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Trafic de passeports diplomatiques: La Journaliste Louise T.A.Sagna avoue encaissé plus de 6 millions F CFA, mais...

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Une journaliste a été convoquée et entendue longuement par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic). En effet, Louise Tina Adama Sagna pour ne pas la citer, avait encaissé un montant de plus de 6 millions francs à la Présidence de la République, dans le cadre de ce trafic, selon Seneweb.
Trafic de passeports diplomatiques: La Journaliste Louise T.A.Sagna avoue encaissé plus de 6 millions F CFA, mais...
L'enquête ouverte par la Dic sur des faits de trafic de passeports diplomatiques a permis de découvrir une décharge signée par la journaliste Louise Tina Adama Sagna. En effet, cette dernière avait reçue une somme de 6.800.000 francs à la Présidence de la République.

Déférant à la convocation des enquêteurs, la dame déclarera sur procès-verbal qu'elle n'est liée ni de près ni de loin à cette entreprise délictuelle. Mais elle a confié qu'elle entretient une relation amoureuse avec Limamou Laye Seck (cerveau de cette mafia).

Je m'étais rendue à la Présidence de la République pour récupérer une enveloppe sur instruction de mon petit ami Limamou Laye Seck. Arrivée à destination, on m'a remise un montant de six millions huit cent mille contre une décharge établie au profit de F.K (un ancien ambassadeur)" a-t-elle expliqué lors de son interrogatoire.

Toutefois, la journaliste de préciser qu'elle a reversé l'intégralité des fonds (6.800.000) à Seydina Issa Laye Seck sur instruction de son petit ami Limamou Laye Seck.

Cuisiné, Seydina Issa Laye Seck avoue avoir encaissé le montant de 6.800.000 francs cfa auprès de la journaliste Louise Tina Adama.

Les redoutables enquêteurs ont confronté les deux "amoureux". Mais la journaliste Louise Tina Adama Sagna n'a pas varié dans son récit tenu lors de son interrogatoire. Et le cerveau présumé de cette mafia a confirmé avoir envoyé la dame encaisser les fonds à la Présidence de la République . Finalement, la journaliste a été libérée par la Dic.


Emigration clandestine: un enfant d'un an a traversé seul la Méditerranée jusqu'en Italie

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Un enfant d'à peine un an est arrivé vendredi 17 décembre sur l'île sicilienne de Lampedusa, après avoir traversé la Méditerranée sans ses parents ou tout autre membre de sa famille, selon les révélations de la presse italienne.
Emigration clandestine: un enfant d'un an a traversé seul la Méditerranée jusqu'en Italie
Cet enfant, qui a débarqué sain et sauf à Lampedusa, a voyagé au milieu de 70 hommes dans un bateau de fortune. Âgé d'environ 12 mois, il ne parle pas encore, et personne ne connaît donc son identité ni son histoire.

D'après certains témoignages de migrants, ses parents auraient choisi de le confier à des inconnus pour lui donner une chance d'avoir un avenir meilleur en Europe. Tant que le tribunal des mineurs d'Agrigente n'aura pas statué sur son sort, l'enfant restera pris en charge par une éducatrice.

Ce même tribunal devra aussi prendre une décision pour le placement dans une structure protégée d'un jeune de 14 ans. Il y a quatre jours, cet adolescent a vu mourir sa mère au moment où l'embarcation chargée de 25 migrants, à bord de laquelle ils avaient traversé la Méditerranée, a chaviré. L'accident s'est produit à quelques encablures de Lampedusa. Malheureusement, les secouristes ne sont pas arrivés à temps pour éviter une nouvelle tragédie.

Accès des femmes au foncier : L’Etat sommé par des organisations féminines de renforcer son engagement national et international

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L’Alliance Nationale Femmes et Foncier (Anff) et l’Association des Femmes Juristes du Sénégal (Ajs) ont organisé, hier, un webinaire dans l’optique d’attirer l’attention des décideurs sur la précarité de la propriété foncière des femmes. Saluant les efforts louables en termes de cadre légal et règlementaire, la présidente Haby Diallo et ses camarades de l’Ajs ont exhorté le gouvernement à respecter son engagement national et international par rapport à la promotion des droits des femmes sur cette question.
Accès des femmes au foncier :  L’Etat sommé par des organisations féminines de renforcer son engagement national et international
Malgré les nombreux efforts de l’Etat, les femmes vivent une précarité dans le domaine du foncier au Sénégal. Convaincue de cette situation, la présidente de l’Ajs, Haby Diallo, invite le gouvernement du Sénégal à renforcer son engagement dans la promotion des droits fonciers des femmes.

«La résolution 162 de la Charte Africaine sur l’accès des femmes à la propriété foncière et aux ressources productives encourage les Etats à abroger les lois et règlements discriminatoires, et à les interdire par des mesures législatives assorties de sanctions qui limitent ou affaiblissent l’accès ou l’utilisation des terres ou autres ressources productives. Je pense que c’est seulement la pratique qui reste à combattre», a indiqué la présidente de l’Ajs en marge d’un webinaire organisé par l’Alliance Nationale Femmes et Foncier.

Selon Haby Diallo, ce panel permettra aux autorités étatiques de mieux comprendre l’Alliance, mais surtout de prêter beaucoup plus d’attention à cette frange de la population longtemps désavantagée.

«Je suis convaincue aussi que des points de convergence seront identifiés pour un partenariat effectif entre l’Alliance Nationale Femmes et Foncier et les ministères, notamment sur les engagements de Paris et les opportunités existant dans le secteur agricole pour l’avantage des femmes et des jeunes», assure la présidente de l’Ajs.

Abondant dans le même sens, la secrétaire exécutive d’Enda Pronat, Marième Sow, pense que la problématique de la précarité et du droit foncier au Sénégal ne peut être redressée par une seule famille d’acteurs.

En dépit des efforts louables en termes de cadre légal et règlementaire consentis par les autorités, indique Mme Sow, le taux d’accès est à 13%. A ses yeux, une conjugaison des efforts et des synergies entre l’ensemble des acteurs est nécessaire.

«Je pense que ce travail doit se faire à plusieurs niveaux à l’échelle nationale, avec les politiques nationales, mais à l’échelle locale au niveau de la base avec les autorités politiques locales ainsi que les autorités coutumières, la jeunesse et les femmes», souligne-t-elle.

Venue représenter le ministre de l’Agriculture, Ndèye Sokhna Diop s’est penchée sur les efforts de l’Etat dans l’accès des femmes aux ressources foncières.
Revenant par ailleurs sur les opportunités des femmes dans le domaine agricole, Ndèye Sokhna Diop relève une volonté politique dans le management du ministère de l’Agriculture en faveur de l’équité et l’égalité des hommes et des femmes dans le secteur.

«Cette politique est matérialisée sur l’engagement à concrétiser les orientations de la directive du gouvernement, surtout en faveur de l’égalité des genres. Il y a aussi la prise de conscience des femmes dans le développement socio-économique, ainsi que la participation des femmes dans l’instance de décision», insiste Ndèye Sokhna Diop du ministère de l’Agriculture.

