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PHOTO – Décou­vrez le prix de la montre d'Emma­nuel Macron

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PHOTO – Décou­vrez le prix de la montre d'Emma­nuel Macron

Après avoir long­temps porté une montre de luxe lorsqu’il était ministre des Finances, Emma­nuel Macron a décidé de chan­ger ses habi­tudes et porte désor­mais au poignet une montre méca­nique de marque française selon les infor­ma­tions du Figaro. Valeur du bijou : 399 euros.

Brigitte Macron n'est pas la seule à faire atten­tion à son style . Son mari aussi veille sur son image et à ce qu’il porte. A son poignet, l’ac­tuel président de la Répu­blique porte une montre LMM-01 à décou­vrir içi.  Un acces­soire déve­loppé par la marque française Merci. Et petite préci­sion, Emma­nuel Macron aurait choisi de porter le modèle méca­nique selon les infor­ma­tions du Figaro. La montre qui fonc­tionne sans pile, doit être remon­tée tous les jours pour que son proprié­taire soit sûr d’être à la bonne heure.

Contac­tée par nos confrères du Figaro, la marque l’as­sure : « Nous ne faisons aucun place­ment de produit, donc nous ne lui avons pas donné. Le plus probable semble que quelqu'un lui ait offert ». D’un diamètre de 37,5 mm, la montre d’Em­ma­nuel Macron est dotée d'un calibre méca­nique suisse de chez ETA. Son prix n’est pas exor­bi­tant, il faut débour­ser 399 euros pour se l’of­frir. Lorsqu’il était ministre des Finances, Emma­nuel Macron portait une montre de la marque de luxe Cartier, mais l'actuel président de la Répu­blique aurait décidé de chan­ger de style.

Lorsqu’il était à l’Ely­sée , François Hollande avait choisi la sobriété. L’an­cien secré­taire géné­ral du PS portait au poignet une Swatch en acier d'une valeur de 100 euros. Dans un tout autre style , Nico­las Sarkozy possé­dait plusieurs montres de luxe : une Rolex, une Patek Philippe offerte par sa femme Carla Bruni et une Breit­ling.




Gala.fr



Pout manque d'électricité et d'eau, la population en colère

Patin dévoile les secrets des franc-maçons

Libéria: voici les 5 promesses faites par George Weah au peuple

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Libéria: voici les 5 promesses faites par George Weah au peuple

George Weah a officiellement pris les rênes du pays lundi 22 janvier, lors d’une cérémonie à laquelle étaient présents plusieurs dirigeants africains, des stars du football et plusieurs autres célébrités.

Dans son discours d’investiture, l’ancien footballeur devenu le 24e président du Liberia, a promis de s’attaquer aux problèmes économiques et sociaux du pays.

Voici les cinq promesses faites par George Weah depuis son élection :

 

Lutter contre la corruption

L’ancienne présidente, Ellen Johnson Sirleaf, a été constamment critiquée pour son incapacité à lutter contre la corruption dans le gouvernement. Dans son discours d’investiture, Weah a déclaré que les électeurs l’avaient spécifiquement demandé de combattre la corruption. « Je pense que la tâche que j’ai reçue du peuple libérien, est celle de mettre fin à la corruption au sein de la fonction publique. Je promets d’accomplir cette tâche ».

« En tant que fonctionnaires du gouvernement, il est temps de placer les intérêts de notre peuple au-dessus de nos propres intérêts égoïstes, il est temps d’être honnêtes envers notre peuple. Nous devons mettre fin à la corruption », a souligné le président.

Apporter son aide au secteur privé

Weah a déclaré qu’il supprimerait les « restrictions inutiles » sur les entreprises, ajoutant que le Liberia est ouvert aux affaires pour le secteur privé. « Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour fournir un environnement propice pour des affaires honnêtes et transparentes ».

Il a ajouté qu’il ne voulait plus que les Libériens soient des « spectateurs » dans leur économie, Les migrants indiens et libanais ayant pris le monopole du commerce de détail, tandis que les entreprises occidentales et asiatiques possèdent la grande majorité des activités de caoutchouc, d’huile de palme et de minerai de fer.

Contribuer à la formation des jeunes

Il a été rapporté que de nombreux Libériens ont raté une éducation formelle durant la guerre civile de 1989-2003 et qu’ils n’ont pas les capacités nécessaires pour obtenir un emploi en dehors du secteur informel. Weah a souligné qu’il croyait que la formation professionnelle était la réponse pour aider cette génération perdue.

