https://www.leral.net/video/
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Incroyable histoire chez Keur Serigne Louga:" je suis la 10e dieg à venir dans cette maison...ils en ont déjà divorcé 9 !" dixit cette femme en direct...Regardez!
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Voici Serigne Fallou, le jeune pêcheur tué par les gardes côtes mauritaniennes

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URGENT - Affaire Wari SA Millicom: le rachat de Tigo par Wari confirmé par le Tribunal Arbitral de Paris ?
Ce feuilleton économico-judiciaire Wari Milicom semble se diriger vers son clap de fin puisque selon des sources officieuses bien au fait du dossier, le groupe sénégalais Wari aurait été confirmé comme seul et unique repreneur de Tigo conformément à l'accord passé entre les deux entreprises avant dêtre remis en cause par la dernière nommée.

Mais, le groupe Wari aurait bien tort de sabrer le champagne car selon toujours ces mêmes sources, un intense lobbying est train d'être mené afin d'infirmer le verdict tel qu'attendu. Prévu dans un premier temps pour décembre, celui-ci ne sera rendu que ces jours-ci, attestant de l'âpreté de la bataille aux enjeux économiques, financiers voire politiques, considérables.
Est-ce le commencement de la fin pour ce feuilleton, toujours est-il que les souteneurs du groupe Wari disent ouvrir l'oeil et rester sur leurs gardes, se gardant bien de "vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué". D'autant qu'il se murmure que lors de la visite du président Emmanuel Macron, premier VRP de France, cette affaire ne manquera pas d'être évoquée, histoire de faire pencher la balance du côté du consortium dirigé par l'opérateur français Free ?
Est-ce le commencement de la fin pour ce feuilleton, toujours est-il que les souteneurs du groupe Wari disent ouvrir l'oeil et rester sur leurs gardes, se gardant bien de "vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué". D'autant qu'il se murmure que lors de la visite du président Emmanuel Macron, premier VRP de France, cette affaire ne manquera pas d'être évoquée, histoire de faire pencher la balance du côté du consortium dirigé par l'opérateur français Free ?
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Selbé Ndom persiste et signe que Khalifa Sall sera président...si Karim Wade ne revient pas au Sénégal
Jamais en mal de communication quant il s'agit de l'actualité, Selbé Ndom a fait parler sa science, au micro de Leral, en assurant que le député-maire gagnera son procès mais également...sera le 5e président du Sénégal, en l'absence de Karim Wade.
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Dialogue Politique - Abdoulaye Guissé: "c'est Nafi Ngom Keita qui doit diriger cette commission"
https://www.leral.net/video/
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Gréve des enseignants: les élèves exigent des négociations sérieuses entre les deux parties afin de sauver l'année 2018
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Université Virtuelle du Sénégal: retard de paiement de bourse, les étudiants en grève illimitée
https://www.leral.net/video/
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Santé: le SUTSAS section Guinguinéo en gréve, le porte-parole Makhoudia Niang en explique les raisons.
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Réunion intersyndicale – PM : Amadou Khouma se prononce: « Le Premier Ministre, en partie, a répondu à nos attentes… »
A l'issue de leurs 72 heures de grève, l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales a rencontré en réunion technique le Premier ministre M. Mahammed Boun Abdallah Dionne, ce mardi. Les points soulevés lors de cette rencontre sont entre autres : les préoccupations des travailleurs sur le statut de la fonction publique locale et des abus constatés un peu partout sur l’ensemble du corps professionnel par certains maires. Et pour le porte-parole de l’intersyndicale des travailleurs, Amadou Khouma, le PM a répondu, en partie, à leurs attentes sur ces questions.
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Collectivités locales : Pour le suivi de la fonction publique locale, le PM met en place un comité interministériel
Le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne a décidé de la mise en place d’un Comité interministériel pour le suivi de la fonction publique locale, en attendant la mise en place du Haut conseil en charge de cette question. C’est ce qui ressort de la réunion technique tenue, ce mardi, entre l’intersyndicale des travailleurs des collectivités locales et le Premier ministre, sous le thème : « Suivi de la mise en œuvre de la fonction publique locale ».
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« Depuis la mort de Balla Gaye, nous restons à notre faim… Nous voudrions être édifiés sur les auteurs… »: Pape Momar Gaye, frère de Balla
Pape Momar Gaye (frère de Balla Gaye) semble être sous le choc. Il demande d’être édifié sur la mort de son frère étudiant Balla Gaye disparu depuis le 31 janvier 2001 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il s’exprimait ce mercredi à UCAD, lors d’une journée de prière pour le défunt Balla Gaye.

« Depuis la mort de l’étudiant Balla Gaye, ça fait 17 ans, nous restons toujours à notre faim. Parce que jusqu’à présent on n’a pas une information claire et fiable sur sa mort. Nous continuerons à réclamer justice. Nous aimerions bien être édifiés sur les auteurs de cet acte criminel, sur les raisons. Une indemnisation, nous ne le demandons plus. Ce serait tout à fait normal, mais nous ne pouvons plus continuer à réclamer ce qui nous appartient. C’est un droit. Et il faut respecter le droit et surtout la mémoire de Balla Gaye », a dit devant les journalistes le frère de feu Balla Gaye, Pape Momar Gaye.
Il a applaudi les deux mains ce que les étudiants font pour la mémoire de Balla Gaye et il en est reconnaissant. Il s’explique : « les étudiants ont voulu conserver dans leurs cœurs la personne de Balla Gaye, dont peut-être, la disparition a apporté beaucoup d’acquis. Ce que les étudiants font aujourd’hui, est salutaire ».
Il ajoute : « Balla Gaye a toujours été un bon étudiant, un jeune très brillant. Je demande que cette personne soit prise comme symbole, comme référence, comme un symbole du sacrifice. Grâce à sa mort, nous savons que beaucoup de choses ont changé à l’Université ».
Thierno Malick Ndiaye
Il a applaudi les deux mains ce que les étudiants font pour la mémoire de Balla Gaye et il en est reconnaissant. Il s’explique : « les étudiants ont voulu conserver dans leurs cœurs la personne de Balla Gaye, dont peut-être, la disparition a apporté beaucoup d’acquis. Ce que les étudiants font aujourd’hui, est salutaire ».
Il ajoute : « Balla Gaye a toujours été un bon étudiant, un jeune très brillant. Je demande que cette personne soit prise comme symbole, comme référence, comme un symbole du sacrifice. Grâce à sa mort, nous savons que beaucoup de choses ont changé à l’Université ».
Thierno Malick Ndiaye
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L'islamologue suisse Tariq Ramadan, accusé de viol, placé en garde-à-vue à Paris, aujourd’hui

