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Mbaye Pèkh annonce sa retraite !

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Mbaye Pèkh annonce sa retraite !
Abdoulaye Mbaye Pèkh a annoncé sa retraite du milieu hippique. Il ne commentera plus les courses de chevaux, selon plusieurs sites d'informations.

Pour cause, il a reçu le « Ndigeul » (ordre) de consacrer sa vie exclusivement à Serigne Touba Mbacké. Et c’est ce qu’il compte faire pleinement. « Les affaires de Serigne Touba ne peuvent être associées à rien… », a-t-il dit.

On peut donc en déduire que le communicateur traditionnel arrête également ses activités politiques. A noter qu’il détient la carte de membre du Parti démocratique sénégalais (Pds). Au-deà des fans de courses hippiques, c’est Abdoulaye Wade qui perd un très bon "Micron central".


Plateforme i35 : «Penser et agir pour demain»

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De la nécessité d’élargir la majorité présidentielle !
Plateforme i35 : «Penser et agir pour demain»
Dans un monde en pleine mutation et un Sénégal à la croisée des chemins, la plateforme Initiative 2035 inscrit son action dans une dynamique unitaire et l’agrégation de tous les talents sénégalais au service du développement économique et social de notre pays.

Face aux urgences nationales et aux défis à relever, taire les ambitions personnelles et les querelles partisanes relève d’un sentiment patriotique et de la fibre républicaine.

A l’attention de tous les militants et soutiens du Président de la République, nous rappelons que les enjeux sont aujourd’hui économiques, sociaux, culturels et sécuritaires.

Notre leader, le Président Macky Sall, a montré la voie à suivre à travers l’élaboration et la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, moteur des politiques publiques, à dérouler sur une séquence temporelle de vingt ans. L’atteinte des objectifs assignés au PSE, exige de nous le sens des responsabilités, un engagement sans failles, un esprit de dépassement, un sens du devoir, une ouverture à toutes les compétences et une grande attention aux préoccupations de nos compatriotes.

Avec ces ressorts, nous assurerons sans nul doute (au PR Macky Sall), une brillante réélection dès le premier tour.
L’action de la plateforme « Initiative 2035 » s’inscrit dans cette perspective et se justifie par la conscience que nous avons des enjeux du moment, de la nécessité d’un vaste rassemblement et d’une démarche inclusive. 





Mame Mbaye Niang & Cie
 

Comment le système de rémunération des Agents de l’Etat a-t-il dérapé ? ( par Ibrahima SENE )

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Comment le système de rémunération des Agents de l’Etat a-t-il  dérapé ? ( par Ibrahima SENE )

Le système de rémunération des Agents de l’Etat a connu, à partir de 2004, une très grave dérèglementation, lorsque le gouvernement d’alors, avait choisi d’augmenter les rémunérations par la création et/ou la valorisation d’indemnités existantes, au détriment de la valorisation du Point  Indiciairesous prétexte de mieux valoriser les compétences.

Pourtant, suite aux revendications des Centrales syndicales, le Point Indiciaire qui était bloqué depuis 1980 à 39,86 francs, a subi à partir de 2004, une augmentation progressive  cumulée, de 29%, pour se situer à 51,42 francs,  en octobre 2011, soit 171,1 milliards.

Pendant ce temps, les rémunérations d’une certaine catégorie d’Agents de l’Etat bénéficiant d’une forte valorisation d’anciennes indemnités ou primes, ou de création de nouvelles, ont augmenté de 119,7 milliards, sous prétexte d’une prise en compte de la nécessité de valoriser les compétences.

Mais l’impact de cette valorisation sur les performances de ces Agents est jugé, selon les données même de l’Enquête commanditée par le gouvernement  sur «  la Rémunération des Agents de l’Etat », de « nul ou faible » à 70,5% par les Centrales syndicales, et de  56,9% par les Ministères !

Pis encore, les Centrales y ont estimé à 59% que cet impact n’a pas respecté le «  principe d’équité et d’égalité » !
Ainsi, l’option de valorisation des rémunérations des Agents de l’Etat par les «  Indemnités et autres primes », là où les Centrales syndicales exigeaient la «  valorisation du Point Indiciaire et la baisse de la fiscalité sur les salaires »,   n’a juste servi qu’à  la dérèglementation du système de rémunération des Agents de l’Etat, en faveur d’une certaine catégorie  des Agents de l’Etat, sans impact positif sur la performance globale de l’Administration, tout en creusant les inégalités.

Ce déséquilibre  entre le montant du  «  Salaire indiciaire » et celui des  « indemnités et primes » a continué de s’accentuer,  comme cela est reflété dans le Budget 2015 et  2016.

En effet, en 2015, le montant  des «  indemnités et primes » de  181,5 milliards, représentaient  1,7 fois la « solde indiciaire » qui se situait à 105,6 milliards, et 37% de la Masse salariale.

De même, en 2016,  ce montant a atteint 201,5 milliards représentaient 1,87 fois la « solde indiciaire », et 40% de la Masse salariale.

C’est pourquoi, les revendications des enseignants d’augmentation de « l’indemnité de  logement », même de 10% que l’Etat a consenti mais qu’ils jugent insuffisants, va aggraver le déséquilibre du système de rémunération de l’Etat.