« Nous avons besoin d’enseignants plus nombreux et mieux formés non seulement pour nos institutions professionnelles, mais également pour nos écoles et nos universités. Les institutions professionnelles sont le meilleur moyen de permettre aux jeunes adultes d’accéder plus rapidement au marché du travail, car la plupart d’entre eux ont déjà assumé des responsabilités familiales. Un plus grand engagement de financement pour les écoles et la formation sera soumis à l’Assemblée législative plus tard cette année ».

 

Assurer la transparence dans tous les secteurs

Weah a promis un gouvernement plus « coopératif » et  plus « direct ». « Ensemble, nous devons à nos citoyens des détails sur des questions fondamentales telles que la terre sous leurs pieds, la liberté d’expression et la façon dont les ressources et les responsabilités nationales sont distribuées », a-t-il déclaré.

Assurer le respect des droits et la démocratie

Le président a rendu hommage aux centaines de milliers de personnes qui sont mortes pendant les guerres civiles et a déclaré que la leçon tirée de cette situation, est la valeur de l’égalité et de la liberté. « Ce sont les droits de l’homme les plus fondamentaux dont notre peuple mérite, et cela doit être respecté à travers nos actions, politiques et lois ».

George Weah se dit désormais prêt à relever tous les défis.


Kolda: Sarré Oudou, tout un village incendié, regardez les causes !

Etats-Unis - Donald Trump: génie ou folie?

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Un livre et deux tweets relancent la polémique: le président des États-Unis est-il un malade mental ?
Etats-Unis - Donald Trump: génie ou folie?

Tout, ou presque, a déjà été dit, écrit, commenté, sur Donald Trump, 71 ans, président des États-Unis depuis un an. Et beaucoup l’a été par l'intéressé lui-même, addict aux tweets assurant le succès planétaire de sa propre mise en scène. Cette étrange dynamique prend aujourd’hui une nouvelle dimension avec un ouvrage détonant, signé de Michael WolffFire and the Fury, Inside the Trump White House . Le livre relance le débat sur la potentielle psychopathologie du dirigeant de la première puissance mondiale –ainsi que ses possibles conséquences politiques et diplomatiques, si elle était avérée.

#DiagnoseTrump

 

Avant même l’élection américaine, la question fut publiquement soulevée: le candidat républicain souffrait-il ou non d’un trouble de nature psychiatrique? Au mois d’août 2016, la députée (démocrate) de Californie, Karen Bass, lance une pétition  pour demander qu’une évaluation sur ce thème soit pratiquée, intitulée #DiagnoseTrump. Des professionnels de la psychiatrie avancent des termes comme «trouble de personnalité  narcissique et sociopathe.

 

Cinquante Républicains ayant exercé d’importantes fonctions au sein de l’appareil de sécurité nationale de leur pays, dénoncent alors l’ignorance et l’incompétence du candidat de leur propre parti  et évoquent «l’instabilité de son caractère», son absence de discipline et de maîtrise de lui-même ou encore son incapacité à «tolérer les critiques personnelles».

«Donald Trump est-il carrément fou?»

Le Washington Post

«Donald Trump est-il carrément fou?» demande, explicitement, un chroniqueur du Washington Post. Fou ou pas, il est élu président des États-Unis. Pendant la campagne, son étrange médecin personnel (le Dr Harold Bornstein), avait assuré qu'il serait «l'individu en meilleure santé jamais élu à la présidence». Bon.

Un an plus tard, la question de la «folie» du président des États-Unis demeure pleinement d’actualité. Elle n’a toujours pas trouvé de réponse claire –en dépit de l’accumulation de symptômes évocateurs et des multiples hypothèses qui continuent à être soulevées.

Car comment porter un diagnostic indiscutable sans jamais examiner, cliniquement, le patient? Et comment l’examiner (sauf cas de force majeure) si ce même patient s’y refuse? Le 12 janvier dernier, Donald Trump, président le plus âgé jamais élu à la Maison-Blanche, a finalement accepté de passer une visite médicale. S'il n'avait aucune obligation de se soumettre à un bilan de santé, ni d'en communiquer les résultats, c'est cependant devenu une tradition à laquelle il s'est plié. Son poids, sa pression artérielle et son taux de cholestérol ont été examinés. Verdict: tout va bien. Mais aucun examen psychiatrique n'a été pratiqué... On ne sait toujours pas si Trump a un grain.

