœurs ». Sur le registre du poids politique, elle a encore indexé la toute nouvelle investie, pour révéler que lors de la formation du bureau du conseil municipal de Mékhé après les élections locales, elle a été battue à plate couture par une dame du Parti Socialiste (PS), qui est ainsi devenue adjointe au maire. « En ce qui me concerne, je suis sur le terrain depuis 2012, avec une base solide composée de groupements d’au moins 7 500 femmes », a-t-elle déclaré pour signifier que le choix devait porter sur elle.

Pour elle, l’association Jambaari Cadior, qui regroupe des adjointes aux maires, est fortement déçue et elle dit à haute et intelligible voix : « tout sauf DiakhouNdiaye ». Elle a cependant réitéré son engagement derrière son maire Cheikh Sall pour travailler au progrès de la commune de Méouane et du département de Tivaouane. LE MAiRE DE MEOUANE DESAVOUE SON ADJOiNTE La déclaration de Mounina Kounté a suscité une vague de réactions dans le département de Tivaouane où elle a été commentée jusque dans les chaumières, avec des avis divergents. Mais Cheikh Sall, Maire de Méouane, a vigoureusement condamné ces propos. «Je ne suis ni de près, ni de loin mêlé à cette déclaration qui n’engage que son auteur ». Telle est sa réaction à la suite de la sortie de sa première adjointe. Selon lui, il n’a pas été informé de cette sortie et il désavoue sans ambages cette position affichée par Mounina Kounta. « J’apprécie totalement les choix opérés par la coalition Benno Bokk Yaakaar, en les personnes de Moustapha Sylla maire de Niakhène et Diakhou Ndiaye de Mékhé, et je m’investirai sans aucune réserve et comme d’habitude, pour faire triompher la liste. Je demande à tous les militants de rester mobilisés et fidèles au parti et d’apporter leur soutien total aux responsables qui ont été choisis», a-t-il laissé entendre.


Conseil municipal Dakar-Plateau: Taraf Samir, le dernier des Mohicans Libanais, non Investi

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Conseil municipal Dakar-Plateau: Taraf Samir, le dernier des Mohicans Libanais, non Investi
D'aprés LeTémoin, depuis la création de la commune d’arrondissement de Dakar-Plateau en 1996, les Sénégalo-libanais ou Sénégalais d’origine libanaise étaient toujours investis en bonne place sur les listes du parti au pouvoir à l’occasion des élections municipales. Depuis le départ des commerçants et négociants bordelais (France) à la fin du 19e siècle, les libanais de Dakar symbolisent le brassage entre les populations autochtones et les hôtes « étrangers » qui vivent parmi nous.

Un brassage matérialisé par la présence de « Libanais » comme conseillers municipaux à la mairie de Dakar-Plateau successivement dirigée par Abdoulaye Makhtar Diop, Fadel Gaye et Alioune Ndoye. Hélas, cette belle tradition a pris fin lors des dernières élections locales, celles de janvier 2022, où aucun « Libanais » n’a élu ou réélu conseiller municipal de Dakar-Plateau dirigé par le maire Alioune Ndoye. Devenu jusque-là le doyen des conseillers municipaux de Dakar-Plateau, Hajj Taraf Samir, âgé de 89 ans, n’a pas été réinvesti. Considéré comme la « mascotte » municipale de Dakar-Plateau par « Le Témoin » quotidien, doyen Hajj Taraf Samir est le dernier des mohicans Libanais du centre-ville de Dakar.

Se sentant sans doute « indésirables » ou « rejetés », nombreux sont les sénégalo-libanais qui se sont abstenus de voter lors des législatives 2022 remportées par le maire Barthélémy Dias de l’intercoalition Yaw-Wallu. Inutile de dire que leur abstention a été largement défavorable au maire Alioune Ndoye quand on sait que cette communauté vote généralement pour le parti au pouvoir.

En tout cas, que ce soit pour la mairie de Dakar-Plateau ou à celle de la ville de Dakar, les Sénégalais d’origine libanaise y ont toujours été bien représentés à travers d’illustres conseillers municipaux comme Issam Omaïs, qui est d’ailleurs un Haut conseiller des collectivités territoriales sortant, ou encore Fayez Bourgi, qui fut un grand militant du Parti socialiste. En plus d’avoir été un colonel de réserve de l’Armée nationale. Sans compter Farès Attyé, l’un des rares sinon le seul « Libanais » à s’être aventuré dans la presse et qui, sans avoir été élu conseiller, n’en a pas moins animé un comité du Parti socialiste. Toute cette belle période a pris fin, hélas, et ce bel acquis remis en question avec l’éjection des conseillers municipaux « libanais » du conseil municipal de Dakar-Plateau et aussi de celui de la Ville ! Il faut dire quand même que l’ancien footballeur Abdallah Sahli, investi sur la liste de Benno à la 42ème place, n’a pas été élu du fait de l’ouragan Yaw qui a soufflé sur Dakar-Plateau comme sur la majorité des grandes villes du Sénégal

Inondations à Touba: Un mort et des dommages enregistrés

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Inondations à Touba: Un mort et des dommages enregistrés
Après les maisons englouties dans la cité de Touba, le premier cadavre est repêché à Darou Rahman. Il s’agit d’un garçon âgé de 13 ans qui a été repêché dans les eaux pluviales.

Mais aussi, plusieurs champs ont été endommagés par les inondations. Selon les informations des hectares de terres cultivées sont abîmés. Les familles sinistrées sont obligées de quitter leurs maisons à quelques jours du grand Magal de la cité religieuse.

Le ministre de l’intérieur Félix Antoine Abdoulaye Diome qui a effectué une visite de terrain a promis des mesures dans le cadre du plan Orsec.