Ainsi, c’est pour éviter d’accentuer ce déséquilibre que, conformément aux revendications des centrales syndicales d’augmenter les salaires par le biais de la baisse de la fiscalité sur les salaires, que  le gouvernement  a eu à les  satisfaire depuis  2013, dans le cadre de la Réforme de la fiscalité.

Mais, l’analyse  des  dépenses de personnel  de l’Etat montre qu’il faut distinguer celles qui sont inscrites au titre II,  de celles qui sont hors Titre II.

Ainsi, celles qui sont programmées  au Titre II pour 2018, et qui concernent les Agents fonctionnaires de l’Etat,  sont évaluées à 633 milliards de FCFA contre 586 milliardsde FCFA en 2017, soit une progression de 8%. 

Cependant, il convient de souligner que toutes les dépenses de personnel du budget 2018 ne sont pas inscrites au titre II, pour un montant de  633 milliards, représentant28,6% des Recettes fiscales prévues à 2211 milliards, contre un plafond de 35% ! 

Donc, la rémunération des Agents fonctionnaires ne constitue pas encore le problème  de la Masse salariale.
Mais, hors du titre II, les dépenses  qui  concernent  principalement, les Institutions, les Universités, les Corps émergents (volontaires et contractuels), les Agences et autres Entreprises publiques et parapubliques, verseront, en 2018, la somme globale de 227,3 milliards de FCFA de salaires, émoluments, indemnités  et traitements divers.

 Ce qui porte la rémunération globale dans le secteur public à  860,4 milliards pour l’année 2018, soit 39% des recettes fiscales, largement supérieure  à la norme des 35%. 

Et cela  ne tient pas compte de la masse salariale des collectivités territoriales.  
 
Il y a donc  nécessité  de réfléchir sur le niveau actuel de la Masse salariale qui nous  interpelle tous.
La rémunération  des Agents de l’Etat est une dépense tout à fait nécessaire, mais lorsqu’elle atteint certains sommets, ce sont objectivement nos capacités d’action en matière d’investissement ou de transferts sociaux qui sont réduites. 

C’est pourquoi,  l’exploitation judicieuse de « l’Etude sur le système de rémunération des agents de l’Etat », est nécessaire à travers  une large concertation entre les Syndicats des Agents fonctionnaires du Titre II,  et les représentants  de ceux qui sont hors Titre II.

Ainsi, les Syndicats  du secteur public, les Représentants  de l’Exécutif, du Législatif, du Judiciaire,  du Conseil Economique, Social et Environnemental, du Haut Conseil des Collectivités Territoriales, des Universités, et des Forces de Sécurité et de Défense, devraient organiser un dialogue national sur les rémunérations, pour aboutir à un consensus  le plus large possible sur l’écart entre   les salaires et leurs poids  sur les recettes fiscales, à déterminer tous tes cinq ans

Mais pour que ce dialogue national ait un sens, il faudrait avoir à l’esprit, qu’il est impossible d’effacer les inégalités de traitement des travailleurs, qu’ils soient du public ou du privé.

Cependant, il faudrait éviter l’accroissement  de ces inégalités par des artifices indemnitaires au bénéfice  de certaines catégories qui érigent les intérêts corporatistes au centre des revendications de défense du pouvoir d’achat et d’amélioration des conditions de travail.

La dérive corporatiste dans le mouvement syndical, et dans les organisations professionnelles non syndicales  du secteur public,  qui a pris de l’essor sous Wade à partir de 2004, est à la base des contradictions intersyndicales qui discréditent les revendications syndicales à travers la surenchère, et de la déréglementation du système de rémunération des  Agents de l’Etat, qui est à la base des inégalités de revenu qui leur sont devenues insupportables.

Dès lors, notre  secteur public est à la croisée des chemins, pour restaurer son efficacité,  et sa crédibilité, et pour développer le sens élevé de l’Etat, de l’éthique et l’équité en son sein et au sein de la population.
 D’où un nécessaire sursaut patriotique pour réhabiliter le Service public aux yeux des populations.
                                        





Ibrahima SENE PIT/SENEGAL
Dakar le 27 Janvier 2018

Sénégal: l'armée pilonne à la frontière bissau-guinéenne

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Sénégal: l'armée pilonne à la frontière bissau-guinéenne

L’armée sénégalaise poursuit son ratissage vers l’Est, à une dizaine de kilomètre de la forêt de Boffa Bayottes. Les opérations provoquent le déplacement de plusieurs dizaines de familles vers la Guinée-Bissau voisine. RFI est allée à leur rencontre à Ponta Rosa, près de la frontière sénégalaise.

 

Selon plusieurs témoins interrogés par RFI à Ponta Rosa, les obus tombent à un rythme plus intense. Paulo Silva les voit à chaque passage.




RFI

Fipa: Les «Mareyeurs» au Sénégal, moins de poissons, plus d’émigration

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Comme un million et demi d’autres Sénégalais, Ibrahim vit de la pêche. « J’ai entendu à la télé qu’il n’y a bientôt plus de poissons dans la mer, donc je vais partir en Italie. » La logique du jeune mareyeur est implacable. Présenté au Festival de la création audiovisuelle internationale (Fipa) à Biarritz, le documentaire « Mareyeurs », du réalisateur italien Matteo Raffaelli, réclame d’être « non pas pessimiste, mais réaliste ».
Fipa: Les «Mareyeurs» au Sénégal, moins de poissons, plus d’émigration

Ces dix dernières années, la quantité de poissons sur la côte sénégalaise a diminué de 80 pour cent. C’est la faute à la pêche industrielle des « bateaux usines » qui épuisent l’océan pour nourrir l’Asie. En même temps, ils font le malheur de la pêche artisanale avec leurs pirogues joliment peintes, mais qui rentrent de plus en plus souvent vide. Entretien.