«Débile», «semi-analphabète»...

 

Le livre de Wolff agite les esprits. Rex Tillerson, le chef de la diplomatie américaine, a ainsi dû, le 5 janvier, monter en première ligne pour défendre l’aptitude mentale  du président à gouverner le pays: «Je n’ai jamais remis en cause son aptitude mentale, je n’ai aucune raison de douter de son aptitude mentaleIl n’est pas comme les présidents d’avant", a-t-il déclaré lors d’une interview sur CNN. Il n'a par contre pas démenti pas avoir personnellement traité Trump, durant l’été 2017 (et en privé), de «débile».

Via de nombreux témoignages, souvent anonymes, Michael Wolff relate le malaise qui règne autour de l’exécutif américain. Selon lui, tout l’entourage de Donald Trump s’interrogerait sur sa capacité à gouverner. «Ils disent qu’il est comme un enfant. Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’il a besoin d’être immédiatement satisfait. Tout tourne autour de lui, a précisé l’auteur dans une interview à NBC. Il est comme une boule de flipper, il part dans tous les sens.» Et de donner comme exemple le fait que le président répète les mêmes histoires, «trois fois en dix minutes» –une tendance également observée dans ses interventions publiques.

«Trump ne lit pas, écrit encore Michael Wolff dans Fire and FuryMême pas en diagonale. Si c’est imprimé, ça pourrait aussi bien ne pas exister.» Certains de ses collaborateurs assurent qu’il est «post-lettré, totalement télévision», d’autres qu’il serait  «semi-analphabète»… Certes tout cela ne suffit toujours pas pour oser porter un diagnostic indiscutable. Et cela aurait pu en rester là. Mais c’était sans compter sur les vertiges de la mise en abyme.

Génie

C’est ainsi que l’on vient de voir le président des États-Unis répondre lui-même à la question que la toute planète se pose sur sa stabilté mentale. Et ce, via deux tweets postés au petit matin du 6 janvier . Il y affirme modestement être, tout simplement, un «génie très équilibré».

 

 

Puis, Donald Trump d’auto-célébrer peu après son parcours universitaire, ses succès répétés dans le monde des affaires et les compétences intellectuelles inhérentes à ces exploits. Cette autoglorification désinhibée et quelque peu vulgaire, avait déjà été observée et développée il y a près de trente ans dans Trump par Trumpautobiographie atypique, entre l’hagiographie et le manuel de motivation.

Son ghostwriter, Tony Schwartz a depuis changé son fusil d'épaule et décrit  son commanditaire, comme inculte, narcissique, mythomane, immature et mégalomane.

À noter aussi que l’on ne parle jamais, concernant Trump, d’un hypothétique sens de l’humour –ce qui ne manque pas, non plus d’inquiéter.

Alors, un diagnostic définitif? Les quelques psychiatres français que nous avons contactés, s’y refusent. Moins par peur de se tromper que par souci de déontologie: ne pas évoquer le cas d’une personnalité publique sans l’avoir examinée et sans son consentement. Ce qui n’interdit nullement, dans les dîners en ville, d’évoquer le personnage principal de Docteur Folamour ou: comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe  de Stanley Kubrick (1964).

 

 

Bande annonce de Docteur Folamour

Un demi-siècle plus tard, tout s’est brutalement accéléré. Le président des États-Unis tweete et menace à tout-va, provoque du soir au matin et fait fi du langage diplomatique. Prolongeant cette dynamique, il ose la mise en abyme psychiatrique et le voici qui réclame le titre de génie, maîtrisant ses équilibres intérieurs. Sans même disposer de diagnostic certifié le concernant, il y a là, très raisonnablement, de quoi avoir peur.




Slate.fr


Le Général Maissa Niang s'est rendu en Casamance et loue le travail de la gendarmerie nationale (Vidéo)

Constitution de partie civile : la mairie de Dakar fixée sur son sort, demain

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Constitution de partie civile : la mairie de Dakar fixée sur son sort, demain
La recevabilité de la constitution de Partie civile de la Mairie de Dakar n’a pas été tranchée. Cette question qui a occupé les débats durant toute la journée, a finalement été reportée jusqu’à demain par le Tribunal. Récit d’une rude bataille judiciaire.