L'universitaire suisse controversé Tariq Ramadan, spécialiste de l'islam, a été placé en garde-à-vue mercredi à Paris, dans le cadre d'une enquête pour viols. Deux femmes accusent depuis octobre, le théologien de les avoir violées en 2009 et en 2012.
L'islamologue suisse Tariq Ramadan, accusé de viol par deux femmes en France, a été placé en garde-à-vue mercredi 31 janvier par les enquêteurs de la police judiciaire parisienne, a-t-on appris de source judiciaire.
Tariq Ramadan s'est rendu mercredi matin à la convocation des policiers "dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte à Paris des chefs de viols et violences volontaires", a précisé cette source, confirmant une information de RTL. Deux femmes accusent depuis octobre le théologien de les avoir violées en 2009 et en 2012.
L'université britannique d'Oxford avait annoncé en novembre sa suspension, avec effet immédiat.
Petit-fils du fondateur de la confrérie égyptienne islamiste des Frères musulmans, Tariq Ramadan, 55 ans, bénéficie d'une forte popularité dans les milieux musulmans conservateurs. Il est aussi très contesté, notamment dans les sphères laïques, qui voient en lui le tenant d'un islam politique.
france24.com
L'islamologue suisse Tariq Ramadan, accusé de viol par deux femmes en France, a été placé en garde-à-vue mercredi 31 janvier par les enquêteurs de la police judiciaire parisienne, a-t-on appris de source judiciaire.
Tariq Ramadan s'est rendu mercredi matin à la convocation des policiers "dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte à Paris des chefs de viols et violences volontaires", a précisé cette source, confirmant une information de RTL. Deux femmes accusent depuis octobre le théologien de les avoir violées en 2009 et en 2012.
L'université britannique d'Oxford avait annoncé en novembre sa suspension, avec effet immédiat.
Petit-fils du fondateur de la confrérie égyptienne islamiste des Frères musulmans, Tariq Ramadan, 55 ans, bénéficie d'une forte popularité dans les milieux musulmans conservateurs. Il est aussi très contesté, notamment dans les sphères laïques, qui voient en lui le tenant d'un islam politique.
france24.com
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Balla Dièye, encadreur de Modou Lô : "La tête basse de Modou Lô a empêché à Lac 2, le plaquage"

Après avoir encadré Siteu lors de son combat victorieux face à Zoss vaincu par Ko, le capitaine de l'Equipe nationale de Taekwondo, Balla Dièye, a fait bénéficier son expertise à Modou Lô lors de la préparation de son combat contre Lac 2. Analysant sur vidéo depuis 2 mois tous les combats de Lac 2 tout en ayant un œil sur sa manière de s’entraîner, Balla Dièye dit avoir mis en place une stratégie qui consiste à ce que "Modou Lô neutralise Lac 2". Ce que, selon lui, le "Rock" des Parcelles Assainies a réussi à faire "en améliorant sa technique de frappe et ses déplacements qui ont fini par être au top".
"Lac 2 est très défensif et faible dans ses déplacements"
"Avant le combat j'ai mis en place une tactique pou Modou Lô consistant à neutraliser complètement Lac 2 qui est très défensif et faible dans ses déplacements. Et c'est surtout dans le corps-à-corps qu'il fallait vraiment le neutraliser et je suis content, car Modou Lô ne lui a rien passé. Car un bon combattant c'est celui qui respecte les consignes", se félicite le spécialiste des arts martiaux. Balla Dièye dit avoir recommandé au "Rock" des Parcelles Assainies "de ne pas trop se dépenser en gérant son combat. Il fallait canaliser son énergie sur le combat sans trop faire de show par rapport à l'ambiance car c'est seulement la gagne qui compte", mentionne-t-il.
Constatant que "Lac 2 est faible du côté gauche", Balla Dièye dit avoir conseillé au lutteur des Parcelles de verrouiller le côté droit. "C'est là où c'est vraiment intéressant car les uppercuts de Modou Lô ont déstabilisé tous les plans de Lac 2", indique celui qui fut champion d'Afrique et du monde francophone de Taekwondo. Selon lui, "la tête basse de Modou Lô a contribué à réduire à sa plus simple expression la technique favorite de Lac 2 qui n'est autre que le plaquage".
Le Quotidien
"Lac 2 est très défensif et faible dans ses déplacements"
"Avant le combat j'ai mis en place une tactique pou Modou Lô consistant à neutraliser complètement Lac 2 qui est très défensif et faible dans ses déplacements. Et c'est surtout dans le corps-à-corps qu'il fallait vraiment le neutraliser et je suis content, car Modou Lô ne lui a rien passé. Car un bon combattant c'est celui qui respecte les consignes", se félicite le spécialiste des arts martiaux. Balla Dièye dit avoir recommandé au "Rock" des Parcelles Assainies "de ne pas trop se dépenser en gérant son combat. Il fallait canaliser son énergie sur le combat sans trop faire de show par rapport à l'ambiance car c'est seulement la gagne qui compte", mentionne-t-il.
Constatant que "Lac 2 est faible du côté gauche", Balla Dièye dit avoir conseillé au lutteur des Parcelles de verrouiller le côté droit. "C'est là où c'est vraiment intéressant car les uppercuts de Modou Lô ont déstabilisé tous les plans de Lac 2", indique celui qui fut champion d'Afrique et du monde francophone de Taekwondo. Selon lui, "la tête basse de Modou Lô a contribué à réduire à sa plus simple expression la technique favorite de Lac 2 qui n'est autre que le plaquage".
Le Quotidien
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Pétrole au Sénégal : Thierno Alassane Sall mouille Aliou Sall

Présent, hier, à la séance de dédicace du livre d’Ousmane Sonko : « Pétrole et gaz au Sénégal : chronique d’une spoliation », l’ancien ministre de l’Energie, Thierno Alassane Sall s’est distingué avec quelques déclarations fracassantes. En effet, après avoir loué les qualités du député Ousmane Sonko, Thierno Alassane Sall n’a pas manqué d’accuser le frère du président de la République, Aliou Sall, d’être mêlé dans les affaires du pétrole sénégalais.
« Sur la question du pétrole et du gaz, votre courage a consisté à dire tout haut ce que beaucoup susurraient tout bas. Il était notoirement connu qu’un certain frère Aliou, était mêlé au pétrole du Sénégal. De manière directe, indirecte, quel a été son rôle, sa responsabilité ?», s’interroge-t-il, avant d’ajouter que jusqu’ici, la question reste à être élucidée.
Pour Thierno Alassane Sall, l’implication du frère du président est « une question essentielle pour le Sénégal qui a vécu de 2007 à 2012, une tentative de dévolution monarchique du pouvoir, une gestion assez clanique des affaires au point où le Sénégal s’est dressé comme un seul homme, pour dire non à cette façon de faire ».
Selon l’homme politique, le sujet n’est pas traité comme il le devrait. « Lorsque donc, venant de son lointain exil chinois, M. Aliou Sall s’est introduit dans notre pétrole, beaucoup, et jusqu’à aujourd’hui, tentent d’ignorer cette question, de l’éviter ou de l’élider », déclare TAS.
Pour cette raison, il remercie Ousmane Sonko d’avoir posé une question de fond. « Le mérite d’Ousmane Sonko est d’avoir posé une question qui n’est que suggestive ni personnelle, mais une question de fonds pour le combat que nous avons tous mené ensemble, pour que le Sénégal soit un pays où tout le monde a la même chance et que les ressources ne soient pas gérées de manière patrimoniale ou familiale », lance Thierno Alassane Sall.
Senenews
« Sur la question du pétrole et du gaz, votre courage a consisté à dire tout haut ce que beaucoup susurraient tout bas. Il était notoirement connu qu’un certain frère Aliou, était mêlé au pétrole du Sénégal. De manière directe, indirecte, quel a été son rôle, sa responsabilité ?», s’interroge-t-il, avant d’ajouter que jusqu’ici, la question reste à être élucidée.
Pour Thierno Alassane Sall, l’implication du frère du président est « une question essentielle pour le Sénégal qui a vécu de 2007 à 2012, une tentative de dévolution monarchique du pouvoir, une gestion assez clanique des affaires au point où le Sénégal s’est dressé comme un seul homme, pour dire non à cette façon de faire ».
Selon l’homme politique, le sujet n’est pas traité comme il le devrait. « Lorsque donc, venant de son lointain exil chinois, M. Aliou Sall s’est introduit dans notre pétrole, beaucoup, et jusqu’à aujourd’hui, tentent d’ignorer cette question, de l’éviter ou de l’élider », déclare TAS.
Pour cette raison, il remercie Ousmane Sonko d’avoir posé une question de fond. « Le mérite d’Ousmane Sonko est d’avoir posé une question qui n’est que suggestive ni personnelle, mais une question de fonds pour le combat que nous avons tous mené ensemble, pour que le Sénégal soit un pays où tout le monde a la même chance et que les ressources ne soient pas gérées de manière patrimoniale ou familiale », lance Thierno Alassane Sall.
Senenews
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Macky Sall dit non à un ministre de l’Intérieur militaire