A noter que l’Alliance Nationale Femmes et Foncier est une plateforme qui regroupe 15 institutions. Ces organisations partagent une vision commune, celle d’un Sénégal où les femmes et les hommes sont conscients de l’importance du respect des droits des femmes en termes d’accès.
L’As

Nouvelle grève à l'hôpital régional de Saint-Louis : ce que les syndicalistes dénoncent

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Vendredi, les services de l'hôpital régional de Saint-Louis n'ont pas fonctionné en plein régime. D'ailleurs, de nombreux malades ont rebroussé chemin, sans être consultés ou soignés par les blouses blanches.
Nouvelle grève à l'hôpital régional de Saint-Louis : ce que les syndicalistes dénoncent
Les membres de l'intersyndicale A3S ont tenu un sit-in suivi d'une assemblée générale dans l'enceinte de la structure sanitaire. Pour Honorio Tendeng, porte-parole du jour des syndicalistes, l'hôpital est plus malade que les patients qui le fréquentent. Raison pour laquelle, ils ont tenu à alerter les populations de cette difficile situation.

"Les travailleurs vivent quotidiennement des ruptures récurrentes de consommables dans tous les services, surtout au bloc opératoire, au laboratoire et à la radiologie. On ne peut plus lister le nombre d'appareils en panne dans l'hôpital. La table télécommandée en radiologie ne fonctionne plus. Des ascenseurs pour évacuer les malades sont à l'arrêt ; des ambulances sont garées pour de petites pannes, entre autres. La pharmacie de l'hôpital manque toujours de produits essentiels. Elle est même souvent en rupture de seringues", a dénoncé M. Tendeng.

Pis, des médecins spécialistes n’ont pas de service, malgré le besoin pressant des usagers. Le recouvrement des dettes d'un milliard exigé Cette situation délétère, les syndicalistes l'imputent à la gestion calamiteuse de l'administration de l'hôpital. A en croire le secrétaire général local du Sas, l’essentiel des recettes de l’hôpital est tiré de la facturation à terme non recouvrée.

"Malheureusement, il n'y a pas de rigueur dans le recouvrement des fonds, notamment les imputations budgétaires, la Couverture maladie universelle, les malades pris en charge par la Commune de Saint-Louis. Pour montrer le peu de sérieux de la direction, la division de recouvrement manque de personnel et de véhicule pour faire le job. Mais, cela ne la dérange nullement", a râlé Honorio Tendeng.

Très remontés contre l'administration de la structure sanitaire, les leaders de l'intersyndicale A3S ont exigé de cette dernière le reversement des charges sociales des travailleurs au niveau de l'Ipres à hauteur de 500 millions francs CFA. ‘’Les retraités de l'hôpital régional de Saint-Louis connaissent des problèmes pour se faire payer par l'Ipres. Parce que l'hôpital ne leur cotisait pas", a signalé M. Tendeng.

Le recouvrement des factures impayées qui avoisinent le milliard de francs Cfa. Les travailleurs ont aussi profité du sit-in pour vilipender la direction sur la gestion du personnel.

"Le plan de carrière du personnel est relégué au second rang. Les agents ne bénéficient pas régulièrement de formation continue, d'avancement et de reclassement. On s'est toujours battu, mais, jusqu'à présent, on n'a pas d’IPM ou une subvention pour la mutuelle des agents. Depuis près de 11 mois, on doit au personnel des arriérés de primes de motivations, d'astreintes et des heures supplémentaires", a fustigé le porteparole du jour.

Lors de l'AG, l’intersyndicale a aussi sévèrement taclé les autorités gouvernementales. Les syndicalistes ont dénoncé la ponction de 200 millions de francs CFA sur leur subvention par l'Etat.

" On ne devrait pas ponctionner 200 millions de francs CFA sur notre subvention. Parce que, rien ne le justifie. D'ailleurs, cette ponction aura des conséquences dans la prise en charge des malades et du personnel", a déploré M. Tendeng
Enquête

Campagne de commercialisation arachidière : Diagne Fada réclame les meilleures graines aux opérateurs

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En visite de travail, Modou Diagne Fada a invité les opérateurs et producteurs à livrer les meilleures graines à la SONACOS. Il a refusé de dévoiler les objectifs assignés às on entreprise dans le cadre de la collecte des graines pour cette présente campagne de commercialisation arachidière.
Campagne de commercialisation arachidière : Diagne Fada réclame les meilleures graines aux opérateurs
« Nous lançons un appel aux opérateurs et producteurs pour livrer leurs meilleures graines à la SONACOS, qui est une société nationale, pour satisfaire les besoins des Sénégalais en huile et en tourteau. Nous avons une mission de service public, parce que l'instruction que nous avons reçue du chef de l'Etat, c’est d'acheter les graines des paysans. On veut de graines de qualité, mais, on est obligé d'acheter toutes les graines proposées et cultivées dans le pays. Nous avons noté que la densité n'a pas été bonne dans certaines zones’’, a lancé, vendredi, Modou Diagne Fada, directeur général de la SONACOS, aux opérateurs privés semenciers.

Il effectuait une tournée à l’usine de Diourbel. Dans cette unité industrielle, Modou Diagne Fada dit avoir constaté avec satisfaction une bonne affluence : 145 camions, avec plus de 15 000 tonnes de graines déjà collectées.

A ses yeux, ‘’la campagne marche bien pour la SONACOS’’. Il espère qu’ils auront de meilleurs résultats que la précédente campagne. ‘’Durant toute la campagne de l'année dernière, nous n'avions collecté que 9 000 tonnes et, aujourd'hui, nous sommes à 22 jours de campagne et nous en sommes à 15 000 tonnes au niveau du site de Diourbel. Il faut féliciter le président Macky Sall qui a donné les orientations, en demandant à la SONACOS de réformer son organisation interne, en créant une direction Achat graine propre dotée de moyens logistiques et financiers qui s'est déjà déployée sur le terrain, pour une campagne de sensibilisation sur le terrain, depuis la distribution des semences jusqu'à à la récolte. Je crois que cela a donné les résultats. Nous pensons qu'à ce rythme, cette cadence, tout cela va se poursuivre pour qu'on puisse atteindre nos objectifs de collecte au niveau du site de Diourbel’’, a-t-il ajouté avec optimisme.

En effet, les dirigeants de la SONACOS pensent qu’ils vont largement dépasser ce qu’ils avaient collecter l'année dernière.

‘’Les financements sont trouvés pour acheter le maximum de graines’’ Interpellé sur les objectifs de collecte assignés à sa structure, le directeur général de la SONACOS refuse de les dévoiler pour la bonne et simple raison que « c’est une question stratégique, parce que le marché est devenu concurrentiel. On ne peut pas révéler toute notre stratégie, mais, comprenez que les financements sont trouvés pour acheter le maximum de graines. Avec le soutien du Chef de l'Etat, nous avons pu négocier et conclure un accord de financement avec ITFC (société islamique internationale de financement du commerce) qui est notre bailleur principal. Cette année, 40 millions d'euros ont été dégagés, soit, l’équivalent de 26 milliards FCFA. Ce montant est venu s'ajouter aux 6,5 millions d’euros restants de la campagne précédente ».