 

RFI : Quelle est la définition du métier du mareyeur ?

Matteo Raffaelli : Le mareyeur est un intermédiaire entre les pêcheurs et les grandes usines de poissons. Le pêcheur ne peut pas vendre directement le poisson aux usines, donc le mareyeur joue le rôle entre les deux.

Pourquoi, au Sénégal, le rôle du mareyeur est-il si important d’en faire un film ?

 

C’était très important de faire un documentaire sur les mareyeurs au Sénégal, parce que c’est la classe dans le secteur de la pêche qui emploie le plus de personnes. Ce sont des personnes qualifiées. Donc ils représentent un poids économique très important dans le secteur de la pêche au Sénégal.

 

Le jeune mareyeur Ibrahim apprend à la télé qu’il y aura bientôt plus de poissons sur les côtes sénégalaises. Donc il décide d’émigrer. Est-ce une histoire véridique ?

C’est bien réel. Il y a des données officielles qui ont été publiées et qui montrent que le poisson est en train de finir. Donc Ibrahim, en regardant la télé, a compris et pour cela il a décidé d’émigrer. Et il est loin d’être le seul.

Comment avez-vous trouvé Ibrahim ?

Avec mon producteur Franceso Congiu, qui vit au Sénégal, est aussi propriétaire d'une poissonnerie à Dakar. Il travaille depuis 30 ans dans le poisson et vient de créer à Dakar [Ocean Film  pour produire Mareyeurs et souhaite de produire bien d'autres films sur l'Afrique vécue par les Africains, ndlr], j’ai fait beaucoup de voyages au Sénégal. Pendant un de ces voyages, nous avons rencontré Ibrahim. Il m’a donné accès à sa vie. Je pouvais tout filmer, sans restriction.

A la fin, il ne voit pas d’autres solutions que de partir en Europe. Est-ce un film pessimiste ?

C’est un film réaliste et non pas pessimiste. Le poisson est réellement en train de finir. Et ce n’est pas un problème uniquement économique, parce que la majorité de la population se nourrit du poisson.

Dans le film, trois options apparaissent à l’horizon : premièrement construire des élevages de poisson; deuxièmement, à l’instar d’un collectif des femmes de la pêche, changer le fonctionnement de la société et troisièmement d’émigrer. Selon vous, quelle option va prendre le pas sur les autres ?

Je pense que l’option qui prendre le dessus est l’émigration. Et il faut donner les moyens au Sénégal et aux autres pays de l’Afrique de l’Ouest de pouvoir lutter contre la surpêche. Autrement, la population sera affamée et sera obligée d’émigrer. Et nous, on n’est pas prêt pour cela.

Votre film est intitulé Mareyeurs et non pas « Ibrahim ». Pourquoi avez-vous mis au centre de l’histoire le processus de travail chez les mareyeurs et non pas transformé Ibrahim en héros ?

Avec ce film, je voulais montrer la condition des mareyeurs. Après, naturellement, j’en ai choisi un qui donne son point de vue sur l’histoire. Mais, mon intention était vraiment de montrer quelle est la condition de ces personnes. Pour cela, le film s’appelle Mareyeurs et non pas « Ibrahim ».

Après le Fipa, votre film sera vu par qui et dans quels pays ?

Pour l’instant, nous n’avons pas encore une production officielle, même si cela ne va pas tarder. Nous espérons vendre le film en France, en Italie. Ensuite, nous espérons de le montrer aussi en Afrique et en particulier aussi dans les lieux de tournages pour le montrer aux personnes qui ont participé au documentaire.





RFI


Cette fillette de 2 ans fume une cigarette et ses parents ne disent rien...

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Comme parents irresponsables et inconscients, on trouverait difficilement mieux !
https://www.leral.net/video/

Mayweather et son chèque de... 100 millions en dollars US !

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Floyd Mayweather, qui adore exposer son immense fortune, a publié une photo du chèque de 100 millions de dollars qu'il a touché pour son combat face à Conor McGregor.
Mayweather et son chèque de... 100 millions en dollars US !
« LISEZ ce chèque à 100.000.000$. Tant que j’en recevrais des comme ça, je serais le dernier à rire. » Ainsi se régale Floyd Mayweather dans la dernière production du boxeur américain, postée sur ses réseaux sociaux. Un chèque à cent millions de dollars, sur la toile : le dernier aussi gros était une copie du chèque de la clause libératoire de Neymar. Là, c’est un chèque de la société de Floyd Mayweather, pour Floyd Mayweather. Emis au mois d’août de l'année dernière.
 

Floyd Mayweather se fait plaisir en postant l’image de son chèque monstrueux gagné face à McGregor

Ce petit bout de papier à neuf chiffres vaut au moins pour partie des revenus gagnés par le retraité des rings, après sa victoire sur l’Irlandais Conor McGregor. Ce combat ultra-médiatisé entre l’ancien champion du monde de boxe et la star des octogones de MMA avait été habillement marketé et vendu par la société de Mayweather, en tant que promoteur de l’affiche. Ces 100 millions de dollars ne font pas la totalité de l’argent gagné par celui qui se fait surnommer « Money ». Selon les estimations, il lui aurait rapporté entre 150 et 200 millions de dollars.