Après avoir réglé la question de l’audition des témoins de la défense, les avocats de l’Etat, le parquet et l’agent judicaire de l’Etat ont soulevé une exception au fond concernant la nouvelle constitution de partie civile de la Mairie de Dakar, avec comme conseils, Me El Hadji Diouf, Me Jean Sylva, Me Ousseynou Gaye et Me Ibrahima Diaw.

Selon les robes noires, cette nouvelle constitution de la municipalité n’est pas fondée parce qu’en vertu de l’article de 2 du code de procédure pénale, disent-ils, la municipalité n’a subi aucun préjudice dans le cadre de cette affaire. Mieux, en vertu l’article 243 du code des collectivités locales, c’est une constitution qui est prématurée en l’état actuel de la procédure. Du moment que défend-il, c’est une délibération des conseillers municipaux de la ville qui n’a pas encore force exécutoire.

Dans la même foulée, l’agent judiciaire de l’Etat Antoine Felix Diome a dénoncé le fait que le tonitruant Me Elhadji Diouf se soit encore constitué comme avocat de la mairie de Dakar dans le dossier. Car, son statut de député de la 12e législature, souligne-t-il, l’empêche de plaider dans le cadre de cette affaire, où l’Etat est partie civile. « Il ne peut être ni conseil de la défense ni celui de la partie civile. C’est une question qui était déjà réglée depuis l’audience du 3 janvier dernier. Nous avons tous appris le même droit, et il sait très bien que sa nouvelle constitution ne respecte pas notre déontologie », a-t-il affirmé.

« L’agent judiciaire de l’Etat est un fonctionnaire qui reçoit des ordres qu’il est obligé d’exécuter. Sinon il est mort parce qu’il sera toute suite affecté à Kédougou », se moque le tonitruant avocat, qui a jugé sa nouvelle constitution bien fondée au regard de la loi.

Prenant le contre-pied des conseils de l’Etat, les avocats des prévenus ont plaidé la recevabilité de la constitution de Partie civile de la marie de Dakar. « La personne morale de la ville de Dakar est différente de la personne du maire de Dakar Khalifa Sall comme prévenu. La ville de Dakar a subi un préjudice moral dans ce dossier en vertu de l’article 2 du Code de procédure pénale. Et, tout denier public n’est pas exclusivement denier de l’Etat. Donc, la mairie a la faculté juridique de se constituer partie civile », défend Me Khassimou Touré.

Dans leur argumentaire, la défense a aussi soulevé une exception sur la constitution de partie civile de l’Etat du Sénégal dans le procès. Selon Me ciré Clédor Ly, c’est une constitution qui doit être déclarée irrecevable en vertu de l’article 410 du Code de procédure pénale et de cinq autres motifs tirés de la loi. Et Me Demba Ciré Bathily d’ajouter que « l’agent judiciaire de l’Etat n’a pas voix au chapitre dans le procès. Il porte atteinte aux droits de la défense. Parce qu’il ne doit pas en aucun cas s’immiscer dans les affaires d’une collectivité locale. Il n’a subi aucun préjudice dans cette affaire. Car on parle de détournement de deniers publics appartenant à la mairie de Dakar et non à l’Etat du Sénégal. Même si, ce dernier prétend qu’il est victime dans cette affaire de la caisse d’avance ».

L'audience reprend demain.




Lamine DIEDHIOU et Kady FATY Leral


​Ciré Clédor Ly, avocat de Khalifa Sall : « L’État est entré dans cette affaire par effraction »

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​Ciré Clédor Ly, avocat de Khalifa Sall : « L’État est entré dans cette affaire par effraction »
Se prononçant sur la recevabilité de la constitution de l’État du Sénégal comme partie civile, Ciré Clédor Ly, connu pour être un grand procédurier a invoqué que le Code des collectivités locales (CCL) qui interdirait à l’État de se constituer partie civile au nom de la Ville de Dakar, tout comme le décret n°70-1216 du 7 novembre 1970 portant création d’une Agence Judiciaire de l’Etat et fixant ses attributions.
 
«L’État est entré dans cette affaire par effraction. Nulle part il n’est dit qu’il peut intervenir dans un procès », a expliqué Me Ly, avant d’ajouter que leurs « clients ne peuvent pas intervenir pendant les exceptions et lui, il intervient avec ses avocats ».