Ouakam/Affaire de l'homme qui a détruit les meubles et matériels de maison: Sa femme le trompait (source)

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Ouakam/Affaire de l'homme qui a détruit les meubles et matériels de maison: Sa femme le trompait (source)
Dans une vidéo qui circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, on voit un homme avec une machette, détruire les meubles et matériels de maison. Interrogée par nos confrères, son ex femme a donné les raisons qui ont poussé cet homme à réagir de la sorte. Une version démentie par une source de leral.

A en croire, notre source, sa femme le trompait avec un autre, la dame avait même pris un appartement meublé avec un salon de massage à l'intérieur pour son amant. "Elle a offert la voiture de son fils à son copain et le rejoignait à Touba et Saly. C'est ce qui a poussé son mari à la répudier et à détruire les meubles et matériels de maison", révèle-t-elle.

Revalorisation salariale : Des agents municipaux de Saint-Louis en sit-in

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Revalorisation salariale : Des agents municipaux de Saint-Louis en sit-in
Les agents municipaux de Saint Louis, ont organisé, hier, un sit-in devant l’hôtel de ville de la dite région pour réclamer une revalorisation du traitement salarial. Après les fonctionnaires, les municipaux disent qu’il ne doit pas y avoir de discrimination dans le traitement des agents de l’Etat et ceux des collectivités territoriales.

En s’adressant à la presse, Talam Fall président de l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales de Saint-Louis déclare « Nous ne pouvons plus supporter le fait que les travailleurs des collectivités locales soient marginalisés et laissés en rade, dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie et de travail des agents de l’Etat, c’est une injustice et une pratique discriminatoire manifestes » dénonce le syndicaliste en chef avant d’inviter le ministre des Collectivités territoriales de tout mettre en œuvre en vue de permettre aux agents municipaux de bénéficier dans les plus brefs délais des augmentations de salaires au même titre que les fonctionnaires. Et Talam Fall jure que si rien n’est fait d’ici à deux semaines, ils passeront à la vitesse, pardon à la « municipalité » supérieure !

Téléphonie mobile: Expresso renonce au licenciement des 50 agents

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Téléphonie mobile: Expresso renonce au licenciement des 50 agents
Finalement, la direction générale de l’opérateur de téléphonie mobile Expresso a renoncé au licenciement de 50 employés sénégalais. L’annonce a été faite par le ministre de l’Economie numérique et des Télécommunications, M Yankhoba Diattara. Pour rappel, les travailleurs ont manifesté ce lundi pour dénoncer ce licenciement « abusif » par la société Expresso, filiale de l’opérateur soudanais Sudatel. Ce lundi, à l’appel du syndicat Unsas et des délégués du personnel, un sit-in avait été organisé devant le siège de la société à Sacré-Cœur III, en face de la VDN.

La direction de l’opérateur avait pris prétexte de difficultés économiques pour annoncer un plan social prévoyant le licenciement de 50 travailleurs. Mais ce qui avait mis le feu aux poudres, c’est l’intrusion d’une partie des employés dans le bureau du directeur général qui avait été conspué et quelque peu malmené. Au lendemain de cette action, Expresso avait fait servir à 36 employés, par le biais d’un huissier de justice, des lettres de licenciement. C’est dont cette mesure qui vient d’être rapportée suite à l’implication du ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique et aussi intermédiation de l’ARTP. Tout est bien qui finit bien donc et le réseau est rétabli entre direction générale et employés d’Expresso. Allô, le 70 ?
Le Témoin

Un malfrat lynché à mort à Liberté 5 : Son gang se venge et saccage 18 véhicules…

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Un malfrat habitant à Liberté 5 a été lynché à mort hier. Le sieur Ndiaga dont la mère réside à Liberté 5 a subi la vendetta d'un groupe de jeunes. Ces derniers ont pourchassé la victime jusqu'à Liberté 5 où ils l’ont attaché à un poteau pour le tabasser. Grièvement blessé, Ndiaga s'est affalé par terre avant de rendre l'âme. L’As
Un malfrat lynché à mort à Liberté 5 : Son gang se venge et saccage 18 véhicules…
Selon nos sources, les faits se sont produits hier, à l'aube. Ce sont des riverains qui partaient à la mosquée pour prier qui ont saisi le délégué de quartier. L'auxiliaire de l'Etat a, à son tour, saisi les limiers de Dieuppeul qui ont câblé les sapeurs-pompiers. Les flics ont effectué une réquisition pour l'évacuation du corps sans vie de la victime dans une structure sanitaire de la place pour les besoins de l'autopsie.

Restons à Liberté 05 pour dire que les populations de ce quartier ont assisté hier à une scène de violence inouïe. Car les membres du gang de Ndiaga Ndiaye qui ont été mis au parfum du lynchage à mort de leur ami, s'est déployé à Liberté 05 vers 10h pour venger la victime.

Ils ont vandalisé 18 véhicules et saccagé boutiques, salons de coiffure et vitres de balcons. Les victimes de ce vandalisme ont commis un huissier de justice pour former un collectif et déposer une plainte.

Déjà le commissaire de police de Dieuppeul, appuyé par des éléments du Groupement mobile d'intervention, a déployé un dispositif sécuritaire dans le quartier pour veiller au grain. Car les membres du gang de Ndiaga Ndiaye menacent de revenir pour venger leur compagnon.

Il nous revient aussi que les jeunes de Liberté 05 attendent de pied ferme le gang. C'est une peur bleue qui a envahi les habitants de Liberté 05. Nos sources signalent que la police de Dieuppeul a pris le dossier en main.