 

 


L'Imam de Sédhiou est à Touba pour la paix en Casamance

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Cette démarche est sûrement à mettre sur le compte du regain de violence qui a cours en Casamance tant les populations de la zone avaient commencé à oublier le bruit des canons et le spectacle d'hommes lourdement armés.


Real Madrid : la crise retombe sur Cristiano Ronaldo et Benzema

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À l'heure de désigner les responsables de la crise au Real Madrid, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo font presque l'unanimité… contre eux (le match gagné 1-4 ce jour face à Valence devrait leur faire du bien puisqu'impliqués dans 3 des 4 buts de leur équipe: ndlr).
Real Madrid : la crise retombe sur Cristiano Ronaldo et Benzema

L'embellie constatée dimanche face au Deportivo La Corogne (7-1) a fait long feu. Trois jours plus tard, le Real Madrid s'est incliné sur sa pelouse contre Leganés (1-2) en Coupe du Roi. Une élimination qui a réveillé la colère des supporters merengue. Lesquels réclament des têtes.

 

Le quotidien Marca a demandé à ses lecteurs, sur son site, quels joueurs méritaient d'être sauvés de la crise. Si Nacho Fernandez (84% d'opinions favorables), Luka Modric (79%), Daniel Carvajal (74e%) et même Gareth Bale (69%) conservent des partisans, ce n'est pas le cas de Karim Benzema et Cristiano Ronaldo.

 

L'international tricolore est pointé du doigt par 92% des votants ! Aucun autre membre de l'effectif ne fait pire. Suivent Théo Hernandez (87% d'opinions défavorables), Marcelo (76%) et Cristiano Ronaldo lui-même (même score). De quoi pousser un peu plus ce dernier à partir ?

 

Sylvain Opair


Donald Trump au président Kagame : « c’est un honneur de vous avoir comme ami »

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Donald Trump au président Kagame : « c’est un honneur de vous avoir comme ami »

Le président américain, Donald Trump, a rencontré le président rwandais, Paul Kagamé à Davos en Suisse. Une rencontre qui intervient alors que le Rwandais s’apprête à prendre ses fonctions de Président de l’Union Africaine à la fin du mois.

Lors des négociations bilatérales, Donald Trump a déclaré que le président Paul Kagame était « un ami », selon BBC.

 

« C’est un honneur de vous avoir comme ami », a-t-il déclaré avant de serrer la main de Kagame.

S’exprimant après les pourparlers, le président américain a déclaré que c’était un grand honneur d’être avec le président Kagame, ajoutant : « nous avons eu d’énormes discussion ». Il a également transmis ses salutations aux autres dirigeants africains qui s’étaient récemment insurgés contre ses propos jugés racistes.

« Je sais que vous allez bientôt assister à votre première réunion, s’il vous plaît, transmettez mes sentiments chaleureux » a déclaré Donald Trump.

Kagame est crédité pour le rétablissement de la paix et la croissance économique au Rwanda après le génocide de 1994.

Ses critiques l’accusent de violations généralisées des droits de l’homme. Plusieurs rwandais ont été tués après avoir été contraintes à l’exil.


85 photos : Youssou et la Ndour family réunie à l’inauguration de la boutique de Aby Ndour

Ces empêcheurs de tourner en rond qui font la vitalité démocratique du Sénégal

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Avocats, rappeurs ou syndicalistes… De Senghor à Macky Sall, ils n’ont cessé de contester – voire d’attaquer – les dirigeants de leur pays, le Sénégal. Enquête.
Ces empêcheurs de tourner en rond qui font la vitalité démocratique du Sénégal

« Celui-là, vraiment, il nous fatigue ! » Devant son poste de télévision, Macky Sall vitupère. À l’écran, raconte un proche du président sénégalais qui assiste à la scène, l’avocat Seydou Diagne, coordinateur des défenseurs de Karim Wade, pourfend une nouvelle fois une justice qu’il accuse d’être aux ordres du Palais.

Nous sommes en juin 2015. Trois mois plus tôt, le fils de l’ancien chef de l’État a été condamné pour enrichissement illicite au terme du procès emblématique  de la « traque des biens mal acquis ». Pourtant, dans le camp présidentiel, la victoire est amère : le groupe de travail sur la détention arbitraire, qui dépend du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, a estimé que Karim Wade devait faire l’objet d’une « réparation intégrale » pour « détention arbitraire ». Seydou Diagne jubile. Il en est sûr, la décision fera date : « C’était un procès politique ! Notre objectif était de le faire reconnaître à l’international et de gagner la bataille de l’opinion. Nous y sommes parvenus. »

Son irruption discrète dans les grands dossiers politico-judiciaires, ce quadra la doit à un éminent confrère : Me Abdoulaye Wade, l’ancien président du Sénégal.  Dans une autre vie, en 1963, lui-même avait été l’un des avocats de l’ex-président du Conseil du Sénégal indépendant, Mamadou Dia, lors d’un procès éminemment politique qui reste à ce jour le plus controversé de l’histoire du pays .