Et Me Ciré Clédor Ly d’ajouter que le décret qui crée l’Agence Judiciaire de l’État (‘Ndlr décret n°70-1216 du 7 novembre 1970 portant création d’une Agence Judiciaire de l’Etat et fixant ses attributions ) ne lui permet pas d’intervenir dans cette affaire. Puisque Le Code des collectivités locales (CCL) a déjà précisé ainsi que le maire ou le membre du Conseil municipal, désigné sur délibération, peuvent représenter la collectivité locale en justice.
Rappelons que l’Agence Judiciaire de l’Etat, sous l’autorité de l’Agent judiciaire de l’Etat, est compétente pour le règlement de toutes les affaires contentieuses où l’Etat est partie dans les instances judiciaires ou arbitrales nationales et internationales.
 
Toute action tendant à faire déclarer l’Etat créancier ou débiteur pour une cause étrangère à l’impôt et au domaine, doit, sauf exception prévue par un texte spécial, être intenté à peine de nullité par ou contre l’Agent Judiciaire de l’Etat.
 
Leral.net
 

Affaire Khalifa Sall : Me El Hadji Diouf se paie les têtes de Yerim Sow et du Préfet de Dakar

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Affaire Khalifa Sall : Me El Hadji Diouf se paie les têtes de Yerim Sow et du Préfet de Dakar
Me El Hadji Diouf a encore fait parler de lui pour ne pas dire qu’il a fait son show. Lors de sa plaidoirie pour légitimer la constitution de partie de la mairie de Dakar dont il est le conseil, le tonitruant avocat s’est livré par piques assassines contre Macky Sall. Qu’il a accusé sans le citer nommément, d’avoir orchestré un « complot » contre Khalifa Sall pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle. « En voulant obtenir la tête d’une personne, on finit par perdre la tête », lance-t-il. Le Préfet de Dakar et Me Yerim Sow en ont aussi reçu leur dose de piqûre. « Après avoir accompli de sales boulots à Thiès, il s’est fait affecter à Dakar. Là aussi, il prêt à tout, espérant un poste de gouverneur », crache-t-il à l’endroit du premier nommé, pour avoir pris un arrêté demandant au Conseil municipal de faire une seconde lecture de sa constitution de partie civile.

Quant à son confrère de la partie civile, Me El Hadji n’a pas apprécié que celui ait déclaré qu’il est le seul à se présenter à la barre alors qu’on parle de la constitution de quatre avocats pour la Ville de Dakar. Car pour lui, l’ancien bâtonnier cherche à faire croire qu’il joue à l’avocat du diable. « Je n’ai pas besoin de lister mes prestations. J’ai gagné des procès dans les Cours d’Assises au Sénégal, en Afrique et en Europe. Je ne suis pas de ces avocats qui sont entre deux avions, en train de courir derrière les per diems pour des procès qu’ils n’ont jamais gagnés », cogne-t-il.








Lamine DIEDHIOU et Kady FATY Leral

Il faut sauver le soldat Ronaldo

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Les dirigeants du Real Madrid ont multiplié les messages pour que le groupe madrilène se ressaisisse. Avec des effets entrevus face au Deportivo La Corogne. A l’origine de ce retour en forme, on trouve Sergio Ramos qui a convié quelques cadres pour un dîner réconciliateur.
Il faut sauver le soldat Ronaldo
Les rumeurs se multiplient autour du Real Madrid et notamment de Cristiano Ronaldo. On a bien compris que le fossé semble plus important que jamais entre le Portugais et un Florentino Perez peu enclin à écouter une nouvelle demande d’augmentation salariale et qui aurait même ouvert la porte en grand, pour un départ l’été prochain. Il y a peu de temps encore, c’était impensable.

Mais avant cela, il convient de redresser durablement la barre pour la saison en cours. Lors des différentes réunions entre le staff et la direction, Zidane avait martelé qu’il ne souhaitait pas de renfort cet hiver, ni en défense, ni en attaque et pas non plus dans le but. La première conséquence a été la prolongation de Kepa Arrizabalaga, portier international espagnol d’avenir, avec l’Athletic Bilbao alors qu’il était annoncé avec insistance pour débarquer au Real.