Elle tue et décapite sa belle-sœur pour payer une dette de 4 millions FCFA (Vidéo)

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C’est dans un hôtel de la ville de Yaoundé que le crime a été commis. Marie France Mbeya puisqu’il s’agit d’elle, originaire d’Okola dans la région du centre du Cameroun a froidement tué sa belle-sœur, puis décapité sa dépouille sur prescription d’un gourou rencontré sur les réseaux sociaux.
C’est à Yaoundé, la Capitale camerounaise que la scène effrayante se déroule. Marie France Mbeya aurait commis son forfait à l’hôtel le Mendzang, situé à Yaoundé À croire sa déclaration, elle aurait fait venir sa belle sœur à l’hôtel dimanche dernier pour partager un verre. Une fois dans la chambre d’hôtel qu’elle va lui ôter la vie.

Dans la nuit de lundi aux environs de 22h, elle revient à l’hôtel avec une valise contenant une machette. Elle va découper la victime en morceaux et la dissimuler dans une la valise. C’est au moment de sortir de l’hôtel qu’un employé se rendra compte qu’elle a du mal à transporter ladite valise. Il va lui proposer de l’aider à faire descendre la valise au rez-de-chaussée elle va refuser. C’est ainsi qu’il va suspecter quelque chose de louche et fera appel à ses collègues qui viendront l’obliger de montrer ce qu’elle transporte. Elle va essayer dans un premier temps de les mentir que c’est la nourriture. Mais, ils vont arracher la valise et découvrir qu’il s’agit d’un être humain.

Selon les déclarations de Marie France Mbeya elle avait une dette de 4 millions dans une réunion. Dans la quête des solutions à son problème elle s’est abonnée sur une page Facebook dénommée Richesse, c’est de là qu’on lui a promis cinq cent millions de Fcfa si elle déposait le corps de quelqu’un dans un lieu qu’on lui avait indiqué. Elle n’a pas pu achever son forfait grâce à la vigilance des employés de l’hôtel où le crime a été commis.

Avec Senego


Pour réclamer de meilleures conditions de travail : les travailleurs municipaux dans les rues à Thiès

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La section de l’intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales du Sénégal a investi hier les rues de Thiès pour réclamer de meilleures conditions de travail. La procession est partie du parvis de l’hôtel de ville de Thiès, pour aboutir à la préfecture de Thiès où un mémorandum devait être remis au maître des lieux. L'As
Pour réclamer de meilleures conditions de travail : les travailleurs municipaux dans les rues à Thiès
L’objectif de la marche, selon Mouhamadou Ndiaye porte-parole de l’union communale de Thiès, est de dénoncer le manque de respect et de considération de l’Etat à l’endroit des travailleurs des collectivités territoriales.

«En tant que travailleurs territoriaux, nous disons non à la stigmatisation, au manque de respect et nous interpellons l’Etat du Sénégal sur la nécessité urgente de prendre à bras-le-corps nos revendications et de corriger sans délai cette injustice qui peut influer négativement sur la stabilité et la paix sociale», a-t-il indiqué.

Sur les points de revendication, il cite la revalorisation salariale, l’effectivité de la fonction publique locale et la meilleure prise en charge des retraités. Les manifestants ont affiché la ferme intention de passer à la vitesse supérieure si rien n’est fait, à travers une grève de 72 heures

Macky veut que le long de l’autoroute Ila Touba soit reboisé

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Macky veut que le long de l’autoroute Ila Touba soit reboisé
Le Président Macky Sall avait dit en conseil des ministres que malgré les efforts des Eaux et Forêts, il ne voit pas de la verdure le long de l’autoroute Ila Touba. Pourtant, chaque année, c’est le même scénario : les agents des Eaux et Forêts plantent des arbres, mais du fait d’un problème de sécurisation, les arbres plantés sont laissés à la merci des bétails. L’emprise de l’autoroute dit-on est du ressort de l’Ageroute._

Ce qui fait que les agents font du reboisement chaque année, sans avoir de résultats. Pour ce qui est de la forêt de Mbao, par exemple, ils ont décidé de clôturer ça pour ne plus permettre aux animaux d’y entrer. Hier, des sources de L'As ont aperçu le Directeur des Eaux et forêts sur le site.

Horreur à Ziguinchor : Une femme de 75 ans assassinée dans la forêt de Soukouta à Niaguis

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Avec cette triste nouvelle, les habitants du village de Soukouta, situé dans la commune de Niaguis sont sous le choc.
Horreur à Ziguinchor : Une femme de 75 ans assassinée dans la forêt de Soukouta à Niaguis
D’après l’information relayée par senenews qui cite « Libération », une femme âgée de 75 ans a été tuée dans la forêt.

Nos confères renseignent que le drame a eu lieu lundi dernier aux environs de 23 heures.

Aux dernières nouvelles, le corps sans vie à été acheminé à la morgue du centre hospitalier régional de Ziguinchor par les sapeurs pompiers. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour élucider ce drame

Aïda Mbodj à Macky Sall : « Quand on est majoritaire, on n’a pas besoin de débaucher »

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Le chef de fil de la coalition Benno Bokk Yaakaar Macky Sall a tenté de débaucher les députés de l’opposition. La révélation est faite par l’ancienne députée Aïda Mbodj.
Aïda Mbodj à Macky Sall : « Quand on est majoritaire, on n’a pas besoin de débaucher »
« Il n’a pas de majorité. Nous avons plus de voix que lui. Malgré les milliards, les listes détournées, l’argent investi, c’est l’équipe B qui a battu et humilié Benno Bokk Yaakaar. Ils sont venus à Baba Garage pour que la députée Mame Sèye les rejoigne » a fait savoir l’ancienne députée.