La SONACOS attend une contribution des banques locales à hauteur de 15 milliards FCFA. A Diourbel, la SONACOS dit être prête à acheter jusqu'à hauteur de 47,5 milliards FCFA, à travers ses sites de Diourbel, Louga, Kaolack, Tambacounda, Kolda et de Ziguinchor.

S’agissant de l’usine de Diourbel, la direction de l'usine pense que pour mieux sécuriser les Secco (aire de stockage), elle va devoir construire un mur de clôture. Ce mur, d’après Modou Diagne Fada, va coûter près de 35 millions FCFA. Interpellé sur les directeurs centraux et d’usine admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite et qui sont encore maintenus à leurs postes avec des contrats spéciaux, Modou Diagne Fada a préféré esquiver la question et ne pas répondre
Enquête

Thiès :Une dette de 737 millions de francs CFA de l’Etat bloque le fonctionnement des mutuelles de santé

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Les mutuelles de santé de la région de Thiès (ouest) croulent sous le poids d’une dette de l’Etat s’élevant à près de 737 millions de francs CFA, a déclaré, récemment, le coordonnateur du comité régional chargé de la protection sociale, Arona Diallo.
Thiès :Une dette de 737 millions de francs CFA de l’Etat bloque le fonctionnement des mutuelles de santé
«Notre système d’assurance est en train de s’effondrer sous le poids des créances», s’est inquiété M. Diallo, lors d’un point de presse en présence de certains membres des mutuelles de santé et usagers des services de santé. L’Etat doit 737.835.379 francs CFA aux mutuelles de la région de Thiès, a-t-il dit en lisant face à la presse locale un mémorandum des usagers des services de santé.

Au niveau national, la dette de l’Etat envers les mutuelles de santé s’élève à 25 milliards de francs CFA, selon M. Diallo, qui est également vice-président de l’Union régionale des mutuelles de santé de Thiès. Le retard du versement des cotisations des années 2018, 2019, 2020 et 2021 engendre d’autres «retards», ceux du règlement des factures du paiement des charges de fonctionnement des établissements de santé, a-t-il souligné.

Certains établissements de santé ont suspendu les services offerts aux usagers membres des mutuelles à cause de la dette de l’Etat, selon Arona Diallo. A leur tour, des mutuelles ont mis fin à la prise en charge qu’elles offrent aux groupes vulnérables, dont les cotisations, assurées par l’Etat, tardent à être versées aux mutuelles, a-t-il signalé.

M. Diallo juge «faible» le nombre de bénéficiaires de la carte d’égalité des chances. Seules quelque 69.000 personnes vivant avec un handicap en bénéficient, sur un effectif global d’environ 3 millions, a-t-il indiqué.

Arona Diallo rappelle que les prestations offertes par les services de santé aux bénéficiaires de la bourse de sécurité familiale et aux titulaires de la carte d’égalité des chances étaient entièrement payées par l’Etat. L’Union régionale des mutuelles de santé de Thiès craint, en raison de cet endettement et de ses conséquences, d’arriver à un arrêt total des services de santé fournis aux membres des 88 mutuelles de la région, selon M. Diallo.

«On assiste à un renchérissement des soins pour les ménages, qui sont obligés de recourir aux officines de pharmacie» et «au secteur privé pour accéder à des soins de qualité», a-t-il signalé.

«Nous assistons à une détérioration de la qualité des soins au Sénégal, à un risque de destruction et d’effondrement de notre système de santé après tant d’efforts», lit-on dans le mémorandum. Les mutuelles, selon Arona Diallo, sollicitent l’intervention des autorités administratives locales, pour obtenir le règlement de la dette de l’Etat.
Tribune

Le bloc opératoire du Centre de santé de Keur Massar à plein régime : 622 actes d'interventions chirurgicales, dont 459 césariennes réussies en 4 mois

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Le maire de Pikine Abdoulaye Thimbo a inauguré hier les trois blocs opératoires des Centres de santé Baye Talla Diop de Pikine, du centre de santé de Sicap Mbao et du Centre de santé de Keur Massar. Ces trois blocs opératoires sont financés entièrement par la ville de Pikine et équipés. Selon le maire Abdoulaye Thimbo, ils visent à relever le plateau technique des hôpitaux de Pikine et soulager les populations.
Le bloc opératoire du Centre de santé de Keur Massar à plein régime : 622 actes d'interventions chirurgicales, dont 459 césariennes réussies en 4 mois
«Nous avons équipé les blocs de matériel médical de dernière génération, estimé à plus d'un milliard Cfa», explique Abdoulaye Thimbo. Le médecin chef du district sanitaire de Keur Massar, Dr Amady Bâ, a saisi cette cérémonie pour faire le point du bloc opératoire du Centre de santé de Keur Massar, depuis sa mise en fonctionnement en août 2020. «D'août 2020 à aujourd'hui nous sommes à 622 actes d'interventions chirurgicales dont plus de 459 césariennes que nous avons réussies. Le bloc joue un rôle important dans cette localité», explique Dr Hamady Bâ.

Selon la blouse blanche, les évacuations des malades de Keur Massar vers les hôpitaux de Dakar ont considérablement chuté. «Nous travaillons pour l’inverse. Que des malades quittent Dakar pour ici. Pour cela, nous sollicitons des appuis pour disposer d'anesthésistes-réanimateurs, de gynécologues et de spécialistes en néo-anthologie», plaide Dr Bâ, devant les autorités. ...

Un poste de santé à vocation gériatrie mis à la disposition du 3ème âge
L'édile de Pikine a aussi inauguré le Poste de santé à vocation gériatrie sis à la grande mosquée de Pikine. Il a coûté à la ville de Pikine 110 millions de Cfa, entièrement équipé.

«C'est une demande des personnes du troisième âge que nous venons de satisfaire. L'hôpital se trouve à côté de la grande mosquée, ce n'est pas gratuit. Tout ceci montre que la ville de Pikine travaille à améliorer le plateau technique des hôpitaux de Pikine», précise M. Thimbo. Toutefois, le maire a indiqué que le poste de santé qui porte le nom de la Première Dame, Marième Faye Sall accueille également les autres couches de la population.
Tribune

Alioune Tine Fondateur D’afrikajom Center «Auditer la fonction publique est une urgence»

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La sortie du président de la République, lors de la remise de certification ISO 9001 version 2015 à la Direction des moyens généraux de la présidence de la République, a remis au goût du jour la problématique des «recrutements anarchiques dans la Fonction publique». Alioune Tine Fondateur D’afrikajom Center demande «d’auditer la fonction publique, une urgence signalée...
Alioune Tine Fondateur D’afrikajom Center «Auditer la fonction publique est une urgence»
Une situation qui a fait doubler la masse salariale en 10 ans. Celle-ci est passée de 428 milliards en 2011 à 900 milliards en 2021. Pas étonnant si les effectifs, eux aussi, vont crescendo. En effet, une hausse vertigineuse est constatée sur la période indiquée. De 91 401 agents en 2011, la Fonction publique se retrouve avec plus de 152 000 agents, en 2021.

Prenant la balle au bond face à cette situation plus qu’inquiétante, Alioune Tine déclare : «Auditer la Fonction publique, c’est une urgence signalée.»

Selon le fondateur d’Afrikajom Center, la gangrène qu’il faut impérativement extirper pour soigner définitivement le mal, c’est la «politisation de la Fonction publique».