Perez a également fait passer un message à Sergio Ramos pour recréer du lien autour de Ronaldo. Selon Onda Cero, le capitaine un peu moins proche de CR7 ces derniers temps, a décidé d’organiser la tenue d’un dîner avec le Portugais, mais également Modric, Marcelo et leurs femmes. Cela, en plus de la réunion avec tout le staff et les joueurs, semble avoir remis de l’huile dans les rouages et fait du bien à tout le monde. La perspective du huitième de finale de Ligue des champions va sans doute également redonner un coup de fouet en termes de motivation à ce groupe, qui a tout gagné. Une autre donnée d’importance.





Football.fr

Premier League - Thierry Henry tente d’éteindre la polémique Sanchez

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Critiqué par certains supporteurs d’Arsenal, qui lui reprochaient d’avoir conseillé à Alexis Sanchez de quitter le club, Thierry Henry a mis les choses au clair.
Premier League - Thierry Henry tente d’éteindre la polémique Sanchez
Bien malgré lui, Thierry Henry s’est retrouvé au cœur de l’échange, officialisé lundi, entre Arsenal et Manchester United. La faute à une petite phrase d’Alexis Sanchez, envoyé chez les Red Devils contre Henrikh Mkhitaryan, qui a mis le feu aux poudres. A l’heure de quitter les Gunners, l’attaquant chilien (28 ans) a expliqué avoir eu une "conversation" avec l’ex-attaquant français, qui lui a expliqué avoir "changé de club pour les mêmes raisons" que lui, en 2007, lorsqu’il a filé au FC Barcelone.

Des raisons qui, on l’imagine, sont essentiellement sportives, Arsenal ne luttant plus pour le titre de champion d’Angleterre depuis plusieurs années. Suffisant pour mettre en colère certains supporteurs, qui ont aussitôt réclamé aux dirigeants de retirer la statue de "Titi" érigée devant l’Emirates Stadium. Pour tenter d’éteindre l’incendie, le meilleur buteur de l’histoire du club anglais s’est fendu mardi d’un bref message sur son compte Instagram, assurant qu’il n’avait jamais conseillé Alexis Sanchez.

"Je sais que je n’ai pas besoin d’expliquer ça à la majorité des fans d’Arsenal, mais contrairement aux rumeurs, je n’ai à aucun moment dit à Alexis Sanchez de quitter Arsenal, s’est-il ainsi justifié. Je n’avais aucune idée qu’il allait signer à Manchester United jusqu’à ce que je le voie dans les journaux, comme vous tous." Une mise au point nécessaire de l’ancien international tricolore (40 ans) qui, en tant que consultant pour Sky Sports, n’est pas toujours tendre avec Arsène Wenger et les Gunners.




Football.fr

Ligue des Nations - Du lourd pour les Bleus !

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Le tirage au sort de la Ligue des Nations n’a pas été très clément pour l’équipe de France, qui a hérité de l’Allemagne et des Pays-Bas. Mais c’est tant mieux !
Ligue des Nations - Du lourd pour les Bleus !
Cette première édition de la Ligue des Nations, nouvelle compétition lancée par l’UEFA, s’annonce particulièrement alléchante ! En hiérarchisant les sélections en quatre ligues de niveaux différents (de A à D), l’instance européenne s’était assurée quelques jolis chocs lors de la première phase, qui se déroulera de septembre à novembre prochains. Et cela n’a pas raté. Le tirage au sort, effectué mercredi midi à Lausanne, a effectivement donné dans la Ligue A – la meilleure, donc – de très belles affiches. Notamment pour l’équipe de France.

Les Bleus, qui faisaient partie du chapeau 2, ont ainsi hérité de l’Allemagne et des Pays-Bas dans le groupe 1. Deux formations qu’ils connaissent bien puisqu’ils ont croisé les Oranje dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 et affronté la Mannschaft en amical, en novembre dernier. "C’est un groupe relevé mais c’est le principe de cette Ligue des nations d’avoir des matches de prestige, mais avec un intérêt sportif puisqu’il y a cette possibilité pour les premiers de disputer un tableau final", a réagi Didier Deschamps sur L’Equipe 21.

Deschamps: "Une très bonne chose"

Si les Tricolores terminent en tête à l’issue de cette première phase, qui se déroulera en matches aller-retour, ils retrouveront les trois autres leaders de cette Ligue A en juin 2019, à l’occasion d’un Final Four qui déterminera le premier vainqueur de cette Ligue des nations. S’ils finissent derniers, ils seront relégués en Ligue B. Les règles sont les mêmes pour la Belgique, la Suisse et l’Islande (groupe 2), le Portugal, l’Italie et la Pologne (groupe 3), ainsi que l’Espagne, l’Angleterre et la Croatie (groupe 4). Ce qui fait d’avance saliver tous les amateurs de football.