Et d’ajouter : « Malheureusement pour eux, ils ont échoué. Je dois avouer que son fils m’avait déjà alerté depuis le 3 août passé, sur une éventuelle tentative de débauchage de sa mère. Ils n’ont même pas honte et frisent le ridicule. Quand on se dit majoritaire, on n’a pas besoin de faire transhumer des personnes « , a-t-elle déclaré.

Poursuivant, elle ajoute : » A deux reprises, ils m’ont arraché des maires que j’avais fait élire par les populations de Bambey. Le Conseil départemental, ils me l’ont aussi arraché, de même que celui que j’avais investi tout dernièrement lors des municipales à Dangalma. C’est la raison pour laquelle j’avais misé sur cette vieille dame, Mame Sèye« .

De plus, Aïda Mbodji a pilonné le maire de Refane d’après elle, « fait montre d’un activisme débordant et pense qu’il sera nommé, surtout que le président a des problèmes de nomination ».

Elle rappelle que si ce maire a gagné, « c’est parce que Wallu Sénégal a voté pour lui ».

Yewwi Askan Wi Ou Yeew Askan Wi ? Critique-citoyenne de Abdou Khadre Gaye Pdt Emad

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On a l’habitude chez nous de toujours critiquer le pouvoir, de ne rien lui pardonner et de tout excuser à l’opposition, comme si le mal était dans le pouvoir même et que le statut d’opposant était une garantie d’impeccabilité ou un permis d’inconduite. Ainsi, d’alternance en alternance, nos acteurs politiques sont applaudis ou hués, et applaudissent ou huent eux-mêmes, selon qu’ils sont dans le pouvoir ou dans l’opposition. J’ai réfléchi et compris qu’il était beaucoup plus facile de déchoir un élu jugé mauvais que d'élire un homme bon, ou tout simplement meilleur que celui que l’on a déchu. J’ai compris que qui que l’on puisse élire en régime démocratique, il y aura toujours des adversaires pour surveiller son action et le critiquer (ce qui est normal), pour lui faire des contre-propositions (ce qui est normal), pour gêner son travail, le diaboliser et le mettre en mal avec les populations, et le faire haïr (ce qui est anormal). Et j’ai compris Khalil Gibran s’écriant :« Pitié pour la nation où l’on accueille un nouveau souverain aux accents de la trompette pour le renvoyer sous les huées et en acclamer un autre aux mêmes accents de trompettes que le précédent. »
Yewwi Askan Wi Ou Yeew Askan Wi ?  Critique-citoyenne de Abdou Khadre Gaye Pdt Emad
Et j’ai décidé, dans mon présent papier, de faire la critique-citoyenne des dérives politiciennes de la coalition YewwiAskan Wi qui influence fort le climat politique sénégalais d’aujourd’hui caractérisé par l’animosité, le mensonge et la caricature et dont la présidence de la conférence des leaders est assurée par Khalifa AbabacarSall.

L’homme, il est vrai, a subi une grande injustice de la part du pouvoir actuel. Il la subit toujours ; et beaucoup d’autres avec lui… Je dénonce aujourd’hui, plus que jamais, le fait qu’il soit privé de ses droits civiques et politiques. Je dénonce… Mais je me sens si triste quand je vois ce disciple de Senghor et compagnon d’Abdou Diouf emporté comme une feuille morte par ce vent de révolte juvénile, haineuse et vengeresse qui ne lui ressemble guère. Je devine que beaucoup de personnes qui l’appréciaient et qui l’apprécient toujours, peut-être, éprouvent le même sentiment de désolation devant le spectacle de son ravalement au rang de comparse par des novices en politique, amoureux du sensationnel et grand amateur d'autodafés ; et cela malgré son titre de président.


Impossible de libérer son peuple si l’on ne se libère pas d’abord…


Car seul l’homme qui s’est rendu libre est capable de se battre pour la liberté : on se libère d’abord (yewweeku), après s’être réveillé (yeewu), avant de songer à libérer son peuple (yewwi).

En effet, comment celui-là qui demeure l’esclave de ses propres démons intérieurs peut-il songer à libérer un peuple ? S’il tente l’expérience, le yewwi perd son i, et, plutôt que de libérer son peuple, il l’enchaîne davantage (yeew) en semant dans les cœurs de ses membres les graines de sentiments qui les enlaidissent, les alourdissent et les plombent. Et les chaînes du mensonge et de la manipulation, s’ajoutant aux carcans de la pauvreté, écrasent davantage son peuple.

Et du « YewwiAskanwi » (libérer le peuple), on passe au « YeewAskanwi » (enchaîner le peuple). Et notre libérateur alors devient semblable à l’homme de la parabole biblique qui voit la paille dans l’œil de son prochain, mais pas la poutre dans son œil, et qui ignore qu’il lui faut d’abord enlever la poutre de son œil pour voir clair et enlever la paille dans l’œil de son frère ou bien au chantre de la paix qui injurie et agresse, et qui, peut-être, sans le savoir, sème la haine et la violence. Or, celui qui veut la paix doit semer l’amour et la justice.

Qui se veut libérateur doit d’abord se libérer de ses propres chaînes qui ont pour noms méchanceté, jalousie, orgueil, haine, esprit de vengeance, etc. Qui aime son pays se bat pour le bien-être de ses populations et non contre des hommes. Car celui qui se bat pour quoi que ce soit au monde, dit le poète, fait appel à l’amour, là où celui qui se bat contre fait appel à la haine.