Affaire Karim Wade

 

 

Pour Seydou Diagne donc, tout commence au lendemain de la défaite d’Abdoulaye Wade face à Macky Sall, en mars 2012. L’ancien président voit l’étau judiciaire se resserrer à vitesse grand V autour de ses anciens ministres et de sa garde rapprochée.

Conseillé par son entourage, il contacte Seydou Diagne, qui se met aussitôt à la tâche et remporte bientôt une première victoire symbolique, en faisant annuler par la Cour suprême les décrets de nomination du substitut du procureur et des magistrats de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

En décembre 2012, Seydou Diagne refait parler de lui quand Karim Wade, convoqué par la gendarmerie dans le cadre d’une enquête préliminaire pour enrichissement illicite, fait appel à ses services. Aux côtés de Ciré Clédor Ly, réputé pour sa fine connaissance de la procédure pénale, et de Demba Ciré Bathily, spécialiste des droits humains, l’avocat se plonge dans le dossier.

Dans l’affaire Karim Wade, malgré la condamnation finale, c’est nous qui avons gagné

Cette fois encore, les résultats sont rapides : en février 2013, la Cour de justice de la Cedeao recadre les autorités sénégalaises, remettant en question l’interdiction de sortie du territoire faite à plusieurs anciens ministres d’Abdoulaye Wade, dont son propre fils, et contestant la compétence de la Crei pour les juger.

À Dakar, les proches du chef de l’État s’agacent contre une décision qui s’apparente, selon eux, à une intrusion inopportune dans la souveraineté de la justice sénégalaise, et fulminent contre le trio d’avocats qui s’obstine à leur mettre des bâtons dans les roues.

Quelques mois plus tard, ce sont la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) qui pourfendent la Crei, qualifiée de « juridiction d’exception qui viole les droits de la défense et ne garantit pas de procès équitable ».

« Dans l’affaire Karim Wade, malgré la condamnation finale, c’est nous qui avons gagné, veut croire Me Bathily. Le peuple a pris conscience que ce procès était inéquitable et, sur le plan international, la défense a eu gain de cause dans toutes les procédures. »
 

Artisans de la vivacité démocratique

 

 

Avocats donc, mais aussi activistes, rappeurs ou syndicalistes, ils incarnent une liberté de parole ancienne au Sénégal : prompts à dénoncer – avec plus ou moins de mesure – les excès des gouvernants d’hier et d’aujourd’hui, ils contribuent depuis longtemps, à rendre vivace la démocratie sénégalaise. Quitte à le payer, parfois, d’un séjour en prison.

Les régimes sénégalais successifs, de Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, ont tous eu recours à la justice face à des détracteurs jugés gênants ou trop virulents, rappelle le politologue Babacar Justin Ndiaye : « Souvenons-nous que Cheikh Anta Diop avait été emprisonné sous Senghor,  tout comme le turbulent Serigne Moustapha Sy, sous Diouf.

Quant à Wade, qui avait lui-même payé d’un lourd tribut carcéral son statut d’opposant, il n’a pas hésité, une fois élu, à faire incarcérer des journalistes, comme El Malick Seck ou Madiambal Diagne. »

Porté par les échos du dossier Karim Wade, Seydou Diagne a été sollicité dans la quasi-totalité des affaires instruites contre d’anciens dignitaires du régime de Wade père, pour de présumés détournements. Il devient ainsi l’avocat de Bara Sady (l’ancien directeur général du Port autonome de Dakar), de Ndongo Diaw (qui dirigeait l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes), de l’ex-député Alioune Aidara Sylla, de l’ex-sénatrice Aïda Ndiongue, de l’ancien conseiller présidentiel Thierno Ousmane Sy et de quelques autres.

Affaire Khalifa Sall

 

 

« À l’exception d’Aïda Ndiongue devant la Cour suprême, aucun d’entre eux n’a été condamné, s’enorgueillit-il. Certains ont déjà obtenu un non-lieu, et dans plusieurs affaires, la chambre d’accusation de la cour d’appel a reconnu la légèreté des poursuites. »

Macky Sall, qui achèvera début 2019 son premier mandat, a vu certains de ses alliés d’hier se transformer en potentiels « enquiquineurs »

C’est donc tout naturellement que le trouble-fête en robe noire intervient depuis mars 2017 dans un autre dossier sensible, celui de Khalifa Sall,  le député et maire de Dakar, quitte à irriter une nouvelle fois la présidence.

Sa méthode n’a pas changé : face à une procédure qu’il estime « politique », lui et ses confrères – emmenés cette fois par Me François Sarr – s’appliquent à jouer les grains de sable. « Si Khalifa Sall a été élu député en 2017, il le doit en partie à ses avocats, assure-t-il. L’État entendait le faire condamner au plus vite, mais nous avons multiplié les recours, ce qui lui a permis de se présenter avec succès aux législatives. »

Hier, porté au pouvoir par une vaste coalition réunissant les principaux leaders politiques du pays et par une large frange de la société civile, Macky Sall, qui achèvera début 2019 son premier mandat, a vu certains de ses alliés d’hier se transformer en potentiels « enquiquineurs ». « Quand on arrête des leaders politiques au moindre dérapage verbal, quand on interdit des marches pour des raisons injustifiées, cela pose un sérieux problème à la démocratie », déclarait en 2016 sur Walf TV, Seydi Gassama, le directeur exécutif de la branche sénégalaise d’Amnesty International.