Les leaders de l’opposition peuvent déchanter sur leur désir de voir un ministre de l’Intérieur militaire organiser les prochaines élections. Selon les informations du journal Vox Populi, le président de la République Macky Sall s’est opposé à cette idée et n’envisage pas de prendre un militaire comme ministre de l’Intérieur du pays.
« Il faut être cohérent. Je ne prendrai pas un militaire pour en faire un ministre de l’Intérieur. Si c’est cela leur attente, c’est peine perdue », a déclaré Macky Sall depuis la capitale de l’Ethiopie.
Selon lui, le plus important c’est de travailler pour la modernisation de notre démocratie, car c’est le peuple qui est souverain. Et c’est à lui de décider de qui sera président ou pas.
Le Président Sall avait tenu ces propos en réponse à l’opposition, qui veut que les élections soient organisées par un ministre de l’Intérieur, politiquement non coloré.
« Il faut être cohérent. Je ne prendrai pas un militaire pour en faire un ministre de l’Intérieur. Si c’est cela leur attente, c’est peine perdue », a déclaré Macky Sall depuis la capitale de l’Ethiopie.
Selon lui, le plus important c’est de travailler pour la modernisation de notre démocratie, car c’est le peuple qui est souverain. Et c’est à lui de décider de qui sera président ou pas.
Le Président Sall avait tenu ces propos en réponse à l’opposition, qui veut que les élections soient organisées par un ministre de l’Intérieur, politiquement non coloré.
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Les 20 personnalités sénégalaises qui pourraient faire 2018 (Par Leral.net)
Choisir, c'est éliminer et c'est aussi ne jamais faire l'unanimité. Mais, c'était le pari de votre site internet Leral.net. Il n’est rien de moins évident que de dresser une liste de personnalités que nous supposons pouvoir marquer l’année 2018, ne serait-ce que de considérer la part de subjectivité inhérente à tout exercice du genre. Le fil conducteur de ce tableau est jonché d’événements marquants, tels la Présidentielle en ligne de mire, la Coupe du monde Russie 2018, l’actualité mais aussi et surtout, la capacité des différents récipiendaires à se forger un destin à hauteur de leurs ambitions, pour eux et pour leur pays.
Serigne Mountakha Mbacké, l’homme de confiance de Serigne Saliou Mbacké
Serigne Mountakha Bassirou Mbacké est devenu le 8e nouveau khalif général des Mourides suite au rappel à DIEU de Serigne Sidy Moctar Mbacké. Le nouveau khalife général, Serigne Mountakha Mbacké, a été connu de nombre de Sénégalais après la disparition de son frère aîné, Serigne Moustapha Bassirou. Homme discret, il a fait de Porokhane, sa chasse gardée. Homme de confiance de Serigne Saliou Mbacké, de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké et de Serigne Sidi Mokhtar Mbacké, Serigne Mountakha Mbacké sera une des personnalités les plus influentes du Sénégal surtout en cette année 2018, qui s’annonce comme une année compliquée pour le Sénégal.
Serigne Mbaye Sy Mansour, sans langue de bois
C’est le 24 septembre 2017 que Serigne Mbaye SY Mansour est devenu le 7ème Khalife Général des Tidianes site au rappel à DIEU de Abdoul Aziz Sy Al Amine. Fils aîné d’El hadji Mansour SY Malick, le 2e Khalife Général des Tidianes et également le premier homonyme, dans la famille SY, de Serigne Babacar SY, le 1er Khalife Général des Tidianes, Serigne Mbaye Sy Mansour incarne le verbe droit, sans détours. C’est pourquoi cette personnalité religieuse devrait aussi être déterminante dans la vie de la nation sénégalaise en 2018.
Karim Wade : Le Whatshappeurde Doha
Karim Wade est l’absent le plus présent dans la vie politique sénégalaise. Derrière un geste de son opposant de père, une décision du parti, chacun d’y voir sa main. En ce début d’année, l’ancien ministre d’Etat a adressé ses vœux de nouvel an au peuple sénégalais, donnant rendez-vous pour très bientôt à ses partisans en direction de la présidentielle de 2019. Sa capacité à revenir d’un exil « forcé », forcera les portes de son destin politique.
Macky Sall, gentleman Machiavel
Macky Sall: Il demeurera jusqu’à la présidentielle de 2019, le maître du « je » de la scène politico-médiatique. Le président Macky Sall est presque sur tous les fronts de la vie de la Nation. Candidat à sa propre succession, le président Sall a pris une longueur d’avance sur ses potentiels adversaires à travers une campagne qu’il mène tambour battant, réunissant régulièrement ses partisans au Palais et débauchant à tour de bras, les responsables de l’opposition.
Abdoulaye Wade, la Patriarche
Après les élections législatives qu’il a marqué de son empreinte en dirigeant une coalition dont son parti est membre, Me Wade s’est replié à Versailles. De sa retraite, il continue d’animer la vie politique sénégalaise. A travers des communiqués de son parti, il fait valoir la conduite à tenir contre le régime en place. Il se serait rendu dernièrement au Qatar, pour préparer le retour de son fils.
Moustapha Sy, l’insubmersible
Sa parole se faisait rare. A la faveur des élections législatives, il s’est rappelé au souvenir des Sénégalais en obtenant 4 sièges à l’Assemblée nationale pour une première participation avec son parti, le P.U. R. En ce mois de janvier, il a suscité une vive polémique, en annonçant sa candidature contre Macky Sall, si Khalifa Sall n’est pas libéré.
Ousmane Sonko, l’enfant terrible de la politique Sénégalaise
C’est l’enfant terrible de la politique Sénégalaise ou l’empêcheur de tourner en rond. Depuis sa radiation et son élection au poste de député, Ousmane Sonko est devenu la bête noire du régime de Macky Sall. Le leader du «Pastef-Les Patriotes » forge sa réputation et son aura par ses nombreuses révélations sur les scandales d’Etat. Son dernier lièvre, l’affaire des 10 millions de trousseau d’entrée par député n’a pas fini de faire des vagues tant à l’intérieur qu’en dehors de l’hémicycle avec force démentis.
Khalifa Sall, l’homme de 2018
En prison depuis bientôt un an, pour détournement de deniers publics présumé, le maire de Dakar est entré dans l’histoire: c’est le premier détenu élu député au Sénégal. Son procès en cours tient en haleine tout un pays tant au niveau de ses partisans que de ses contempteurs sans oublier les spécialistes du droit. Son avenir politique est largement tributaire de l’issue de ce feuilleton politico-judiciaire mais aussi de la bataille que ses seconds mènent à l’interne au niveau du Parti socialiste.
Idrissa Seck, la menace
On l’avait enterré avec raison semble-t-il quand le tenant de « Idy4president » s’était rangé derrière le maire de Dakar à l’occasion des Législatives 2017. Aujourd’hui, alors que la question d’un plan B en cas de condamnation du maire de Dakar est de plus en plus agitée, le nom d’Idy revient avec insistance. Et s’il avait vu avant tout le monde, le déroulement des faits ? Requinqué, il sera un opposant de poids pour Macky Sall, lui dont chaque mot, chaque phrase met en émoi tout le camp présidentiel.
Aïssata Tall Sall, « l’héritière de Thierno Souleymane Baal »
Députée et maire de Podor, Aïssata Tall Sall est l’une des femmes qui continuent de marquer la vie politique sénégalaise. Aux élections législatives de juillet 2017, elle s’est distinguée en allant sous sa propre bannière : «Osez l’avenir ». Son exclusion du Parti socialiste, fait d’elle l’un des potentiels candidats à la présidentielle de 2019 et pourrait faire bouger les lignes quant à la possibilité de voir émerger un vote « féminin ».
Abdoul Mbaye, ACT of change
Il ne jure que par la défaite de Macky Sall à la présidentielle de 2019. Se disant déçu de la gouvernance de ce dernier, Abdoul Mbaye rêvait de « faire la politique autrement », même si sa participation aux Législatives de juillet 2017, s’est soldé par un échec. Revoyant ses ambitions à la baisse, pragmatisme oblige, il invite l’opposition à une ou plusieurs candidatures mais sérieuses.
Thierno Alassane Sall, la TOTAL
Après sa démission avec fracas du gouvernement, l'ancien ministre de l'Énergie a pris son indépendance, en lançant le mouvement, "République des valeurs". Aujourdhui, il s'érige en farouche opposant de son ex-compagnon, le Président Macky Sall. Les partisans de Thierno Alassane Sall espèrent que leur champion "se présentera aux élections locales et à la présidentielle" de 2019. Pour avoir été au cœur de la maison marron-beige, détenteur de moult « secrets », sa candidature est de celles qui peuvent faire mal au régime au pouvoir.
Malick Lamotte, le juge
C’est le juge de Khalifa Sall et ses co-prévenus dans l’affaire de la Caisse d’avance de la ville de Dakar, un procès très médiatisé. Son entrée dans le dossier de Khalifa Ababacar Sall a été pour le moins surprenante. C'était le 3 janvier 2018. Alors que tous les observateurs attendaient le juge Magatte Diop qui avait eu à présider la première audience, Malick Lamotte surgit tel un lapin du chapeau du magicien. Ce qui est sûr, c’est que quelle que soit la décision qu’il rendra à l’issue de ce procès, il marquera l’histoire politico-judiciaire du Sénégal.
Souleymane Teliko, le nouveau type de magistrat
A sa prise de fonction à la tête de l’Union de magistrat du Sénégal, ce jeune magistrat a juré de faire l’indépendance de la Justice, son chantier. Un pari qu’il a déjà engagé, en organisant un colloque international sur la question. Dans son discours à cette rencontre, il a invité ses pairs à considérer les « critiques » dont ils font souvent l’objet « comme autant d’appels de détresse et non point comme de la défiance ». Des mots forts, un discours de haute facture qui ont fini de faire l’unanimité autour de sa personne.
Thierno Bocoum, la troisième voie
Fidèle d’entre les fidèles de Ndamal Cadior, il avait créé la surprise en fin d’année 2017, en démissionnant du Rewmi. Jeune loup à dents longues, Thierno Bocoum s’est illustré à l’Assemblée nationale par la pertinence de son propos et de ses analyses, tenant fermement les rênes du parti au cours des longues et répétées absences de son leader. Prônant l’alternance générationnelle, pour une autre politique, l’ancien proche d’Idrissa Seck a lancé son mouvement « Agir » et promis que les nouveaux défis qui s'imposent à notre pays, seront relevés avec responsabilité.
Sadio Mané, le feu follet
Recalé pour le titre de Meilleur joueur africain de l'année, Sadio Mané aura à coeur de réussir "sa Coupe du Monde", en Russie. Avec ses camarades, il voudra tracer sa voie afin en faisant autant sinon mieux que ses devanciers, El Hadj Diouf et cie, héros inoubliables de la coupe du Monde 2002. C'est une opportunité unique de réussir l'union sacrée autour de l'Equipe nationale.
Marième Fall Sall, la Firt Lady
Après deux Premières dames françaises et une autre plus ou moins « européanisée », Marième Faye Sall du haut de son nemali et de ses fèmm, incarne au plus haut point, la diongama sénégalaise. Le contact aisé, le sourire facile, elle ne déteste pas, en toute simplicité, aller à la rencontre des gens. Stratégie ou trait de caractère ? Le fait est que ça marche car elle est plutôt appréciée de ses concitoyens. Elle se révèle être de fait, le pendant idéal de son « niangal » d’époux. En direction de la présidentielle 2019, l’atout Marième faye Sall donnera sûrement la pleine mesure de ses « petits pas » à la sénégalaise.
Zahra Iyane Thiam, l’égérie de l’APR
Ministre-conseillère et personnage de proue de la galaxie marron-beige, elle fait partie de la garde rapprochée du Président Macky Sall. Redoutable débatteuse, elle a le courage de ses idées et s’attache à défendre bec et ongles le bilan de son candidat de Président. En toute loyauté. Nul doute que ses talents d’oratrice et la pertinence de son discours vaudront de l’or dans la dernière ligne droite vers la Présidentielle de 2019.
Aïda Mbodj, la lionne du Baol
Si le Sénégal a fait du lion son emblème, il le doit aussi aux femmes de courage qui ont jalonné l'histoire de ce pays et Aïda Mbodj fait partiede cette race-là. Dans un milieu dominé par les hommes, elle a su tisser sa toile de politique courageuse, en n'hésitant pas à défier l'establishment. A la tête de son mouvement, elle a craché sur une place de député élue sur la liste nationale de son parti, le PDS pour, en solo, tâter le pouls de ses militants, à ses risques et périls.
La rédaction de LERAL.NET