«La Fonction publique n’a jamais été autant politisée et le recrutement et les nominations n’ont jamais été autant politisés. Auditer la Fonction publique, c’est une urgence signalée. Réduire le fait partisan qui détruit et décrédibilise l’Administration», écrit Alioune Tine dans un tweet.
Tribune


Initiative pour la réduction des importations de riz : Un projet agricole lancé à Fatick

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Le Projet de développement de la chaîne de valeur riz (PDCVR) a été lancé, jeudi, à Fatick (centre), dont le but est de réduire les importations de cette denrée alimentaire, a informe l’APS. Cette initiative concerne aussi les régions de Kaolack et de Thiès.
Initiative pour la réduction des importations de riz : Un projet agricole lancé à Fatick
«Ce projet devrait nous permettre de réduire de manière significative les importations de riz», a dit El Hadj Sémou Diouf, l’adjoint du gouverneur de Fatick, chargé des affaires administratives.

«Avec ce projet, il est temps de travailler avec les producteurs pour réduire considérablement, d’ici à 2025, nos importations de riz», a ajouté M. Diouf lors du lancement du PDCVR, en présence du coordonnateur national du projet, Wally Diouf.

L’adjoint du gouverneur de Fatick a invité les responsables du PDCVR à une collaboration avec les autres projets et programmes de la filière riz mis en œuvre dans le centre du pays.

Le Projet de développement de la chaîne de valeur riz sera exécuté jusqu’en 2025. Il va intervenir dans la vallée du fleuve (Nord) et dans les régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor. Il est financé par la Banque islamique de développement et l’Etat du Sénégal.

Le coût du PDCVR est de 26 milliards de francs CFA. «En plus d’œuvrer à la réduction des importations élevées de riz, le PDCVR va aider à stimuler la croissance économique en améliorant la production, la transformation, la commercialisation et la contribution du secteur privé à la filière riz», a assuré Mansour Diop, son responsable pour la zone centre du pays.

«Il est attendu également du PDCVR une augmentation des revenus des producteurs et ménages», a promis M. Diop. Selon lui, le projet sera lié aux instituts de recherche agricole locaux et aux partenaires techniques et financiers par des accords de partenariat.

Sur le terrain, le PDCVR va aménager et augmenter les capacités de rétention d’eau des vallées situées dans les régions bénéficiaires. Il va intervenir en même temps dans la production de semences et fournir des équipements aux producteurs. Son objectif est d’augmenter de 30 % les revenus des producteurs bénéficiaires, d’ici à 2025, de créer 20.000 emplois. Le projet est placé sous la tutelle technique du Programme national d’autosuffisance en riz.

Hommage au Maodo Mamadou Dia à l’occasion de l’anniversaire des évènements du 17 Décembre 1962

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En effet les patriotes sénégalais se rappellent de l’intransigeance du Président Dia pour la défense des intérêts supérieurs de notre le pays le Sénégal A cet égard se souvenir de Mamadou ce 17 décembre 2021 est un devoir pour tout patriote sénégalais
Hommage au Maodo Mamadou Dia à l’occasion de l’anniversaire des évènements du 17 Décembre 1962
Mamadou Dia : Un Nationaliste intransigeant, fondateur de l’Etat du Sénégal.
Le Sénégal doit se souvenir du Président Mamadou Dia, l’homme des ruptures et le patriote grâce à qui, l’intégrité du territoire de la colonie est restée intacte. Après avoir cosigné les accords d’indépendance avec Modibo Keita, il a fait face au dictat des soudanais entrainant la fin de la Fédération. Après cet épisode douloureux, il s’est consacré corps et âme à la construction d’une jeune nation de 1958 à 1962 dont la population avait souffert des vexations et brimades de toutes sortes des colonialistes.

Il s’est battu pour garder la presqu’ile du Cap Vert, aujourd’hui la région de Dakar, dans le territoire sénégalais. Sur la base d’études scientifiques et d’analyses fouillées mis en place une stratégie de développement à long terme en vue d’édifier une économie endogène et résiliente fut élaborée. Il disait bien que l‘indépendance politique ne peut avoir de sens sans une indépendance économique.

Il avait l’ambition de diversifier notre partenariat avec tous les pays respectueux de notre souveraineté et réduire à son strict minimum l’assistance technique française et fermer toutes les bases militaires. Il avait négocié des accords monétaires, dans un esprit intégrateur, qui devaient même ramener la Guinée et maintenir la Mauritanie dans notre zone monétaire. Il a défendu l’adhésion du Sénégal aux Nations unies, du fait que le siège de la fédération du Mali étant occupé par les Soudanais.

Il a bâti nos structures administratives post indépendance et avait créé sept régions administratives fondées sur leurs potentialités économiques. Il a surtout défait l’économie de traite en vue de restituer au paysan la plénitude de sa décision d’action par la mise en place de coopératives qui devaient évoluer vers un statut de société à responsabilité limitée avec l’animation comme moyen de conscientisation de sa condition d’exploitée. Ce combat, il l’avait mené contre la bourgeoisie bureaucratico-parlementaire affairiste alliée à la France coloniale bénéficiant du soutien d’une classe politico-religieuse qui ne cessait de sucer le monde paysan avec l’appui de chefs traditionnels ou de canton se donnant toutes les libertés qu’il a finis par supprimer.

Il était convaincu que l’industrialisation devait passer par un encadrement technologique et une formation alliant théorie et pratique de nos artisans dans le souci aussi de créer une économie rurale forte contribuant à une osmose ville-campagne. Mais déjà son souci d’indépendance économique l’a conduit à créer la Société Africaine de Raffinage et d’orienter la grande industrie vers la transformation de nos ressources locales.

Il avait débuté une réforme de l’enseignement au service de l’économie. La priorité étant le monde rural, il a créé l’Ecole national d’Economie appliquée et des écoles d’agents technique d’agriculture ou d’élevage récupérant les élèves de CM2 non reçus à l’entrée en sixième. Ces écoles devaient mailler le territoire national. Pour une administration efficace, il avait créé des écoles destinées à répondre aux besoins de l’Etat. Il voulait accélérer la scolarisation en atteignant un taux 50% de scolarisés à la fin de l’année 1964, année terminale du Premier plan, car pour lui, l’analphabétisme était le plus ennemi d’une nation.

Il a, en peu de temps, changé le visage de la ville de Dakar et mis en place un programme d’habitat social avec une perspective de donner le toit facile aux sénégalais. Avec l’OHLM, il a fait construire des logements presque dans toutes les grandes communes du Sénégal, au nombre de 33 à l’indépendance. Avec la SICAP il a réalisé les lots de liberté 1, 2, 3 et les logements des allées du Centenaire. Il a engagé la construction de la grande mosquée de Dakar. Il voulait faire de la Ville de Thiès une ville teste, modèle à répliquer partout dans le pays avec des plans directeurs urbains bien réfléchis.

Il était respectueux de manière intransigeante des biens et deniers publics justifiant d’ailleurs son absence de patrimoine. En effet à son arrestation, lui l’ordonnateur du budget national n’avait même pas une maison pour sa famille.