"C’est une nouvelle compétition mais elle est intéressante, se réjouit le sélectionneur français. Vu la qualité de nos deux adversaires, ça va offrir de belles affiches. L’adrénaline, la concentration et l’excitation viendront un peu plus naturellement. C’est mieux pour les joueurs, pour les médias et pour le public. C’est une très bonne chose pour tout le monde." Même pour les plus petites nations, qui peinent parfois à trouver des adversaires en amical et vont, cette fois, avoir de vraies rencontres à disputer. Avec, potentiellement, une chance d’aller à l’Euro 2020.

LIGUE A
Groupe 1: Allemagne, France, Pays-Bas
Groupe 2: Belgique, Suisse, Islande
Groupe 3: Portugal, Italie, Pologne
Groupe 4: Espagne, Angleterre, Croatie

LIGUE B
Groupe 1: Slovaquie, Ukraine, République tchèque
Groupe 2: Russie, Suède, Turquie
Groupe 3: Autriche, Bosnie-Herzégovine, Irlande du Nord
Groupe 4: Pays de Galles, République d’Irlande, Danemark

LIGUE C
Groupe 1: Ecosse, Albanie, Israël
Groupe 2: Hongrie, Grèce, Finlande, Estonie
Groupe 3: Slovénie, Norvège, Bulgarie, Chypre
Groupe 4: Roumanie, Serbie, Monténégro, Lituanie

LIGUE D
Groupe 1: Géorgie, Lettonie, Kazakhstan, Andorre
Groupe 2: Biélorussie, Luxembourg, Moldavie, San Marin
Groupe 3: Azerbaïdjan, Iles Féroé, Malte, Kosovo
Groupe 4: Macédoine, Arménie, Liechtenstein, Gibraltar





Football.fr

Afghanistan : attaquée, l'ONG Save The Children suspend ses opérations

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Au moins trois personnes ont été tuées dans l'attaque mercredi contre Save the Children à Jalalabad, revendiquée par le groupe Etat islamique.
Afghanistan : attaquée, l'ONG Save The Children suspend ses opérations

Un temps annoncée comme terminée, l'attaque contre les locaux de l'organisation Save The Children dans l'est de l'Afghanistan, à Jalalabad, était toujours en cours plus de sept heures après son déclenchement mercredi. Elle survient 4 jours après l'attentat contre l'hôtel Intercontinental de Kaboul, où 18 personnes ont trouvé la mort. Pour l'instant, le bilan provisoire fait état de trois morts - deux gardes de sécurité de l'ONG et un civil - et 24 blessés.

«Nous pouvons confirmer que l'attaque contre nos locaux à Jalalabad est toujours en cours», a précisé le porte-parole de l'organisation dans un communiqué, contredisant donc le responsable provincial qui en avait annoncé la fin quelques heures auparavant. Le sort des employés de l'ONG demeure, pour le moment, incertain. Certains restaient enfermés à l'intérieur du complexe et l'un d'eux, joint par l'AFP, a indiqué qu'il se trouvait «toujours dans la pièce sécurisée; nous ne savons pas si c'est terminé, nous attendons que les forces de sécurité nous disent qu'on peut sortir», a-t-il confié.

Le corps d'un des assaillants qui a déclenché sa veste explosive a été découvert sur place et un autre a été abattu par les forces de sécurité. L'attaque a commencé peu après 9 heures, heure locale, par un attentat à la voiture piégée devant le complexe qui abrite l'ONG.

Daech revendique l'attaque

L'organe de propagande de Daech, Amaq, a affirmé dans un communiqué que «trois martyrs avaient pris part à l'attaque visant les fondations britanniques et suédoises et des institutions gouvernementales afghanes», allusion au «Swedish Comittee» pour les affaires humanitaires et un bureau du ministère afghan des Femmes, situés à proximité. La dernière attaque de Daech en Afghanistan remonte au 28 décembre et visait un centre culturel chiite de Kaboul où 41 personnes avaient perdu la vie.