L’adversité politique n’est pas une guerre, l’adversaire politique n’est pas un ennemi à abattre

À écouter les acteurs politiques de chez nous (surtout ceux de Yewwi), à voir et entendre leur discours de campagne, les commentaires et les jubilations d’après élections, on a comme l’impression que l’adversité politique est une guerre, l’adversaire politique un ennemi à abattre et que le vote a pour fonction de trancher entre des anges et des démons.

Bien au contraire, le suffrage universel est une affaire de nombre de voix, pas de qualité de voix. Il n’a pas pour vocation de trancher entre les bons et les mauvais, les intelligents et les moins intelligents : remporter les élections veut tout simplement dire que la majorité des votants est d’accord avec toi, mais pas que tu es le meilleur, le plus intelligent, le plus parfait. Faire foule ne signifie pas qu’on a raison, surtout dans notre pays où Cheikhou Charifou a fait foule, de même que Djo Balard et Vaidehi… Kounkande a explosé le net. Et le très rusé Pawlish Mbaye qui, semble-t-il, a deviné les cœurs de nos concitoyens, de montrer la meilleure formule pour appâter notre public si frivole : jouer le fou à défaut de le devenir.

Mais cette quête de majorité ne doit pas être pour l’acteur politique digne de ce nom une raison pour accroître l’abrutissement des populations par la manipulation malsaine et la théâtralisation outrancière, pour en faire des marionnettes, une foule idiote et méchante à jeter comme des chiens de garde sur quiconque s'oppose à lui ou lui fait ombrage. Bien au contraire, par la qualité du discours, le débat sain, la bonne information et aussi la formation on arrive quelque peu à corriger ces imperfections du système démocratique. Les sages et les vrais démocrates savent qu’il arrive bien souvent que la vérité soit du côté de la minorité. C’est la raison pour laquelle ils sont humbles et font preuve de respect et d’ouverture à l'égard de tous. Chaque vérité a son heure. Et l’avenir, disent les Wolofs, appartient à Dieu. Seuls les fous lui crachent dessus.


Les leaders de Yewwi et leurs thuriféraires doivent libérer leur esprit et se curer le cœur…


Ils doivent savoir que toute dérive est condamnable, qu’elle soit le fait du riche ou du pauvre, du fort ou du faible, du pouvoir ou de l’opposition, et qu’il n’y a pas plus injuste qu’un justicier sans morale, plus dangereux qu’un homme politique qui ainsi raisonne : « Une injustice qui me profite est bonne. Celle qui profite à mon adversaire est un scandale. »

Bref, comment peut-on tenir meeting avec Khalifa Sall et traiter Aminata Mbengue Ndiaye de « suceur de sang du peuple » ? Comment peut-on s’accommoder Assane Diouf et s’émouvoir parce que Macky flirte avec Kaliphone ? Comment peut-on accuser Wade d'antisystème et grand détourneur de denier public et le fusiller, pour ensuite le ressusciter et battre campagne avec lui et chanter ses louanges ?

Comment peut-on refuser de façon aussi ostentatoire de répondre à l'appel téléphonique de Karim sous prétexte qu’il a mauvaise haleine et lui faire l’accolade et l’embrasser, aujourd’hui, en se réjouissant de sa bonne odeur ? Comment peut-on ainsi se comporter et faire croire qu’on abhorre le reniement et oser qualifier Mansour SyDjamil de versatilité et SerigneModou Kara de complicité avec le « système » ?

Comment peut-on, de bonne foi, accuser Thierno Alassane Sall et Abdou Rakhmane Diouf de mercenaires politiques, et « rompre le pacte d’amitié », et refuser de s’excuser, et ensuite leur tendre si nonchalamment la main, comme si de rien n’était, en les menaçant de mort politique s’ils ne marchent pas comme on veut ? (Si ce n’est pas de la folie, c’est de la prétention, ou bien quoi alors ?)

Comment peut-on (comble de sottise !) traiter de tous les noms ses adversaires politiques sans distinction pendant la campagne électorale des législatives et solliciter leur soutien après publication des résultats pour avoir la majorité à l’assemblée, et s’étonner qu’ils se souviennent de ton manque de respect et te tournent le dos ? Si de la sorte, en tant qu’opposant, tu traites tes adversaires de l’opposition, comment traiteras-tu l’opposition si jamais tu accèdes au pouvoir ?

Comment peut-on dénoncer l’intolérance du pouvoir et faire montre d’autant de sectarisme ? Comment peut-on faire de la dénonciation tous azimuts, de l’insulte et de la caricature des armes politiques et crier au complot lorsque ses propres cibles ripostent avec les mêmes armes dont on fait usage ? Comment peut-on traiter Pape Diop de dinosaure politique, de poisson pourri et autres méchancetés du genre tout simplement parce qu’il a choisi le camp présidentiel avec lequel il partage la même idéologie politique, cependant qu’on s’accommode AbibSy, Mary Teuw Niane et consort ?

Comment peut-on critiquer le choix de Pape Djibril Fall de rester non inscrit pour marquer sa différence, comme si l’on ne savait pas que la démocratie c’est la liberté et la diversité des opinions et expressions ? (Et Dieu sait combien on l’aurait encensé et louangé s’il avait répondu positivement aux chants des sirènes Yewwistes) Comment peut-on prétendre que le statut de non inscrit est contraire à la morale et à l’éthique, et cela après être resté soi-même non inscrit pendant toute une législature ? Comment peut-on traiter ses propres marabouts-souteneurs de saints et tous les religieux qui soutiennent les autres de traîtres ?

Comment peut-on détourner les unes de journaux de la place pour faire passer ses messages, sourd aux récriminations, et crier à l’acharnement lorsque la justice fait son travail, et parler d’humour pour se tirer d'affaire ?