Serigne Mountakha Bassirou Mbacké est devenu le 8e nouveau khalif général des Mourides suite au rappel à DIEU de Serigne Sidy Moctar Mbacké. Le nouveau khalife général, Serigne Mountakha Mbacké, a été connu de nombre de Sénégalais après la disparition de son frère aîné, Serigne Moustapha Bassirou. Homme discret, il a fait de Porokhane, sa chasse gardée. Homme de confiance de Serigne Saliou Mbacké, de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké et de Serigne Sidi Mokhtar Mbacké, Serigne Mountakha Mbacké sera une des personnalités les plus influentes du Sénégal surtout en cette année 2018, qui s’annonce comme une année compliquée pour le Sénégal.

Serigne Mbaye Sy Mansour, sans langue de bois
C’est le 24 septembre 2017 que Serigne Mbaye SY Mansour est devenu le 7ème Khalife Général des Tidianes site au rappel à DIEU de Abdoul Aziz Sy Al Amine. Fils aîné d’El hadji Mansour SY Malick, le 2e Khalife Général des Tidianes et également le premier homonyme, dans la famille SY, de Serigne Babacar SY, le 1er Khalife Général des Tidianes, Serigne Mbaye Sy Mansour incarne le verbe droit, sans détours. C’est pourquoi cette personnalité religieuse devrait aussi être déterminante dans la vie de la nation sénégalaise en 2018.

Karim Wade : Le Whatshappeurde Doha
Karim Wade est l’absent le plus présent dans la vie politique sénégalaise. Derrière un geste de son opposant de père, une décision du parti, chacun d’y voir sa main. En ce début d’année, l’ancien ministre d’Etat a adressé ses vœux de nouvel an au peuple sénégalais, donnant rendez-vous pour très bientôt à ses partisans en direction de la présidentielle de 2019. Sa capacité à revenir d’un exil « forcé », forcera les portes de son destin politique.