« Le Groupe de la Corbeille du Président Dia »

Covid-19 : 20 nouvelles infections enregistrées, ce dimanche, Dakar la « capitale » du Virus

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Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a recensé dimanche, 20 nouveaux cas de Covid-19 sur 2102 tests réalisés, soit un taux de positivité de 0,95 %, contre aucun décès les dernières 24 heures.
Covid-19 : 20 nouvelles infections enregistrées, ce dimanche, Dakar la « capitale » du Virus
Deux (02) cas contacts, suivis par les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale ont été enregistrés, et 18 autres issus de la transmission communautaire, indique le bulletin quotidien du ministère de la Santé et de l’Action sociale.

La même source précise que les transmissions communautaires ont été enregistrées à Dakar (15), à Keur Massar (01), à Guediawaye (01). Le département de Tivaouane, dans la région de Thiès a enregistré un (01) cas.

Elle ajoute que neuf (09) patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris, deux (02) cas graves sont pris en charge par les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale. L’état de santé des autres malades hospitalisés est ‘’stable’’.

Le Sénégal a, à ce jour, enregistré 74 161 cas déclarés positifs dont 72 212 guéris, 1 886 décédés et 62 sous traitement.

A la date du samedi 18 décembre, 468 personnes ont été vaccinées contre la maladie, portant le nombre total à 1 343 965.

APS

Ingérence française dans le processus électoral du Sénégal :Halte au business illégal de Spallian- Ndiaga Guèye ASUTIC

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Lors de l’élection présidentielle de février 2019 au Sénégal, un nouvel acteur du processus électoral a fait son apparition. Un acteur de l’ombre, très discret, qui travaille loin des yeux de l’opinion nationale et des projecteurs de la presse. Un acteur inconnu et méconnu de la majorité des citoyens-électeurs, des partis politiques, de la société civile et de la presse­: La société française Spallian.
Ingérence française dans le processus électoral du Sénégal :Halte au business illégal de Spallian- Ndiaga Guèye ASUTIC
Cette société française se présente comme une entreprise de data-science, spécialiste de «­la création d’observatoires de données, dans les conseils en management de la sûreté, en géo-intelligence et en solutions de smart gouvernance».

En réalité, c’est l’une des nombreuses sociétés, version française de Cambridge Analytica. Une société au cœur d'un scandale mondial, accusée d'avoir organisé l'« aspiration » des données personnelles de 87 millions d'utilisateurs de Facebook dans le but de cibler des messages favorables à l’élection de Donald Trump en 2016 à la présidence des États Unis.

Spallian propose à ses clients qui sont soient des partis politiques ou des personnalités publiques, de collecter et d’analyser des données avec ses logiciels «­Corto et Memento­» pour produire une cartographie électorale qui pourrait permettre de mener une campagne électorale plus… efficiente.

Une société française aux pratiques électorales mafieuses dont les clients peuvent organiser un scrutin parallèle, en faisant du porte-à-porte pour faire voter à domicile certains militants (Extraits, Bal Tragique à l’UMP. Baptiste Marteau et Neïla Latrous ; Ed. Flammarion).

D’ailleurs, cette société française a été au cœur d’une affaire de de détournement de fonds publics, de soustraction à l’impôt, de blanchiment, de soustraction ou destruction de biens d’un dépôt public, de recel et enfin de délit pour financer la campagne électorale d'un parti politique.

Ainsi, elle est plus connue pour être dans des opérations de détournement de fonds publics mais surtout dans la magouille et la tricherie électorale. Aussi, avec une telle réputation, seuls de très petits candidats à une élection, peu connus, ont recours à ses services en France.

C’est donc, cette société française, peu recommandable, que le président de la coalition politique au pouvoir au Sénégal depuis 2012, candidat à sa réélection, s’était attaché les services en perspective de l’élection présidentielle de 2019. Une société française sans scrupules sur les derniers publics, qui manque d’honnêteté et d’éthique, conseille le Président de la coalition au pouvoir sur l’utilisation des données personnelles des Sénégalais afin de pouvoir manipuler leurs opinions politiques.

Ce dernier, fit ainsi entrer le Sénégal dans l’ère des élections 2.0, autrement dit, des stratégies de campagnes électorales dirigées par le big data. Des données de masse collectées et utilisées dans des logiciels qui seraient la solution pour gagner une élection et ainsi atteindre la Présidence, l’Assemblée nationale ou encore, les mairies. Une première au Sénégal et en Afrique.

L’analyse de la victoire à un 2ème mandat en 2019, du Président de la coalition au pouvoir, révèle que cette dernière n’est que le résultat de la mise en œuvre par cette société française d’une stratégie d’identification et d’exécution des leviers de manipulation du processus électoral en traitant les données collectées.

D’ailleurs, elle fait du travail effectué auprès de son client Sénégalais lors du scrutin de 2019, une référence mise en vedette, pour certainement gagner des marchés auprès d’autres Présidents Africains, candidats à une réélection.

Cependant, des questions se posent sur la légalité aussi bien des données personnelles utilisées par Spallian que de ses outils numériques de propagande politique.

Cette société française spécialiste du trucage d’élections travaille avec les données qui lui sont fournis par ses clients ou collectées directement sur le terrain avec son logiciel «­Memento­». Aussi, nous estimons que les données personnelles de 3 600 000 électeurs ont été collectées par la coalition politique au pouvoir avec l’application «­Memento­» pour alimenter directement la base de données du logiciel de cartographie électorale «­Corto­».

En outre, Spallian a collecté des données de Sénégalais auprès de Ministères et partenaires clés. En effet, dans la brochure présentant ses références, cette société française annonce qu’elle a une mission au Sénégal de réaliser une solution de visualisation de l’action gouvernementale. A ce titre, elle doit convaincre les Ministères et partenaires clés à partager leurs données (Voir brochure page 16).

La question se pose de savoir de quel contrat avec le gouvernement du Sénégal Spallian peut se prévaloir pour demander aux Ministères et partenaires clés à partager leurs données. Ça ne serait pas surprenant que l’argent public et les fichiers publics du Sénégal soient détournés aux fins de produire des services pour la coalition au pouvoir dont le Président est conseillé par cette société.

Pour rappel, cette société française est un habitué des pratiques mafieuses et collabore dans des projets de détournement de deniers publics à des fins privées et politiques.

Aussi, il est important de noter que la collecte, le transfert, l’hébergement et le traitement des données personnelles par Spallian a été effectué en violation de la loi. En effet, dans aucun des avis trimestriels de la Commission des Données Personnelles du Sénégal, il ne nous a pas été possible de constater une autorisation de collecte et de transfert de données personnelles accordée à cette société française.

En considérant ce qui précède, la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) sera saisie d’une plainte contre la Société Spallian.

Cependant, un étranger ne peut pas saisir l'autorité de protection des données personnelles de la France (CNIL), aussi, nous demandons aux Sénégalais ayant la nationalité française de nous accompagner afin que nous puissions la saisir pour la destruction des données des Sénégalais illégalement hébergées et traitées par cette société française.

Non seulement la société française Spallian viole la loi sur la protection des données personnelles, mais en outre, l’introduction au Sénégal de ses logiciels de propagande politique au Sénégal est illégal, à défaut d’une autorisation administrative préalable.