Comment peut-on critiquer la première dame qui danse avec ses amies et ne pas supporter qu’on ouvre la bouche lorsqu’Ousmane Sonko, prétendant au fauteuil présidentiel, se fait masser par les jeunes filles de sweet beauty ?

Comment peut-on s’acharner sur Gabriel Kane parce qu’elle est reçue par le khalife général des Mourides, cependant que l’on s’était acharné sur Mamadou Ibra Kane lorsqu’il dénonçait dans une chronique la réception par la même autorité religieuse d’Assane Diouf et ClédorSène ? Comment peut-on confondre rotation des troupes sénégalaises au Mali et désengagement du Sénégal, et traiter avec autant de désinvolture nos Jambars de mercenaires à la solde de la France …?

Inutile d’allonger la liste. Tout simplement dire qu’il est temps pour ce peuple de ne plus laisser personne se jouer de son intelligence.


La mauvaise ruse et le bluff sont les pires ennemies à long terme d’un homme politique qu’il soit du pouvoir ou de l’opposition


La malhonnêteté peut payer à court terme, mais elle se révèle toujours catastrophique dans le long terme. Nous connaissons la chanson : « On peut tromper une partie du peuple, une partie du temps. Mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Car la mauvaise ruse et le bluff sont les pires ennemies à long terme d’un homme politique qu’il soit du pouvoir ou de l’opposition.

Et, en vérité, si les leaders de Yewwi et leurs thuriféraires rêvent de libérer le peuple, ils doivent d’abord libérer leur esprit et leur cœur de toutes les déformations politiciennes, de toutes les haines, rancœurs et frustrations.

Ils doivent arrêter de chercher à nuire à quiconque ose exposer sa différence en le contredisant et en ternissant son image par le ridicule ou par des révélations fracassantes, grossières et souvent assaisonnées de mensonges, en s’écriant tout bêtement : « lulanaqarineexnañu ! », comme si l’objectif était de faire mal à l’autre et de l’humilier, lui et tous les siens.

Ils doivent savoir que seul le débat contradictoire et sincère est salutaire et que le dénigrement, c’est-à-dire le fait de fouiller dans les ordures des gens et les répandre dans la rue n’est pas bon pour la cité et ses habitants, ni même pour le fouilleur de poubelles.

Ils doivent savoir que les œillères et les brides ne siéent pas aux citoyens avides de liberté qui refusent la sujétion, l’intimidation et la pensée unique d’où qu’elles viennent. Ils doivent savoir que la résistance au Sénégal est une très longue histoire : des hommes ont fait face au colonisateur avec comme seule arme leur foi, leur plume et parfois avec des équipements de rien du tout face à la puissance de feu de l’adversaire ; puis d’autres se sont battus pour obtenir l’indépendance et faire du Sénégal un État fort, doté d’institutions fiables ; d’autres encore pour la démocratie, les droits humains et le développement…

Ils doivent savoir que la diffamation ne rend service ni au diffamé ni au diffamateur, et que, dans tous les regroupements humains, on trouve des bons et des moins bons, et surtout (on l’a déjà dit) cesser de confondre deux choses : se battre pour le pays et ses populations et se battre pour ou contre un homme ou un groupe d’hommes. Le lion, dit la sagesse populaire, n’éprouve aucune haine envers l’antilope ni l’antilope envers le lion ou envers l’herbe. Et le tigre, disait l’autre, ne crie pas sa « tigritude » à tout bout de champ.

Bien choisir la personne à élire est aussi important que de mettre un terme à un mandat électif

Je rappelle, pour terminer, que l’alternance est une exigence de la démocratie, et que bien choisir la personne à élire est aussi important que de mettre un terme à un mandat électif. Alors, observons et critiquons objectivement ceux qui nous gouvernent, mais aussi ceux qui veulent nous gouverner, sans parti-pris.

À s’acharner sur les uns et à trop ménager les autres, on risque de tomber dans le cercle vicieux décrié par Khalil Gibran, cité plus haut. Car, il arrive souvent, comme on dit, qu'on se sépare de quelqu’un de bien, parce qu'on cherche quelqu’un de très bien ; et de trouver quelqu’un de très médiocre. Alors vigilance.

Abdou Khadre Gaye
Écrivain, président de l’EMAD

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Hôpital Mame Abdou de Tivaouane/ Bébés calcinés: Le service néonatalogie reprend ses activités

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A l’hôpital Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh de Tivaouane, les choses bougent depuis cette nuit où 11 bébés ont été consumés par les flammes d’un incendie. Fermé après ce terrible drame, le service néonatalogie a repris.
Hôpital Mame Abdou de Tivaouane/ Bébés calcinés: Le service néonatalogie reprend ses activités
« Les activités reprennent petit à petit au niveau du service néonatalogie de l’hôpital Abdou Aziz Sy Dabakh de Tivaouane. (Même si la grève des agents de cette structure qui réclament la libération de leurs collègues arrêtés dans le cadre de la procédure judiciaire ouverte à la suite de ce drame n’arrange rien).

Nous sommes en mouvement d’humeur pour apporter notre soutien à nos camarades qui sont incriminés dans l’affaire du drame qui s’était produit dans l’hôpital », a déclaré Sidi Lamine Ndoye, membre du syndicat de la santé au niveau de l’hôpital de Tivaouane.

Même ouvert, le service néonatalogie n’attire plus. Les nouvelles mamans ont encore en tête cette nuit cauchemardesque.