« C’est une justice à deux vitesses. Si l’opposition n’est pas capable de jouer son rôle, il n’y a plus de démocratie. Macky Sall est en train de se “Yahyajammiser” », ironisait quant à lui le rappeur Thiat, du groupe Keur Gui, l’un des fondateurs du mouvement citoyen Y’en a marre, lequel avait soutenu la candidature de Macky Sall face à Abdoulaye Wade.

Goût pour les débats

L’activiste Guy Marius Sagna a lui aussi rejoint l’autre rive. Entre 2011 et 2013, il était le coordinateur à Tambacounda du Mouvement du 23-juin (M23), qui alimentait la fronde contre le troisième mandat d’Abdoulaye Wade. Mais, depuis 2014, ce travailleur social mène le combat contre les accords de partenariat économiques (APE) avec l’Union européenne, ce qui n’est pas du goût du pouvoir.

« En 2016, on m’a arrêté à quatre reprises lors de manifestations anti-APE. Et depuis 2014, à la suite d’un rapport que j’ai rédigé à propos de détournements financiers à l’hôpital de Sedhiou, on m’a muté à Dakar dans un bureau sans eau, ni électricité ni toilettes », raconte le trublion.

Macky Sall est plutôt blasé par les gens qui critiquent systématiquement son action

En janvier 2017, Sagna a aggravé son cas en rejoignant la croisade anti-franc CFA, puis en dirigeant la coalition ayant porté à l’Assemblée nationale l’ancien inspecteur des impôts Ousmane Sonko, un autre empêcheur de tourner en rond notoire en croisade ouverte contre le camp présidentiel.

Des anathèmes en série relativisés par Babacar Justin Ndiaye : « Pour le meilleur ou pour le pire, les Sénégalais ont vécu un compagnonnage colonial long et intense avec la France dont ils ont notamment retiré un goût pour les débats et la controverse plutôt que pour la violence brute. C’est un tempérament avant que d’être un engagement : c’est notre façon à nous de secouer le cocotier sans toutefois le mettre à terre ».

Macky Sall en est-il affecté ? « Le chef de l’État est plutôt blasé par les gens qui critiquent systématiquement son action, témoigne l’un de ses proches. Je ne l’ai jamais entendu commenter leurs sorties. Il arrive que cela le contrarie, mais généralement il fait le dos rond. »

Les Sénégalais ne se laissent pas faire

Reste une consolation pour le régime actuel, que ses scores électoraux récents incitent à l’optimisme en dépit des interpellations venimeuses : depuis 2012, les journalistes fouineurs se font plus rares. Madiambal Diagne, le patron du Quotidien, ne fait pas mystère de sa proximité avec Macky Sall, même si celle-ci ne l’empêche pas de prendre régulièrement le gouvernement à rebours. Quant à Abdou Latif Coulibaly, fondateur de La Gazette et journaliste d’investigation emblématique des années Wade, il a tourné la page, après vingt-six ans de combat éditorial, pour entrer au gouvernement.

Si des éditorialistes engagés (tel Pape Alé Niang), le site de fact-checking Africa Check et quelques blogueurs aux révélations plus ou moins fiables, continuent d’alimenter la flamme du quatrième pouvoir, « les médias sénégalais sont trop tributaires des enveloppes offertes par les politiques », déplore un Twittos à la plume alerte. Plus optimiste, Babacar Justin Ndiaye estime quant à lui que l’on « peut bien interdire les manifestations ou emprisonner les trouble-fête : aujourd’hui comme hier, les Sénégalais ne se laissent pas faire ».


Sus aux « fake news »

« Le PM menace les emmerdeurs », titrait, en septembre 2016, un site d’information sénégalais, après l’avertissement sans frais lancé par le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne. Dans son viseur, les journalistes, leaders politiques et membres de la société civile qui, depuis la découverte de gisements gaziers et pétroliers en 2014, se répandent en conjectures sur des conflits d’intérêts occultes et autres soupçons de prévarication, quitte à propager fantasmes et rumeurs à propos de cette manne encore virtuelle. « Désormais, quiconque diffusera de fausses nouvelles s’exposera à la rigueur de la loi pénale », avertissait le Premier ministre.





Jeune Afrique


Jean-Marie Biagui : "L’ennemi n’est jamais que celui qu’on n’a pas encore rencontré"

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[Je veux rendre hommage, ici, au courage assumé et à l’honnêteté intellectuelle de Cheikh Yérim Seck, qui, de manière réitérative et constante, publiquement, considère le MFDC comme un ennemi irréductible, avec lequel il proscrit tout dialogue et donc toute rencontre. Il est, à ce titre, à l’extrême opposé de beaucoup d’intellectuels et autres acteurs politiques et de la société civile, que j’ai eus le privilège de rencontrer à maintes reprises – j’étais alors le Secrétaire Général du MFDC – mais qui, pour leur part, se refusent manifestement obstinément, aujourd’hui encore, à me rencontrer. Du moins, intellectuellement honnêtement s’entend.]
Jean-Marie Biagui :

 
 
Si la posture des autorités, face au Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), était, objectivement, qu’elles n’ont pas d’ennemis en Casamance, mais qu’il n’y a que des hommes et des femmes qu’elles peinent tant à rencontrer, sinon à « rencontrer » ;
 