L’article 1er de la loi n°1969-31 du 29 avril 1969 relative au contrôle des matériels de propagande politique d'origine étrangère dispose­: «­est soumise à autorisation administrative préalable l'introduction de matériels de toute nature d'origine ou de provenance étrangère réalisés ou non au Sénégal et présentant un caractère de propagande politique.»

Dans cette loi la propagande politique est ainsi définie­: «­par propagande politique, on doit entendre toute entreprise organisée pour influencer ou diriger l'opinion­».

En vertu, de cette disposition de la loi de 1969, les logiciels de Spallian ne peuvent ni être introduits, ni utilisés au Sénégal sans une autorisation de l’administration. Aussi, une enquête doit être diligentée afin que les Sénégalais mais surtout les acteurs du processus électoral soient édifiés sur la légalité de ces logiciels.

Cette ingérence française dans le processus électoral du Sénégal qui vise à détourner et à confisquer la souveraineté du Peuple Sénégalais est totalement inacceptable. Dés lors, une mobilisation citoyenne et politique s’impose afin de faire cesser les activités illégales de propagande politique de la société française Spallian au Sénégal.

Fait à Dakar, le 19/ 12/ 2021
Le Président Ndiaga Gueye
Doctorant en Sciences de l'Information et de la Communication
Chercheur en communication politique à l'ère numérique
Laboratoire: LARSIC, École Doctorale: ED-ETHOS
Université Cheikh Anta Diop de Dakar Sénégal
Email infos@asutic.org

Ingérence française dans le processus électoral du Sénégal : Halte au business illégal de Spallian (par Ndiaga Guèye, Asutic)

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Ingérence française dans le processus électoral du Sénégal : Halte au business illégal de Spallian (par Ndiaga Guèye, Asutic)
Lors de l’élection présidentielle de février 2019 au Sénégal, un nouvel acteur du processus électoral a fait son apparition. Un acteur de l’ombre, trés discret, qui travaille loin des yeux de l’opinion nationale et des projecteurs de la presse. Un acteur inconnu et méconnu de la majorité des citoyens-électeurs, des partis politiques, de la société civile et de la presse­: La société française Spallian.
 
Cette société française se présente comme une entreprise de data-science, spécialiste de «­la création d’observatoires de données, dans les conseils en management de la sûreté, en géo-intelligence et en solutions de smart gouvernance­».
 
En réalité, c’est l’une des nombreuses sociétés, version française de Cambridge Analytica. Une société au cœur d'un scandale mondial, accusée d'avoir organisé l'« aspiration » des données personnelles de 87 millions d'utilisateurs de Facebook dans le but de cibler des messages favorables à l’élection de Donald Trump en 2016 à la présidence des États Unis.
Spallian propose à ses clients qui sont soient des partis politiques ou des personnalités publiques, de collecter et d’analyser des données avec ses logiciels «­Corto et Memento­» pour produire une cartographie électorale qui pourrait permettre de mener une campagne électorale plus… efficiente.
 
Une société française aux pratiques électorales mafieuses dont les clients peuvent organiser un scrutin parallèle, en faisant du porte-à-porte pour faire voter à domicile certains militants (Extraits, Bal Tragique à l’UMP. Baptiste Marteau et Neïla Latrous ; Ed. Flammarion).
D’ailleurs, cette société française a été au cœur d’une affaire de de détournement de fonds publics, de soustraction à l’impôt, de blanchiment, de soustraction ou destruction de biens d’un dépôt public, de recel et enfin de délit pour financer la campagne électorale d'un parti politique.
 
Ainsi, elle est plus connue pour être dans des opérations de détournement de fonds publics mais surtout dans la magouille et la tricherie électorale. Aussi, avec une telle réputation, seuls de très petits candidats à une élection, peu connus, ont recours à ses services en France.
C’est donc, cette société française, peu recommandable, que le président de la coalition politique au pouvoir au Sénégal depuis 2012, candidat à sa réélection, s’était attaché les services en perspective de l’élection présidentielle de 2019. Une société française sans scrupules sur les derniers publics, qui manque d’honnêteté et d’éthique, conseille le Président de la coalition au pouvoir sur l’utilisation des données personnelles des Sénégalais afin de pouvoir manipuler leurs opinions politiques.
 
Ce dernier, fit ainsi entrer le Sénégal dans l’ère des élections 2.0, autrement dit, des stratégies de campagnes électorales dirigées par le big data. Des données de masse collectées et utilisées dans des logiciels qui seraient la solution pour gagner une élection et ainsi atteindre la Présidence, l’Assemblée nationale ou encore, les mairies. Une première au Sénégal et en Afrique.
 
L’analyse de la victoire à un 2ème mandat en 2019, du Président de la coalition au pouvoir, révèle que cette dernière n’est que le résultat de la mise en œuvre par cette société française d’une stratégie d’identification et d’exécution des leviers de manipulation du processus électoral en traitant les données collectées.
 
D’ailleurs, elle fait du travail effectué auprès de son client Sénégalais lors du scrutin de 2019, une référence mise en vedette, pour certainement gagner des marchés auprès d’autres Présidents Africains, candidats à une réélection.
 
Cependant, des questions se posent sur la légalité aussi bien des données personnelles utilisées par Spallian que de ses outils numériques de propagande politique.
 
Cette société française spécialiste du trucage d’élections travaille avec les données qui lui sont fournis par ses clients ou collectées directement sur le terrain avec son logiciel «­Memento­». Aussi, nous estimons que les données personnelles de 3 600 000 électeurs ont été collectées par la coalition politique au pouvoir avec l’application «­Memento­» pour alimenter directement la base de données du logiciel de cartographie électorale «­Corto­».
 
En outre, Spallian a collecté des données de Sénégalais auprès de Ministères et partenaires clés. En effet, dans la brochure présentant ses références, cette société française annonce qu’elle a une mission au Sénégal de réaliser une solution de visualisation de l’action gouvernementale. A ce titre, elle doit convaincre les Ministères et partenaires clés à partager leurs données (Voir brochure page 16).
 
La question se pose de savoir de quel contrat avec le gouvernement du Sénégal Spallian peut se prévaloir pour demander aux Ministères et partenaires clés à partager leurs données. Ça ne serait pas surprenant que l’argent public et les fichiers publics du Sénégal soient détournés aux fins de produire des services pour la coalition au pouvoir dont le Président est conseillé par cette société.
 
Pour rappel, cette société française est un habitué des pratiques mafieuses et collabore dans des projets de détournement de deniers publics à des fins privées et politiques.
 
Aussi, il est important de noter que la collecte, le transfert, l’hébergement et le traitement des données personnelles par Spallian a été effectué en violation de la loi. En effet, dans aucun des avis trimestriels de la Commission des Données Personnelles du Sénégal, il ne nous a pas été possible de constater une autorisation de collecte et de transfert de données personnelles accordée à cette société française.
 
En considérant ce qui précède, la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) sera saisie d’une plainte contre la Société Spallian.
 
Cependant, un étranger ne peut pas saisir l'autorité de protection des données personnelles de la France (CNIL), aussi, nous demandons aux Sénégalais ayant la nationalité française de nous accompagner afin que nous puissions la saisir pour la destruction des données des Sénégalais illégalement hébergées et traitées par cette société française.
 