Macky Sall, gentleman Machiavel
Macky Sall: Il demeurera jusqu’à la présidentielle de 2019, le maître du « je » de la scène politico-médiatique. Le président Macky Sall est presque sur tous les fronts de la vie de la Nation. Candidat à sa propre succession, le président Sall a pris une longueur d’avance sur ses potentiels adversaires à travers une campagne qu’il mène tambour battant, réunissant régulièrement ses partisans au Palais et débauchant à tour de bras, les responsables de l’opposition.

Abdoulaye Wade, la Patriarche
Après les élections législatives qu’il a marqué de son empreinte en dirigeant une coalition dont son parti est membre, Me Wade s’est replié à Versailles. De sa retraite, il continue d’animer la vie politique sénégalaise. A travers des communiqués de son parti, il fait valoir la conduite à tenir contre le régime en place. Il se serait rendu dernièrement au Qatar, pour préparer le retour de son fils.

Moustapha Sy, l’insubmersible
Sa parole se faisait rare. A la faveur des élections législatives, il s’est rappelé au souvenir des Sénégalais en obtenant 4 sièges à l’Assemblée nationale pour une première participation avec son parti, le P.U. R. En ce mois de janvier, il a suscité une vive polémique, en annonçant sa candidature contre Macky Sall, si Khalifa Sall n’est pas libéré.

Ousmane Sonko, l’enfant terrible de la politique Sénégalaise
C’est l’enfant terrible de la politique Sénégalaise ou l’empêcheur de tourner en rond. Depuis sa radiation et son élection au poste de député, Ousmane Sonko est devenu la bête noire du régime de Macky Sall. Le leader du «Pastef-Les Patriotes » forge sa réputation et son aura par ses nombreuses révélations sur les scandales d’Etat. Son dernier lièvre, l’affaire des 10 millions de trousseau d’entrée par député n’a pas fini de faire des vagues tant à l’intérieur qu’en dehors de l’hémicycle avec force démentis.

Khalifa Sall, l’homme de 2018
En prison depuis bientôt un an, pour détournement de deniers publics présumé, le maire de Dakar est entré dans l’histoire: c’est le premier détenu élu député au Sénégal. Son procès en cours tient en haleine tout un pays tant au niveau de ses partisans que de ses contempteurs sans oublier les spécialistes du droit. Son avenir politique est largement tributaire de l’issue de ce feuilleton politico-judiciaire mais aussi de la bataille que ses seconds mènent à l’interne au niveau du Parti socialiste.

Idrissa Seck, la menace
On l’avait enterré avec raison semble-t-il quand le tenant de « Idy4president » s’était rangé derrière le maire de Dakar à l’occasion des Législatives 2017. Aujourd’hui, alors que la question d’un plan B en cas de condamnation du maire de Dakar est de plus en plus agitée, le nom d’Idy revient avec insistance. Et s’il avait vu avant tout le monde, le déroulement des faits ? Requinqué, il sera un opposant de poids pour Macky Sall, lui dont chaque mot, chaque phrase met en émoi tout le camp présidentiel.

Aïssata Tall Sall, « l’héritière de Thierno Souleymane Baal »
Députée et maire de Podor, Aïssata Tall Sall est l’une des femmes qui continuent de marquer la vie politique sénégalaise. Aux élections législatives de juillet 2017, elle s’est distinguée en allant sous sa propre bannière : «Osez l’avenir ». Son exclusion du Parti socialiste, fait d’elle l’un des potentiels candidats à la présidentielle de 2019 et pourrait faire bouger les lignes quant à la possibilité de voir émerger un vote « féminin ».

Abdoul Mbaye, ACT of change
Il ne jure que par la défaite de Macky Sall à la présidentielle de 2019. Se disant déçu de la gouvernance de ce dernier, Abdoul Mbaye rêvait de « faire la politique autrement », même si sa participation aux Législatives de juillet 2017, s’est soldé par un échec. Revoyant ses ambitions à la baisse, pragmatisme oblige, il invite l’opposition à une ou plusieurs candidatures mais sérieuses.

Thierno Alassane Sall, la TOTAL
Après sa démission avec fracas du gouvernement, l'ancien ministre de l'Énergie a pris son indépendance, en lançant le mouvement, "République des valeurs". Aujourdhui, il s'érige en farouche opposant de son ex-compagnon, le Président Macky Sall. Les partisans de Thierno Alassane Sall espèrent que leur champion "se présentera aux élections locales et à la présidentielle" de 2019. Pour avoir été au cœur de la maison marron-beige, détenteur de moult « secrets », sa candidature est de celles qui peuvent faire mal au régime au pouvoir.

Malick Lamotte, le juge
C’est le juge de Khalifa Sall et ses co-prévenus dans l’affaire de la Caisse d’avance de la ville de Dakar, un procès très médiatisé. Son entrée dans le dossier de Khalifa Ababacar Sall a été pour le moins surprenante. C'était le 3 janvier 2018. Alors que tous les observateurs attendaient le juge Magatte Diop qui avait eu à présider la première audience, Malick Lamotte surgit tel un lapin du chapeau du magicien. Ce qui est sûr, c’est que quelle que soit la décision qu’il rendra à l’issue de ce procès, il marquera l’histoire politico-judiciaire du Sénégal.

Souleymane Teliko, le nouveau type de magistrat
A sa prise de fonction à la tête de l’Union de magistrat du Sénégal, ce jeune magistrat a juré de faire l’indépendance de la Justice, son chantier. Un pari qu’il a déjà engagé, en organisant un colloque international sur la question. Dans son discours à cette rencontre, il a invité ses pairs à considérer les « critiques » dont ils font souvent l’objet « comme autant d’appels de détresse et non point comme de la défiance ». Des mots forts, un discours de haute facture qui ont fini de faire l’unanimité autour de sa personne.

Thierno Bocoum, la troisième voie
Fidèle d’entre les fidèles de Ndamal Cadior, il avait créé la surprise en fin d’année 2017, en démissionnant du Rewmi. Jeune loup à dents longues, Thierno Bocoum s’est illustré à l’Assemblée nationale par la pertinence de son propos et de ses analyses, tenant fermement les rênes du parti au cours des longues et répétées absences de son leader. Prônant l’alternance générationnelle, pour une autre politique, l’ancien proche d’Idrissa Seck a lancé son mouvement « Agir » et promis que les nouveaux défis qui s'imposent à notre pays, seront relevés avec responsabilité.

Sadio Mané, le feu follet
Recalé pour le titre de Meilleur joueur africain de l'année, Sadio Mané aura à coeur de réussir "sa Coupe du Monde", en Russie. Avec ses camarades, il voudra tracer sa voie afin en faisant autant sinon mieux que ses devanciers, El Hadj Diouf et cie, héros inoubliables de la coupe du Monde 2002. C'est une opportunité unique de réussir l'union sacrée autour de l'Equipe nationale.

Marième Fall Sall, la Firt Lady
Après deux Premières dames françaises et une autre plus ou moins « européanisée », Marième Faye Sall du haut de son nemali et de ses fèmm, incarne au plus haut point, la diongama sénégalaise. Le contact aisé, le sourire facile, elle ne déteste pas, en toute simplicité, aller à la rencontre des gens. Stratégie ou trait de caractère ? Le fait est que ça marche car elle est plutôt appréciée de ses concitoyens. Elle se révèle être de fait, le pendant idéal de son « niangal » d’époux. En direction de la présidentielle 2019, l’atout Marième faye Sall donnera sûrement la pleine mesure de ses « petits pas » à la sénégalaise.