Le drame de Boffa-Bayotte survenant si cruellement le 6 janvier 2018 (quatorze personnes tuées par des hommes armés non-identifiés à ce jour), soit une petite semaine après l’appel du Président Macky Sall, appelant justement, une fois de plus, ses frères et sœurs du MFDC à la « paix des braves, sans vainqueur ni vaincu » ;
 
Si, au demeurant, les autorités se donnaient la peine – et, croyez-moi, cela en vaudrait la peine, vraiment ! – de voir, dans la condamnation unanime de ce forfait par toutes les factions du MFDC, un soupçon de sincérité, et seulement un soupçon de sincérité de leur part ;
 
Ce qui reviendrait, pour ainsi dire, à reconnaître quelque humanité aux hommes et femmes réunis au sein de ces factions du MFDC, voire simplement ce qu’il leur en resterait ;
 
Fût-ce, aussi et surtout, au nom de la paix ;
 
Alors, et seulement alors…
 
Alors, tous deux, l’Etat et le MFDC, apprendraient, certainement, à se faire confiance mutuellement, pour rompre à tout jamais avec ce postulat qui veut que, quoi que le MFDC dise, ce sera toujours sa parole contre celle de l’Etat. Et vice-versa.
 
Alors, tous deux, l’Etat et le MFDC, ne (re)découvriraient pas seulement que le conflit en Casamance est absurde, mais que l’état de ni guerre ni paix qui y prévaut est tout aussi absurde, voire autrement plus absurde, pour être propice à toutes les formes de mafia.
 
Alors, tous deux, l’Etat et le MFDC, certainement, ne passeraient point à côté de ‘‘quelque chose’’.
 
Or, qu’est-ce c’est en l’occurrence que ce ‘‘quelque chose’’ ?
 
Ce ‘‘quelque chose’’, par exemple, et pour ne considérer que cet exemple, c’est qu’il existe des zones en Casamance qui sont sous le contrôle exclusif du MFDC. Et qu’il en sera ainsi, aussi longtemps que l’Etat et le MFDC s’inscriront dans la dynamique de paix initiée conjointement. Et qu’il ne faut pas se voiler la face devant cette vérité de fait. De sorte qu’il y a comme un paradoxe, au vu de cet état de fait, à dénier au MFDC le droit et le devoir réunis de faire la police dans lesdites zones.
 
Rappelons, tout à propos, qu’une ligne de démarcation, autrement appelée ‘‘ligne rouge’’, participe littéralement de la sanctuarisation des « zones sous contrôle du MFDC ».
 
Rappelons, aussi, que la zone de Boffa-Bayotte, où la tuerie du 6 janvier a eu lieu, est sous le contrôle exclusif de l’armée nationale.
 
Or, faire la police dans ces zones-là de la part du MFDC, avec l’accord formel des autorités, pourrait certainement aider à neutraliser la mafia sous toutes ses formes en Casamance.
 
En l’espèce, le MFDC pourrait interpeller de présumés agresseurs de la forêt ou de l’environnement, pour ensuite les mettre à la disposition de l’autorité compétente.
 
Encore qu’il faille, préalablement, délester les services d’Etat locaux concernés de toutes leurs brebis galeuses.
 
Il me souvient d’ailleurs que l’Etat et le MFDC conviennent, en ‘‘off’’ tout au moins, de la nécessité de combattre la mafia sous toutes ses formes en Casamance. Et ce, « par tous les moyens ».
 
Mais qu’entend-on par ce générique commun, si commode, ou plutôt si accommodant ?
 
Et si, qui plus est, les auteurs du forfait de Boffa-Bayotte, si condamnable soit-il, n’avaient fait que les sales boulots ? Précisément en lieu et place de l’Etat d’une part, et du MFDC d’autre part ?
 
Quoi qu’il en soit, l’Etat et le MFDC pourraient voir – ils le devraient même ! – dans ce modus operandi là, non seulement un levier de realpolitik qui participe d’un modus vivendi bien pesé et bien réfléchi entre l’Etat et le MFDC, mais un préaccord de paix, en prélude à celui que nous appelons tous de nos vœux : l’accord de paix définitive sanctionnant la fin définitive du conflit en Casamance.
 
Dakar, le 28 janvier 2018.



 
Jean-Marie François BIAGUI
Président du Parti Social-Fédéraliste (PSF)

Visite d’Etat du 1er au 3 février : Macron et Macky Sall aborderont la coopération économique, l’avancement du chantier du TER et certains dossiers sécuritaires

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Visite d’Etat du 1er au 3 février : Macron et Macky Sall aborderont la coopération économique, l’avancement du chantier du TER et certains dossiers sécuritaires
Le président de la République française effectuera un déplacement du 1er janvier au 3 février 2018, lors duquel il doit notamment rencontrer ses homologues en Tunisie, puis au Sénégal avec un agenda chargé à Dakar
 
Emmanuel Macron  est attendu à Dakar le 1er février au soir.
 
Le lendemain matin, Macky Sall le recevra au palais de la République. « Ils aborderont des sujets de coopération économique, comme l’avancement du chantier du TER, ainsi que certains dossiers sécuritaires, qui intéressent particulièrement la sous-région », explique une source à la présidence sénégalaise.
 
Il sera aussi question d’accès à l’éducation : après leur entretien, les deux présidents se rendront au Centre international de conférences Abdou-Diouf (Cicad), pour participer au sommet du Partenariat mondial pour l’éducation (PME).
 