Non seulement la société française Spallian viole la loi sur la protection des données personnelles, mais en outre, l’introduction au Sénégal de ses logiciels de propagande politique au Sénégal est illégal, à défaut d’une autorisation administrative préalable.

L’article 1er de la loi n°1969-31 du 29 avril 1969 relative au contrôle des matériels de propagande politique d'origine étrangère  dispose­: «­est soumise à autorisation administrative préalable l'introduction de matériels de toute nature d'origine ou de provenance étrangère réalisés ou non au Sénégal et présentant un caractère de propagande politique.»
 
Dans cette loi, la propagande politique est ainsi définie­: «­par propagande politique, on doit entendre toute entreprise organisée pour influencer ou diriger l'opinion­».
 
En vertu, de cette disposition de la loi de 1969, les logiciels de Spallian ne peuvent ni être introduits, ni utilisés au Sénégal sans une autorisation de l’administration. Aussi, une enquête doit être diligentée afin que les Sénégalais mais surtout les acteurs du processus électoral soient édifiés sur la légalité de ces logiciels.
 
Cette ingérence française dans le processus électoral du Sénégal qui vise à détourner et à confisquer la souveraineté du Peuple Sénégalais est totalement inacceptable. Dés lors, une mobilisation citoyenne et politique s’impose afin de faire cesser les activités illégales de propagande politique de la société française Spallian au Sénégal.
 
Fait à Dakar, le 19/ 12/ 2021
Le Président Ndiaga Gueye
Doctorant en Sciences de l'Information et de la Communication
Chercheur en communication politique à l'ère numérique
Laboratoire: LARSIC, École Doctorale: ED-ETHOS
Université Cheikh Anta Diop de Dakar Sénégal
Email infos@asutic.org



Source : https://www.impact.sn/Ingerence-francaise-dans-le-...

Drame écologique à Kayar: Des dunes de sable rasées (en cours) par des exploitants véreux

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Depuis le 5 décembre dernier, les dunes, en allant vers Kayar sont en train d'être rasées par des exploitants de sable véreux. Encore un drame écologique qui aura des conséquences dans le moyen et long terme.
Drame écologique à Kayar: Des dunes de sable rasées (en cours) par des exploitants véreux
Exploitation de sable en cours sur les dunes se situant à l’Est du Lac Mbaouane et au Nord du village de Santhiou Mame Gor, en allant vers Kayar (Nord-Est de la Région de THIÈS). Des oasis de palmiers sont actuellement attaqués !

Ces dunes sont essentielles à la protection contre l’avancée de la mer, et cruciales car elles protègent une bonne partie des terres agricoles des niayes contre les Alizés dominants !

Imaginez l’impact économique négatif si les agriculteurs de la zone perdent leurs rendements agricoles !

États-Unis – Une enquête accablante sur les frappes de drones américains

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Le «New York Times» a dévoilé, dans une longue enquête, les défaillances des frappes de drones américains en Afghanistan, Irak et Syrie.
 
Des renseignements défaillants, des dommages collatéraux inévitables et des milliers de civils tués: le «New York Times» publie samedi une enquête choc  sur les frappes de drones privilégiées depuis 2014 par l’armée américaine dans sa guerre contre les groupes djihadistes en Afghanistan, Irak et Syrie.
 
Basée sur 1300 rapports du Pentagone sur des incidents ayant fait des victimes civiles, obtenus par le quotidien américain dans le cadre de la loi sur la transparence dans les administrations (FOIA), cette enquête met à mal l’image d’une guerre «propre» menée à coups de «frappes de précision» présentée régulièrement par l’armée américaine.
 
«La guerre aérienne américaine a été marquée par des renseignements défaillants, des tirs de missiles hâtifs et imprécis, et la mort de milliers de civils, dont de nombreux enfants», conclut le journal. «Pas un seul rapport ne conclut à une faute ou une sanction disciplinaire».
 
50’000 frappes
 
Les promesses de transparence de l’époque de Barack Obama, qui a été le premier président américain à privilégier les frappes de drones pour épargner les vies de soldats américains, ont été remplacées par «l’opacité et l’impunité», ajoute le quotidien qui a dû intenter plusieurs procès au Pentagone et au commandement central de l’armée américaine (Centcom) pour obtenir ces documents.
 
En cinq ans, l’armée américaine a mené plus de 50’000 frappes aériennes en Afghanistan, Syrie et Irak. Elle a admis avoir accidentellement tué 1417 civils dans des frappes aériennes en Syrie et Irak depuis 2014. En Afghanistan, le chiffre officiel est de 188 civils tués depuis 2018. Pour cette enquête menée sur plusieurs mois, le «New York Times» a analysé les documents obtenus et a enquêté sur le terrain, vérifiant les informations officielles sur plus de 100 sites bombardés.
 
Plusieurs des cas mentionnés étaient déjà connus, mais l’enquête montre que le nombre de victimes civiles admises par le Pentagone est «nettement sous-estimé». Les documents montrent que les morts de civils étaient souvent dues à un «biais de confirmation», la tendance à tirer des conclusions conformes à ce que l’on pense probable, selon le «New York Times».
 
Erreurs d’identification
 
Des gens courant vers un site bombardé étaient vus comme des combattants du groupe État islamique, et non des secouristes. De simples motards étaient considérés comme se déplaçant «en formation», ce qui était interprété comme la «signature» d’une attaque imminente.
 
Selon les documents du Pentagone, les erreurs d’identification ne représentaient que 4% des cas de victimes civiles. Mais l’enquête menée sur le terrain par le Times montre qu’elles ont joué un rôle dans 17% des incidents, et surtout qu’elles ont causé près d’un tiers des morts et des blessés civils.
 
Des facteurs culturels ont aussi pesé. Les militaires américains ont ainsi jugé qu’il n’y avait «pas de présence de civils» dans une maison qu’ils surveillaient un jour de Ramadan, alors que plusieurs familles y dormaient pendant la journée, période de jeûne, s’abritant de la chaleur.
 
«Des erreurs se produisent»
 
Des images de mauvaise qualité, ou des surveillances d’une durée insuffisante ont souvent contribué à des frappes meurtrières. Elles ont aussi freiné les tentatives d’enquêtes. Sur les 1311 cas examinés par le «New York Times», seuls 216 avaient été jugés «crédibles» par l’armée américaine. Des informations faisant état de victimes civiles étaient rejetées parce que les vidéos ne montraient pas de corps dans les décombres ou parce que leur durée était insuffisante pour tirer des conclusions.
 
Cité par le «New York Times», le porte-parole du Centcom, le commandant Bill Urban, a noté que «même avec la meilleure technologie du monde, des erreurs se produisent, qu’elles soient dues à des informations erronées ou à une mauvaise interprétation des informations disponibles».
 
«Nous faisons tout pour éviter de faire du tort. Nous enquêtons sur tous les cas crédibles. Et nous regrettons chaque perte de vie innocente», a-t-il affirmé. Pour le journal, «ce qui émerge en fin de compte de plus de 5400 pages de documents, c’est une institution acceptant que des dommages collatéraux soient inévitables». (AFP)
 



Source : https://www.impact.sn/Etats-Unis-Une-enquete-accab...