Zahra Iyane Thiam, l’égérie de l’APR
Ministre-conseillère et personnage de proue de la galaxie marron-beige, elle fait partie de la garde rapprochée du Président Macky Sall. Redoutable débatteuse, elle a le courage de ses idées et s’attache à défendre bec et ongles le bilan de son candidat de Président. En toute loyauté. Nul doute que ses talents d’oratrice et la pertinence de son discours vaudront de l’or dans la dernière ligne droite vers la Présidentielle de 2019.

Aïda Mbodj, la lionne du Baol
Si le Sénégal a fait du lion son emblème, il le doit aussi aux femmes de courage qui ont jalonné l'histoire de ce pays et Aïda Mbodj fait partiede cette race-là. Dans un milieu dominé par les hommes, elle a su tisser sa toile de politique courageuse, en n'hésitant pas à défier l'establishment. A la tête de son mouvement, elle a craché sur une place de député élue sur la liste nationale de son parti, le PDS pour, en solo, tâter le pouls de ses militants, à ses risques et périls.
La rédaction de LERAL.NET

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Données personnelles: 142 plaintes sur la table d'Awa Ndiaye

La Commission de protection des données personnelles (CDP) a été saisie de de 142 plaintes de 2014 à 2017, lesquelles portent sur des tratitements relatifs notamment à la biométrie, aux réseaux sociaux et à d’autres domaines, a dit mercredi à Dakar, Siradio Bâ, chef de la division du contentieux chargé des plaintes et des sanctions de cette autorité administrative.
"Depuis que nous avons initié nos travaux en 2014, jusqu’à présent, nous avons recensé plus de 142 plaintes qui portent sur des traitements relatifs aux systèmes de vidéo-surveillance, à la biométrie, aux réseaux sociaux, au domaine médical ainsi qu’à la presse en ligne", a-t-il dit.
Il s’exprimait lors d’un panel sur "le défi de la protection des données personnelles face aux usages du numérique", une rencontre présidée par la présidente de la CDP, Mme Awa Ndiaye.
"Nous avons réalisé beaucoup de missions de contrôle qui ont débouché sur des sanctions par rapport à des banques et dans le secteur des TIC", a expliqué M. Bâ, avant d’inviter à ’’un comportement responsable’’, relativement à l’utilisation des réseaux sociaux.
APS
"Depuis que nous avons initié nos travaux en 2014, jusqu’à présent, nous avons recensé plus de 142 plaintes qui portent sur des traitements relatifs aux systèmes de vidéo-surveillance, à la biométrie, aux réseaux sociaux, au domaine médical ainsi qu’à la presse en ligne", a-t-il dit.
Il s’exprimait lors d’un panel sur "le défi de la protection des données personnelles face aux usages du numérique", une rencontre présidée par la présidente de la CDP, Mme Awa Ndiaye.
"Nous avons réalisé beaucoup de missions de contrôle qui ont débouché sur des sanctions par rapport à des banques et dans le secteur des TIC", a expliqué M. Bâ, avant d’inviter à ’’un comportement responsable’’, relativement à l’utilisation des réseaux sociaux.
APS
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255 millions déboursés : Salimata Diop Dieng a procédé au lancement de 152 unités économiques pour l’entrepreneuriat féminin
Le Ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, Mme Salimata Diop Dieng a procédé hier mardi au lancement de 152 unités économiques pour l’entrepreneuriat féminin pour un financement total de 255 millions accompagné d’un stock d’équipement d’une valeur de 75 millions, au profit de 5561 femmes des 19 communes que compte le département.

Après Guédiawaye et Rufisque, c’est au tour des femmes du département de Dakar de recevoir le Ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, Salimata Diop Dieng, dans le cadre de ses tournées de consultation régionale. C’était hier mardi 30 janvier au niveau d'un Grand Théâtre plein à craquer.
Parmi les personnalités qui ont effectué le déplacement, il y avait les ministres d’Etat, Mbaye Ndiaye et Marieme Badiane, les ministres Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Diouf Sarr, et le maire de maire de Dakar-Plateau Alioune Ndoye.
Se prononçant devant ses militantes toutes acquises à sa cause, Mme Salimata Diop déclare que «dans le département de Dakar, 152 Unités économiques pour l'entrepreneuriat féminin féminin (UEEF) vont bénéficier d'un financement de 255 millions dont 75 millions en équipements de production au profit de 5561 femmes et jeunes filles des 19 communes que compte la capitale".
Et d’ajouter: "à ce stade de notre parcours, je suis heureuse de vous informer que le cumul des interventions dans les 4 départements, s'élève à 565 millions devant générer 338 Unités Economiques au profit de 12 000 femmes et jeunes filles."
Pour rappel, ce programme-pilote, préparatoire de la montée en puissance dans l’année sociale, a pu être réalisé grâce à l’effort conjugué du CENAF, du FNCF et du FNEF qui ont assuré la formation et le financement.
« La phase pilote du programme d'autonomisation de la femme a bénéficié du soutien de la coopération italienne, dans son appui à la politique de protection sociale et de ONU femme, partenaire stratégique en matière d'autonomisation de la femme", a-t-elle dit.
"En entreprenant cette démarche de recherche-action, l'objectif était, en partant des orientations présidentielles du Conseil des Ministres du 13 septembre 2017, de relancer l'entrepreneuriat féminin sans alourdir inutilement l'endettement des femmes ; c'est d'ailleurs ce souci qui explique les apports en équipement qui sont des actifs sous forme de subventions", insiste Mme Salimata Diop Dieng.
Magnifiant cette « innovation », le ministre de la Femme de rappeler que "2018 a été décrétée année sociale au Sénégal par le Chef de l'Etat ». « Elle a été aussi dédiée à la femme rurale par la communauté internationale. C'est donc un excellent moment d'impulsion pour aller à la encontre des femmes des autres régions du pays, articulant dialogue autour des enjeux de l'autonomisation socio-économique et montée en puissance dans la mise en place des Unités Economiques pour l'Entrepreneuriat Féminin", a-t-elle soutenu.
Avant de conclure: "Nous sacrifierons à la célébration de la journée internationale de la femme, le 08 mars, dans un format national marqué par la remise du Grand Prix du Chef de l'Etat pour la femme, la décoration des Pionnières et le partage des modalités d'élaboration d'une nouvelle Stratégie Nationale pour l'autonomisation en 2035, en cohérence avec le PSE".
Ndèye Safiétou Nam, Leral.Net
Parmi les personnalités qui ont effectué le déplacement, il y avait les ministres d’Etat, Mbaye Ndiaye et Marieme Badiane, les ministres Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Diouf Sarr, et le maire de maire de Dakar-Plateau Alioune Ndoye.
Se prononçant devant ses militantes toutes acquises à sa cause, Mme Salimata Diop déclare que «dans le département de Dakar, 152 Unités économiques pour l'entrepreneuriat féminin féminin (UEEF) vont bénéficier d'un financement de 255 millions dont 75 millions en équipements de production au profit de 5561 femmes et jeunes filles des 19 communes que compte la capitale".
Et d’ajouter: "à ce stade de notre parcours, je suis heureuse de vous informer que le cumul des interventions dans les 4 départements, s'élève à 565 millions devant générer 338 Unités Economiques au profit de 12 000 femmes et jeunes filles."
Pour rappel, ce programme-pilote, préparatoire de la montée en puissance dans l’année sociale, a pu être réalisé grâce à l’effort conjugué du CENAF, du FNCF et du FNEF qui ont assuré la formation et le financement.
« La phase pilote du programme d'autonomisation de la femme a bénéficié du soutien de la coopération italienne, dans son appui à la politique de protection sociale et de ONU femme, partenaire stratégique en matière d'autonomisation de la femme", a-t-elle dit.
"En entreprenant cette démarche de recherche-action, l'objectif était, en partant des orientations présidentielles du Conseil des Ministres du 13 septembre 2017, de relancer l'entrepreneuriat féminin sans alourdir inutilement l'endettement des femmes ; c'est d'ailleurs ce souci qui explique les apports en équipement qui sont des actifs sous forme de subventions", insiste Mme Salimata Diop Dieng.
Magnifiant cette « innovation », le ministre de la Femme de rappeler que "2018 a été décrétée année sociale au Sénégal par le Chef de l'Etat ». « Elle a été aussi dédiée à la femme rurale par la communauté internationale. C'est donc un excellent moment d'impulsion pour aller à la encontre des femmes des autres régions du pays, articulant dialogue autour des enjeux de l'autonomisation socio-économique et montée en puissance dans la mise en place des Unités Economiques pour l'Entrepreneuriat Féminin", a-t-elle soutenu.
Avant de conclure: "Nous sacrifierons à la célébration de la journée internationale de la femme, le 08 mars, dans un format national marqué par la remise du Grand Prix du Chef de l'Etat pour la femme, la décoration des Pionnières et le partage des modalités d'élaboration d'une nouvelle Stratégie Nationale pour l'autonomisation en 2035, en cohérence avec le PSE".
Ndèye Safiétou Nam, Leral.Net
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Photos-Cérémonie de lancement des Unités économiques pour l’Émergence
Le Ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, Mme Salimata Diop Dieng a procédé hier mardi au lancement de 152 unités économiques pour l’entreprenariat féminin pour un financement total de 255 millions accompagné d’un stock d’équipement d’une valeur de 75 millions, au profit de 5561 femmes des 19 communes que compte le département.


