400 bars à chicha recensés à Dakar: " La situation de la lutte contre le tabac mérite un traitement urgent et direct du Président Sall"

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400 bars à chicha recensés à Dakar:
Quelque 400 bars à chicha sont enregistrés à Dakar. L’annonce a été faite par le président de la Ligue sénégalaise contre le tabac (Listab). Selon Moustapha Gaye, ces bars à chicha sont des moyens qui poussent les jeunes âgés entre 10 et 18 ans à s’adonner au vapotage au vu et au su de tous. « Nous attirons l’attention du Président Macky Sall, et de la nouvelle ministre de la Santé, Docteur Marie Khémesse Ngom Ndiaye sur la situation de NON-APPLICATION de la loi Anti-Tabac du Sénégal votée depuis le 14 Mars 2014. La situation de la lutte contre le tabac au Sénégal mérite un traitement urgent et direct du chef de l’État, et nous profitons de cette tribune pour solliciter publiquement son intervention », a-t-il soutenu, relate leSoleil.sn.

Avant de continuer : « une enquête épidémiologique des autorités sanitaires nationales montre que l’âge d’initiation au tabagisme est tombé à 7 ans, contre 10 ans en 2013. Nous alertons encore une fois sur les risques que la présence du tabac fait peser sur nos pays, nos économies, nos populations dont les franges les plus ciblées sont les femmes, les jeunes et surtout les enfants qui sont particulièrement fragiles et sensibles aux produits du tabac ».

Il faut dire qu’au Sénégal, renseigne la Listab, le coût annuel du tabagisme est estimé à près de 122 milliards de FCFA, dont 74 milliards rien que pour les dépenses de soins de santé liés au tabagisme (coûts directs). Les ménages supportent 71 milliards des coûts par an et l’Etat dépense 51 milliards pour le traitement des patients souffrant des maladies liées à la consommation des produits du tabac. Et les pertes de revenus dues à l’absentéisme des patients et leurs accompagnants au travail et celles liées au décès des patients avant la retraite s’élèvent à 48 milliards de FCFA. Le traitement des maladies non transmissibles imputables à la consommation des produits du tabac absorbe 17% du budget que le Sénégal alloue annuellement au secteur de la santé. Au Sénégal, les jeunes et les enfants sont encore très exposés au tabac. La preuve est l’enquête du GYTS, environ 13 % des jeunes sénégalais sont exposés au tabagisme secondaire chez eux, et plus de 25 % à l’intérieur des lieux publics.




Magal de Touba: Les travailleurs des autoroutes du Sénégal menacent de perturber la circulation

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Le Syndicat des travailleurs des autoroutes du Sénégal affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) a haussé le ton ce mercredi, pour exiger la réintégration des 16 licenciés et dénoncer leurs conditions de travail. Aussi, ces travailleurs réclament le paiement des heures supplémentaires et des prestations familiales. Face à tous ces ‘’manquements’’, ils comptent aller en grève le 9 septembre prochain.
Magal de Touba: Les travailleurs des autoroutes du Sénégal menacent de perturber la circulation
«Seize personnes parmi nous ont été licenciées arbitrairement et abusivement pour divers motifs. Le motif principal, c’est un motif de non-respect d’un planning qui a été mis en place par l’employeur. Nous réclamons immédiatement la réintégration de tous nos camarades licenciés et des Contrats à durée in terminés (Cdi) à l’ensemble du personnel», préconise le président du collectif des travailleurs des autoroutes du Sénégal, Alpha Diaw.

Le Syndicat des travailleurs des autoroutes du Sénégal réclame également le paiement des heures supplémentaires. «De mars 2019 à février 2022, pendant trois ans, il y a eu deux sociétés intérimaires qui se sont passées le relais. Le personnel qui a été sur place a eu à travailler 48 heures, c’est-à-dire huit heures de temps de plus par rapport aux quotas requis par la législation du travail. Donc, c’est des heures supplémentaires huit heures hebdomadaires, 32 heures le mois qui n’ont été jamais été payées pendant trois ans», rappelle le président du collectif des travailleurs des autoroutes du Sénégal, Alpha Diaw. Ce dernier et ses camarades réclament aussi le reversement de leur cotisation à l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) et des prestations familiales.

«En ce qui concerne l’Ipres, le versement n’a pas été effectué depuis trois ans et c’est une manne financière qui avoisine le milliard. Pour les prestations familiales qui devaient revenir à nos familles, et depuis presque trois ans, il n y a jamais eu de paiement de prestation familiale pour l’ensemble du personnel», souligne le président du collectif des travailleurs des autoroutes du Sénégal, Alpha Diaw.

«Quand on dépose une lettre de préavis à la date du 10 août son dead-line, ce sera le 9 septembre, qui coïncidera à une semaine du début des activités du Grand Magal. Nous nous gardons de la suite à donner si toutefois rien ne bouge», ont-ils laissé entendre.


Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

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Les députés nouvellement élus de la Grande Coalition Wallu Sénégal ont clôturé la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.
Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.
Le Khalife a chaleureusement accueilli la délégation conduite par l'honorable député Mamadou Lamine Thiam. Aussitôt, le ministre Alioune Diop Chef de Cabinet du Président Wade a pris la parole pour témoigner des relations d'amitié entre Thierno Madani Tall et le Président Abdoulaye Wade. D'ailleurs lors de son retour au Sénégal, le Khalife lui a offert un mouton en guise de bienvenue.

Après la présentation des députés et les membres de la délégation, Mamadou Lamine Thiam a pris la parole pour transmettre le message du Président Me Abdoulaye Wade au Khalife, et de notre frère Karim Wade. Le Directeur de campagne de la coalition Wallu s'est dit très satisfait de la situation stable du pays et les résultats honorables obtenus lors des élections législatives du 31 Juillet 2022 .