Pétition pour "Haute trahison": Cheikh Abdou Bara Dolli envoie valser Sonko et lui rappelle les recommandations de Serigne Mountakha

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La pétition contre le Président Macky Sall pour « haute trahision », initiée par Yewwi Askane-wi, sous la houlette d’Ousmane Sonko, n’agrée pas tous les députés de l’opposition.
Pétition pour
En effet, selon Cheikh Abdou Bara Doli de « Bokk Gis Gis », cette pétition ne sera pas votée à l’Assemblée nationale parce qu’elle comporte des insuffisances.

Il attire ainsi l’attention de son collègue, Ousmane Sonko, sur le fait qu’une telle proposition pourrait installer le pays dans l’instabilité.

Cheikh Abdou Bara Dolly demande, par ailleurs, au leader de Pastef de respecter les recommandations de Serigne Mountakha Mbacké qui exhorte la classe politique à éviter tout action qui pourrait attiser la tension sociale.

Promouvoir l'adaptation climatique au Sénégal: Riad Kawar, vice-président OCEANIUM Dakar, s'engage !

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Riad Kawar, vice-président OCEANIUM Dakar revient avec des détails sur la création de son ONG, introduite, il y a près de deux ans. Riad Kawar, administrateur du groupe Facebook, la météo dakaroise go riad considère qu’il s’agit d’un groupe Facebook, visant à fédérer tous les écologistes et environnementalistes, tous les civils ici, au Sénégal et outre mer. L’idéal, dit-il, consiste à établir le lien entre l’atmosphère, la terre et les océans.
« Depuis près de 30 ans, j’ai remarqué que les orages étaient très pâles et perdaient leurs couleurs. C’est pourquoi, j’ai rencontré au Sénégal Ali El Haidar, un grand écologiste et influenceur à travers la planète. On a pu faire le lien entre les arbres, la pluie et le sol.

Aujourd’hui, ce que j’essaie de faire, c’est de donner des messages pour qu’on puisse reboisser la planète, conserver le carbone dans les arbres, au lieu de le rejeter dans l’atmosphère », explique Riad Kawar, vice-président OCEANIUM Dakar.

Suite à sa sortie sur la hausse du prix du pain: Abdoul Mbaye traité d’ignorant, rongé par une haine viscérale au Président Sall

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L’ex-premier Ministre, Abdoul Mbaye est traité d’ignorant, rongé par une haine viscérale à l’égard du Président Macky Sall. Le responsable des Jeunes du PSDR/JANT-BI, Dame Ndiaye considère que l’ex-premier Ministre, Abdou Mbaye, tiré vers le sommet par Macky Sall est un pur cancre. Il ne connait rien du fonctionnement d’un pays.
Suite à sa sortie sur la hausse du prix du pain: Abdoul Mbaye traité d’ignorant, rongé par une haine viscérale au Président Sall
Le responsable des Jeunes du PSDR/JANT-BI, Dame Ndiaye matraque l’ex-premier Ministre, Abdoul Mbaye, suite à sa sortie sur la hausse des prix du pain. Il estime que c’est le Président de la République, Macky Sall qui l’a tiré vers le sommet. Malheureusement, constate-t-il, Abdoul Mbaye nourrit aujourd’hui, une haine lourde envers son ancien chef. Raison, dit-il, de ses errements et de ses sorties maladroites qui sont indignes d’un ancien Premier Ministre. Et, il lui rappelle son passé sombre.

Ainsi, ce responsable expose la tendance, allant vers une embellie financière et budgétaire que des méchants refusent digérer. « Tout le monde a vu ces flux de financements des bailleurs vers le Sénégal qui témoignent de la confiance des partenaires et de la stabilité de notre économie. Mais quand on s’appelle Abdoul Mbaye et qu’on a de la pierre au cœur, on ne peut pas admettre les résultats brillants réussis par Macky Sal et son régime », explique le porte parole du Collectif des jeunes de Macky.

Abdoul Mbaye, insiste-t-il, oublie que la gestion d’une banque privée est totalement différente d’une administration publique. Il précise que ces deux entités n’ont pas les mêmes objectifs, ni les mêmes prérogatives. « C’est pour cela qu’il a été facile pour Abdoul Mbaye de dribbler l’opérateur économique Bocar Samba Dieye et flouer l’ex sénatrice Aida Ndiongue pour après, déverser de gros mensonges sur la place publique pour se dédouaner. Un tel homme, quand il parle n’émeut personne. Pace que, tout le monde sait qu’il cherche à noircir le bilan reluisant du régime de Macky Sall qui laisse entrevoir des lendemains heureux, avec une augmentation du budget et d’autres signaux positifs », relève-t-il. Abdoul Mbaye, rappelle-t-il, s’est toujours comporté comme un traitre.

A retenir, le collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle (CJGMP) était ce weekend à Rufisque et Pikine dans le cadre de la tournée nationale de sensibilisation sur l'impératif de voter les listes de Benno Bokk Yakaar.


« Show of the year » de Nitdoff: L’artiste-rappeur séduit son public

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Le « Show of the year » du rappeur Nitdoff a fait le plein ce week-end. Le Stade Iba Mar Diop a même, refuse du monde, suite au retour du rappeur, engagé politiquement au Parti Pastef.
« Show of the year » de Nitdoff:  L’artiste-rappeur séduit son public
Les jeunes férus du rap étaient massivement, présents au Stade Iba Mar Diop. C’était pour savourer un spectacle de rap du Rappeur Nitdoff. L’artise a fait montre de son engagement dans ses textes et son combat pour l'union, le savoir vivre ensemble, l'émancipation des jeunes de banlieues défavorisées et contre toutes formes d'injustice et de discrimination.

Deaucoup d’artistes rappeurs ont répondu à son appel. Constant dans ses spectacles et très innovateur, Nitdoff a séduit ses fans. A travers ses multiples concerts, le rappeur a, comme d’habitude, accroché avec ses sonorités musicalement, très suaves.

Ainsi, reconnu pour ses positions tranchées, son engagement politique et son amour pour son leader Ousmane Sonko, Nitdoff s’attaque régulièrement à la mauvaise politique des autorités en gestion des affaires du pays. Plus engagé que d’habitude, il refuse de porter de gants pour défendre, décliner sa vision et ses convictions politiques sur divers sujets, projets et programmes.

Considéré comme étant le meilleur rappeur de sa génération, Nitdoff réclame et expose au quotidien, les attentes des populations pour un mieux être. Très tranché, il reste un influenceur assez spécifique qui insiste pour de meilleures politiques étatiques afin plus dynamiques.

Inauguration du TER: Richard Attias dément l'information de sa participation et...

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Inauguration du TER: Richard Attias dément l'information de sa participation et...
Suite à l'information relative à la participation de Richard Attias pour l'inauguration du TER au 27 décembre prochain, ce dernier, sur sa page a démenti l'information.

"Vous avez cru bon de publier une information totalement erronée relative à l'inauguration du TER sans même chercher en à vérifier la véracité. Fake news! Richards Attias and Associates ne participent pas à cet événement historique", a-t-il posté.

Pour rappel, il lui est prêté d'avoir reçu une facture "express" d'un milliard de francs CFA.

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