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Annulation des Rehfram 2018 : Le Collectif NON à la Franc-maçonnerie et à l’homosexualité réplique au Grand Orient de France

Réponse du berger à la bergère. Le Grand Orient de France (GODF) s'était fendu d'un communiqué incendiaire le 26 janvier dernier pour dénoncer les agissements des organisations islamiques sénégalaises en vue d'empêcher la tenue du Congrès des Rehfram à Dakar et mettre en garde l'Etat du Sénégal. Ces derniers regroupés d’un Collectif a apporté la répliqué dans un communiqué transmis à Leral.
Communiqué du 30 Janvier 2018- GODF : Accusé de réception.
Nous collectif NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité, accusons réception de votre communiqué du 26 du mois courant indexant le Sénégal.
Le peuple sénégalais proclame dans le préambule de sa constitution qu’il est PROFONDEMENT attaché à ses valeurs culturelles qui fondent le ciment de son unité nationale. Un peuple fortement croyant, de musulmans et de chrétiens, gardant jalousement l’héritage de ses ancêtres très riche en valeurs et principes, gage de sa stabilité tant enviée dans le monde et moteur de sa paix citée partout en exemple.
Un peuple trahi par ses dictateurs ayant appartenu et soutenus par vos loges où règnent conspirations et mensonges dans le bâillonnement et la liquidation de nos héros et patriotes ; lesquelles loges ont organisé le pillage du continent par le biais de la Françafrique. Un peuple qui a compris que la franc-maçonnerie fait partie de l’héritage colonial et reste une secte très dangereuse, anticléricale, anti-état et luciférienne dans sa démarche assumée d’éliminer Dieu de la vie des hommes.
Depuis que le Collectif est au courant de votre entreprise satanique de faire de Dakar, le lieu de « tenue » des REHFRAM pour l’année 2018, nous sommes sur le pied de guerre face à votre secte décrite à tort comme puissante et secrète. Notre combat ne fait que commencer !
Par votre communiqué, le GODF nous rappelle cette France parasitique, et toujours présente, qui refuse l’auto-détermination des peuples du continent car consciente que sans l’Afrique, elle n’aura pas d’histoire dans ce 21e siècle.
Le Collectif rappelle au Grand Orient que ses manœuvres et subterfuges ayant conduit, par le passé, à mettre à genoux l’église française sous le fallacieux d'un combat au nom de la laïcité, ne saurait prospérer au Sénégal.
Le GODF combat aujourd’hui l’islam en France avec des lois préparées en loge et portées par des parlementaires dévoués à votre cause. Votre philosophie mensongère de - liberté absolue de conscience et d’expression – devait vous amener sur le terrain des libertés, à permettre aux musulmans de s’épanouir, à ne pas brimer les musulmanes qui ont choisi le port du voile et à ne pas fustiger l’Etat français quand il octroie de maigres terres pour des lieux de culte.
Le GODF qui est prêt à défendre la zoophilie, à soutenir les libertés sexuelles des enfants au nom de la liberté des orientations sexuelles est dans une logique de guerre contre toute croyance faisant référence au monothéisme. Cette proclamation de «liberté absolue de conscience» aura certainement motivé le Grand Orient de France à décerner, le 08 avril 2016, à l’ex-ministre de la Santé Mme Simone Veil, la haute distinction de l’Ordre Maçonnique «Marianne-Jacques-France», pour avoir été l’auteure, le 17 janvier 1975, de la loi légalisant l’avortement en France.
Le patron du Grand Orient, le «Grand Maître» Daniel Keller, n’a su cacher sa joie en remettant à la famille de Mme Veil, ce buste de Marianne, déclarant : «Sa loi sur l’IVG [interruption volontaire de grossesse] est devenue le symbole de l’amélioration de l’Homme et de la société à laquelle les francs-maçons travaillent ; cette loi reste un pilier de notre société». Ainsi, cette négation du droit à la vie, permettant de tuer librement des enfants dans le ventre de leurs mères, constitue un pilier de la société qu’entreprend de bâtir cette obédience maçonnique luciférienne ! Un de vos éminents barons, Jean Tuffou, 2e Grand Maître adjoint du Grand Orient, a avoué le 29 mai 2013 que le «mariage pour tous», officialisé en France par la loi du 17 mai 2013, autorisant le mariage homosexuel, a été adopté en loge !
En termes de «liberté de conscience», justement, où était le Grand Orient lorsque le Code civil français, renforcé par la «Loi Pasqua» de 1992, sur le regroupement familial, interdisait la pratique de la polygamie ? Maintenant, de facto, nombre de femmes à l’état de maitresses et pénalisant injustement des travailleurs immigrés musulmans, après avoir déstabilisé leurs familles ? Où était ce prétentieux Grand Orient de France, champion auto-proclamé de la liberté de conscience, lorsque des arrêtés préfectoraux iniques ordonnaient, çà et là en Europe, le démantèlement de minarets de mosquées, que des croyants, pourtant régulièrement établis dans ces pays et y gagnant honnêtement leurs vies, ont bâtis à la sueur de leur front ?
En nous qualifiant d’extrémistes et de forces obscurantistes, le GODF reste dans le déni de l’autre croyant que sa culture est universelle et ses valeurs sont à adopter par tous. NON, l’ère de la tutelle est révolue, REVEILLEZ-VOUS !
Le Collectif dit tout simplement que le Sénégal n’a pas de leçon à recevoir du Grand orient.
Enfin votre communiqué renseigne sur votre but factice et inavoué comme souligné par Livernette dans son ouvrage intitulé « La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture », dans l’affirmation que vous proposez une franc-maçonnerie de progrès libérée de DOGMES, émancipatrice et permettant l’avènement d’une humanité MEILLEURE et plus ECLAIREE. Quel mensonge ! Combattre Dieu et diriger le monde a été, est, et restera votre but.
Le Collectif NON à la franc-maçonnerie, prend à témoin la communauté internationale et réaffirme sa ferme détermination à s’opposer systématiquement à toutes manœuvres de vassalisation de nos mœurs ; prétendant nous apporter un nouveau modèle de société pour régenter notre mode de vie communautaire, que s’est librement choisi l’écrasante majorité des croyants de notre pays. Lequel est certes démocratique et hospitalier, mais fermement attaché à la sauvegarde de ses valeurs culturelles et religieuses.
Vos menaces ouvertes viennent conforter plusieurs allégations, vous qualifiant d’organisation criminelle à l’origine de plusieurs meurtres et attentats cf (la publication des « grands crimes de la maçonnerie » ou « franc-maçonnerie : rites, violences et crimes »). Nous faisons fi de vos menaces et de toute mise en exécution de ces dernières.
Par conséquent, le Collectif NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité déclare personae non gratae au Sénégal, tous les membres de votre organisation, et assure que les mesures idoines seront prises, le cas échéant.
