
Décidément, la sortie du directeur général de Satrec n’a fait que raviver la colère des travailleurs licenciés de l’entreprise pour avoir refusé la proposition d’un départ à l’amiable, constate "L’As".
Selon une source du journal, l’un d’entre eux a été même privé de son salaire du mois de mai 2020, après qu’il a refusé de signer ce protocole d’accord que leur impose Chaouki Haidous, le directeur général de Satrec.
En effet, pour rentrer en possession de son dû, informent davantage nos confrères, le nommé Cheikh Diop a porté plainte contre le DG de Satrec à l’Inspection du Travail et de la Sécurité sociale de la Zone franche industrielle de Dakar.
C’est à la suite de cette plainte, que le sieur Diop a été payé à hauteur de 70% de son salaire, le 17 juillet passé. Ce que dénoncent nos sources.
Pis, ajoutent-elles, Chaouki Haidous cherche la petite bête à M. Diop, pour le licencier comme il l’a fait avec Lamine Kébé, Como Ndiaye et Ousseynou Faye, qui avaient eux aussi, opposé un niet catégorique à la proposition de séparation à l’amiable prônée par Satrec, qui veut se séparer de ses agents.
Selon une source du journal, l’un d’entre eux a été même privé de son salaire du mois de mai 2020, après qu’il a refusé de signer ce protocole d’accord que leur impose Chaouki Haidous, le directeur général de Satrec.
En effet, pour rentrer en possession de son dû, informent davantage nos confrères, le nommé Cheikh Diop a porté plainte contre le DG de Satrec à l’Inspection du Travail et de la Sécurité sociale de la Zone franche industrielle de Dakar.
C’est à la suite de cette plainte, que le sieur Diop a été payé à hauteur de 70% de son salaire, le 17 juillet passé. Ce que dénoncent nos sources.
Pis, ajoutent-elles, Chaouki Haidous cherche la petite bête à M. Diop, pour le licencier comme il l’a fait avec Lamine Kébé, Como Ndiaye et Ousseynou Faye, qui avaient eux aussi, opposé un niet catégorique à la proposition de séparation à l’amiable prônée par Satrec, qui veut se séparer de ses agents.