Il a souligné que la visite avait pour but de remercier le Khalife Général de la famille Omarienne pour les prières lors de leur passage avant les élections et lui a demandé de formuler des prières pour que la mission qui leur est assignée à l'assemblée nationale soit couronnée de succès. Lamine Thiam a sollicité aussi auprès de Thierno des prières pour le retour de Karim Wade notre candidat et il lui a annoncé que Karim Wade est le candidat du parti démocratique sénégalais pour la Présidentielle de 2024.

Prenant la parole, le khalife a d’abord salué la délégation et a rappelé les liens qui lient le président Abdoulaye Wade et la famille omarienne qui datent de très longtemps , bien avant même qu’il ne soit Président de la République.

Ensuite le Khalife a rappelé à la délégation le geste du Président Abdoulaye Wade à la suite du rappel à Dieu de son père en France qui s’était déplacé malgré son âge jusqu’à la morgue pour leur tenir compagnie.

Un geste qui l’avait vraiment touché et qu’il n’oubliera jamais. Thierno Madani Tall a fait le rappel de toutes les bonnes actions que le président Wade a accomplies pour la communauté Omarienne avant et durant son magistère. Pour lui, le Président a toujours eu une considération pour la communauté omarienne . Il a fait savoir à la délégation que le président wade a contribué grandement à la réalisation de la mosquée omarienne.

Enfin, Le Khalife a formulé des prières pour que lors de l’inauguration de la Grande Mosquée omarienne, le Président Abdoulaye Wade, et toute sa famille, le Président Macky Sall ainsi que toute la classe politique soient présents.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Fin de la première phase de leur tournée nationale auprès des chefs religieux : Wallu Sénégal chez Thierno Madani Tall, Khalife Général de la famille Omarienne.

Remise de la carte nationale de presse: Sur 1 522 demandes, 1 400 dossiers ont été examinés et 794 validés

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Remise de la carte nationale de presse:  Sur 1 522 demandes, 1 400 dossiers ont été examinés et 794 validés
La cérémonie de remise de la carte nationale de presse a vécu cet après-midi, à la maison de la presse, Babacar Touré. Le président de la commission de la carte nationale de presse, Daouda Mine, accroché par Leral, indique que sur 1 522 demandes de cartes nationale de presse, 1 400 dossiers ont été examinés et 794 validés.

Ainsi, il précise que 696 demandeurs ont reçu leurs cartes nationale de presse. Présentement, dit-il, 98 autres cartes sont en cours de production.

D’après Daouda Mine, les ayants droits de ces cartes délivrées sont essentiellement sortis des écoles de formation. Avec une expérience professionnelle, insiste-t-il, tous les bénéficiaires sont diplômés d’écoles reconnues par l’Etat. A retenir, la carte nationale de presse sera exigible à compter du 1 septembre 2022.

Bébés calcinés à l'hôpital de Tivaouane: Deux incriminées bénéficient d’une liberté provisoire

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Bébés calcinés à l'hôpital de Tivaouane: Deux incriminées bénéficient d’une liberté provisoire
La sage-femme, Awa Diop et l'aide-infirmière, Coumba Mbodji, incriminés dans l’affaire de l'incendie qui avait ravagé le service de néonatalogie de l'hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabakh de Tivaouane bénéficient d'une liberté provisoire.

Fodé Dione, chef de division maintenance est maintenu en détention.

A retenir, le jeudi 26 mai, un incendie a causé la mort de onze bébés à l’hôpital de Tivaouane. Le feu aurait été provoqué par un court-circuit électrique. Et, après le drame, le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, avait été limogé.

Présidentielle 2024/ Ousmane Sonko: « Il n’y a pas de doute que le pays sera entre nos mains »

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A quelques mois de l’élection présidentielle de 2024, le parti Pastef va élargir son organisation avec la mise en place du mouvement ‘’Magi Pastef’’. C’est une nouvelle structure qui regroupe les seniors patriotes qui ont servi leur pays avec honneur, engagement et droiture. La cérémonie de lancement a eu lieu, hier, en présence du leader Ousmane Sonko. Le maire de Ziguinchor qui a récemment officialisé sa candidature pour participer à ce scrutin se dit optimiste pour diriger le pays.
Présidentielle 2024/ Ousmane Sonko: « Il n’y a pas de doute que le pays sera entre nos mains »
«En 2024, s’il plaît à Dieu, nous allons gagner l’élection présidentielle. Parfois il y a des hommes politiques qui annoncent leur candidat alors qu’ils n’ont pas deux militants derrière eux. Et nous n’en ferons pas partie parce qu’avec les fortes mobilisations qui nous ont accompagné lors de la campagne électorale, il n’y a pas de doute que le pays sera entre nos mains au soir de cette élection présidentielle», rassure le membre de la coalition Yewwi Askan Wi.

Ousmane Sonko se dit satisfait du fait que, dit-il, Pastef est, au niveau de l’opposition, le parti qui a le plus de maire et de président de conseil départemental lors des élections locales de janvier dernier. A cela s’ajoute le score enregistré récemment avec les élections législatives. Tous ces résultats ont été réalisés seulement en 7 ans. Ce qui signifie qu’en 2024, s’il plait à Dieu, nous allons diriger le pays», déclare-t-il.

Le leader de Pastef a profité de son discours devant les militants et sympathisants pour apporter la réplique par rapport à l’information selon laquelle, des tractions sont en train d’être menées au niveau du Palais pour lui empêcher de se présenter en 2024.

«Personne ne peut nous empêcher de présenter notre candidature. Ils peuvent renforcer la gendarmerie, recruter des magistrats ou organiser des rencontres au palais pour faire échouer notre projet, mais ce sera peine perdue», peste-t-il.



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