Le Sénégal dit doublement NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité.
Contact : collectifnon@yahoo.com.
Fait à Dakar le 30 Janvier 2018.
Communiqué du 30 Janvier 2018- GODF : Accusé de réception.
Nous collectif NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité, accusons réception de votre communiqué du 26 du mois courant indexant le Sénégal.
Le peuple sénégalais proclame dans le préambule de sa constitution qu’il est PROFONDEMENT attaché à ses valeurs culturelles qui fondent le ciment de son unité nationale. Un peuple fortement croyant, de musulmans et de chrétiens, gardant jalousement l’héritage de ses ancêtres très riche en valeurs et principes, gage de sa stabilité tant enviée dans le monde et moteur de sa paix citée partout en exemple.
Un peuple trahi par ses dictateurs ayant appartenu et soutenus par vos loges où règnent conspirations et mensonges dans le bâillonnement et la liquidation de nos héros et patriotes ; lesquelles loges ont organisé le pillage du continent par le biais de la Françafrique. Un peuple qui a compris que la franc-maçonnerie fait partie de l’héritage colonial et reste une secte très dangereuse, anticléricale, anti-état et luciférienne dans sa démarche assumée d’éliminer Dieu de la vie des hommes.
Depuis que le Collectif est au courant de votre entreprise satanique de faire de Dakar, le lieu de « tenue » des REHFRAM pour l’année 2018, nous sommes sur le pied de guerre face à votre secte décrite à tort comme puissante et secrète. Notre combat ne fait que commencer !
Par votre communiqué, le GODF nous rappelle cette France parasitique, et toujours présente, qui refuse l’auto-détermination des peuples du continent car consciente que sans l’Afrique, elle n’aura pas d’histoire dans ce 21e siècle.
Le Collectif rappelle au Grand Orient que ses manœuvres et subterfuges ayant conduit, par le passé, à mettre à genoux l’église française sous le fallacieux d'un combat au nom de la laïcité, ne saurait prospérer au Sénégal.
Le GODF combat aujourd’hui l’islam en France avec des lois préparées en loge et portées par des parlementaires dévoués à votre cause. Votre philosophie mensongère de - liberté absolue de conscience et d’expression – devait vous amener sur le terrain des libertés, à permettre aux musulmans de s’épanouir, à ne pas brimer les musulmanes qui ont choisi le port du voile et à ne pas fustiger l’Etat français quand il octroie de maigres terres pour des lieux de culte.
Le GODF qui est prêt à défendre la zoophilie, à soutenir les libertés sexuelles des enfants au nom de la liberté des orientations sexuelles est dans une logique de guerre contre toute croyance faisant référence au monothéisme. Cette proclamation de «liberté absolue de conscience» aura certainement motivé le Grand Orient de France à décerner, le 08 avril 2016, à l’ex-ministre de la Santé Mme Simone Veil, la haute distinction de l’Ordre Maçonnique «Marianne-Jacques-France», pour avoir été l’auteure, le 17 janvier 1975, de la loi légalisant l’avortement en France.
Le patron du Grand Orient, le «Grand Maître» Daniel Keller, n’a su cacher sa joie en remettant à la famille de Mme Veil, ce buste de Marianne, déclarant : «Sa loi sur l’IVG [interruption volontaire de grossesse] est devenue le symbole de l’amélioration de l’Homme et de la société à laquelle les francs-maçons travaillent ; cette loi reste un pilier de notre société». Ainsi, cette négation du droit à la vie, permettant de tuer librement des enfants dans le ventre de leurs mères, constitue un pilier de la société qu’entreprend de bâtir cette obédience maçonnique luciférienne ! Un de vos éminents barons, Jean Tuffou, 2e Grand Maître adjoint du Grand Orient, a avoué le 29 mai 2013 que le «mariage pour tous», officialisé en France par la loi du 17 mai 2013, autorisant le mariage homosexuel, a été adopté en loge !
En termes de «liberté de conscience», justement, où était le Grand Orient lorsque le Code civil français, renforcé par la «Loi Pasqua» de 1992, sur le regroupement familial, interdisait la pratique de la polygamie ? Maintenant, de facto, nombre de femmes à l’état de maitresses et pénalisant injustement des travailleurs immigrés musulmans, après avoir déstabilisé leurs familles ? Où était ce prétentieux Grand Orient de France, champion auto-proclamé de la liberté de conscience, lorsque des arrêtés préfectoraux iniques ordonnaient, çà et là en Europe, le démantèlement de minarets de mosquées, que des croyants, pourtant régulièrement établis dans ces pays et y gagnant honnêtement leurs vies, ont bâtis à la sueur de leur front ?
En nous qualifiant d’extrémistes et de forces obscurantistes, le GODF reste dans le déni de l’autre croyant que sa culture est universelle et ses valeurs sont à adopter par tous. NON, l’ère de la tutelle est révolue, REVEILLEZ-VOUS !
Le Collectif dit tout simplement que le Sénégal n’a pas de leçon à recevoir du Grand orient.
Enfin votre communiqué renseigne sur votre but factice et inavoué comme souligné par Livernette dans son ouvrage intitulé « La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture », dans l’affirmation que vous proposez une franc-maçonnerie de progrès libérée de DOGMES, émancipatrice et permettant l’avènement d’une humanité MEILLEURE et plus ECLAIREE. Quel mensonge ! Combattre Dieu et diriger le monde a été, est, et restera votre but.
Le Collectif NON à la franc-maçonnerie, prend à témoin la communauté internationale et réaffirme sa ferme détermination à s’opposer systématiquement à toutes manœuvres de vassalisation de nos mœurs ; prétendant nous apporter un nouveau modèle de société pour régenter notre mode de vie communautaire, que s’est librement choisi l’écrasante majorité des croyants de notre pays. Lequel est certes démocratique et hospitalier, mais fermement attaché à la sauvegarde de ses valeurs culturelles et religieuses.
Vos menaces ouvertes viennent conforter plusieurs allégations, vous qualifiant d’organisation criminelle à l’origine de plusieurs meurtres et attentats cf (la publication des « grands crimes de la maçonnerie » ou « franc-maçonnerie : rites, violences et crimes »). Nous faisons fi de vos menaces et de toute mise en exécution de ces dernières.
Par conséquent, le Collectif NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité déclare personae non gratae au Sénégal, tous les membres de votre organisation, et assure que les mesures idoines seront prises, le cas échéant.
Le Sénégal dit doublement NON à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité.
Contact : collectifnon@yahoo.com.
Fait à Dakar le 30 Janvier 2018.
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