«Je suis vivant, priez pour moi»

Un employé de l'ONG retranché dans les locaux pendant l'attaque terroriste

«J'ai entendu une énorme explosion, ça ressemblait à une voiture piégée. Nous nous sommes mis à couvert et j'ai vu un homme armé d'un RPG (lance-roquettes) tirer contre la porte principale pour entrer dans le complexe», a rapporté un témoin hospitalisé. Plus d'une heure après le début de l'attaque, un employé retranché à l'intérieur des locaux a lancé un appel à l'aide via le réseau de messagerie WhatsApp: «Je suis vivant, priez pour moi, j'entends au moins deux assaillants au deuxième étage, ils nous cherchent» écrit-il.

L'ONG suspend ses missions dans le pays

Un autre employé, joint à l'intérieur, a également fait état de tirs après l'explosion, évoquant selon lui «une attaque complexe». Par ce mode opératoire, désormais habituel, les assaillants s'ouvrent la voie en déclenchant une explosion à la voiture piégée avant d'investir les locaux visés.

Save The Children a annoncé que «toutes les opérations à travers l'Afghanistan étaient suspendues temporairement» et affirme que «l'Afghanistan est l'un des endroits les plus difficiles au monde pour les travailleurs humanitaires».

 

L'ONG est présente en Afghanistan depuis 1976 à Kaboul et vient notamment en aide aux enfants travaillant dans la rue. Pour la Mission des Nations unies en Afghanistan (Manua), «attaquer une organisation humanitaire constitue une claire violation du droit international et peut relever du crime de guerre», a-t-elle rappelé sur Twitter.

lefigaro.fr


Vidéo: Abdou Mbow descend Ousmane Sonko, " qui buzz laay wout limou wax dou deuggë"


Procès Khalifa Sall et Cie : Karim Wade s’invite dans la caisse d’avance de la mairie de Dakar

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Procès Khalifa Sall et Cie : Karim Wade s’invite dans la caisse d’avance de la mairie de Dakar
L’ancien ministre Karim Wade s’est invité ce mercredi au procès de Khalifa Sall et Cie. Son nom a été évoqué par Me Yérim Thiam, conseil de l’Etat, qui pour justifier la constitution de partie civile de l’Etat, a fait une similitude avec son affaire. Une comparaison qui a provoqué l’ire de son confrère Moustapha Ndoye, avocat du maire de Dakar.

En réponse, Me Ndoye n’a pas tendre à l’égard de l’ancien bâtonnier et de l’Etat qu’il accuse d’avoir comploté contre l’édile de Dakar pour le liquider politiquement.

« L’affaire Karim Wade n’a rien à faire dans ce procès parce qu’on parle de détournement présumé de deniers communaux et non de reddition des comptes de l’Etat. Si je me suis constitué dans cette affaire pour défendre Khalifa Sall, c’est par conviction. Car, je suis convaincu que ce dernier est aujourd’hui à la place de ces personnes que vous défendez », a-t-il asséné.

Poursuivant, Me Moustapha Ndoye de défendre qu’il n’y a pas de détournement de deniers publics. Car, précise-t-il, les fonds qui ont été remis au maire de Dakar, avait une destination bien connue. « Donc Khalifa Sall n’est pas un escroc, s’il l’est tous ses prédécesseurs Blaise Diagne, Mamadou Diop, Pape Diop… le sont. Vous avez tout simplement le dessein machiavélique de faire condamner Khalifa Sall, en parlant de faux et usage de faux. Mais, il faut convaincre le tribunal à le faire dans la légalité. Le monde entier est à côté de Khalifa Sall parce que c’est triste, après tout ce qu’il a fait pour la ville de Dakar, qu’il se retrouve ici », se désole la robe noire.






Kady Faty et L. DIEDHIOU Leral

Les libéraux de Saint-Louis disent "niet" à l'accueil de Macky Sall dans leur localité

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Alors qu'une visite des Présidents Emmnuel Macron et Macky Sall est prévue à Saint-Louis est prévue le 3 février 2018, le maire Mansour Faye avait demandé à "son ami" Ahmed Fall Braya, responsable libéral "contesté" chez les siens, de coordonner le comité de réception pour un accueil éclatant de ces hôtes de marque. Ce qui eut l'heur de soulever l'ire des libéraux de Saint-Louis qui ne l'entendent pas de cette oreille et comptent bien " se croiser les bras".
https://www.leral.net/video/

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