Plusieurs de leurs homologues, comme Mahamadou Issoufou (Niger), Roch Marc Christian Kaboré (Burkina) ou Faustin Archange Touadéra (Centrafrique), ont confirmé leur participation.
 
La star barbadienne Rihanna pourrait être de la partie – ambassadrice du PME, elle a déjà été reçue à ce titre par Macron à l’Élysée en juillet dernier.
 
Le 2 février au soir, ce dernier devrait rendre visite aux militaires français basés au Sénégal et prononcer un discours devant la communauté française au lycée Jean-Mermoz de Dakar.
 
Le 3 février, il confluera son voyage à Saint-Louis, où il compte aborder la question de la lutte contre l’érosion côtière et le réchauffement climatique. Un discours est prévu sur la place Faidherbe.

Avec Jeune Afrique
 

Suspension de la grève des concessionnaires: Le Pm sauve Dakar des ordures, 3,5 milliards seront versés incessamment

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Suspension de la grève des concessionnaires: Le Pm sauve Dakar des ordures, 3,5 milliards seront versés incessamment
Les concessionnaires du nettoiement ont mis fin à leur mot d’ordre de grève. Cette décision fait suite à une médiation du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne. L’annonce a été faite par Ndongo Fall, vice-président du collectif des concessionnaires sur les ondes de la Rfm.
 
Selon le vice-président du Collectif des concessionnaires, « le Pm a promis de verser un montant de 3 milliards et demi au plus tard mardi et le reste sera versé après. Il a confirmé les dires du ministre du Budget Birima Mangara ».
 
 « On a eu des discussions avec le Pm dans la nuit du samedi au dimanche et en tant que des citoyens, nous ferons le maximum dès lundi pour enlever les déchets dans les rues de Dakar ».
 


Cession du terrain à l’Apr : le syndicat de DDD récuse les arguments de Me Moussa Diop et l’invite à un débat public

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Cession du terrain  à l’Apr : le syndicat de DDD récuse les arguments de Me Moussa Diop et l’invite à un débat public
La sortie de Me Moussa Diop sur la gestion de Dakar Dem Dikk et la vente de deux parcelles de terrain à l’APR (pouvoir) n’a pas convaincu le Syndicat majoritaire de la boîte. «Il (Me Moussa Diop a parlé comme si tout passe bien, alors que tout va très mal à Dakar Dem Dikk.

Certes, il y a certaines parties de ses propos où on peut porter réserve. Mais, sur le foncier, rien de ce qu’il a dit ne m’a convaincu
», a réagi sur la Rfm, Mamadou Goudiaby, secrétaire général de l’Union démocratique des travailleurs de DDD.

Dans un communiqué de presse parvenu à Leral mardi 2 janvier 2018, le Secrétariat exécutif national de l’Apr annonçait l’acquisition d’un terrain de 2000 m2 sur l’Avenue Cheikh Anta Diop, pour les besoins de la construction de sa future permanence. Plus tard, une vive polémique s'est installée.

Et pour cause, le site en question situé à Mermoz, sur le prolongement de la route de Ouakam, faisait partie du patrimoine de la société nationale de transport Dakar Dem Dikk. Face à la presse hier, le Directeur général de la société publique de transport a affirmé qu’aucun texte juridique ne l’empêche de vendre à celle ou celui qui a acquis ces deux terrains. Mieux, Me Diop, a ajouté que «les autorisations ont été respectées à l’interne comme au niveau de l’administration ».

Pour éclairer la lanterne des Sénégalais sur cette affaire, Mamadou Goudiaby l’invite à un débat contradictoire. « J’invite tous les organes de presse à organiser un débat contradictoire entre Me Moussa Diop et moi », lance M. Goudiaby, annonçant dans la foulée une rencontre avec son staff et une conférence de presse pour apporter les éléments de réponse aux propos de Me Moussa Diop.




Leral.net

Cession du terrain de DDD à l'Apr: : Me Moussa Diop nie toute illégalité et apporte ses preuves (Vidéo)

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Le Directeur de Dakar Dem Dikk (DDD),Me Moussa Diop s'est prononcé samedi, sur la vente de deux (02) parcelles de la société qu'il dirige à l'Alliance pour la République (pouvoir). Face à la presse, le patron de la société publique de transport a affirmé que cette cession s'est faite dans le respect exclusif des intérêts de DDD.
Dans un communiqué de presse parvenue à Leral mardi 2 janvier 2018, le Secrétariat exécutif national de l’Apr annonçait l’acquisition d’un terrain de 2000 m2 sur l’Avenue Cheikh Anta Diop, pour les besoins de la construction de sa future permanence . Plus tard, une vive polémique s'est installée. Et pour cause, le site en question situé à Mermoz, sur le prolongement de la route de Ouakam, faisait partie du patrimoine de la société nationale de transport Dakar Dem Dikk. Le directeur général de la boîte, Me Moussa Diop a tenu une conférence de presse hier samedi, pour apporter des clarifications sur cette affaire.

"Dakar Dem Dikk est une S.A. Elle est propriétaire des dépôts de Mermoz et de Thiaroye qu’elle exploite, avec titres fonciers depuis 2015. Ce ne sont pas de propriétés de l’Etat du Sénégal, mais bien de Dakar Dem Dikk grâce à la volonté et à la diligence de la Direction générale », tient-il d'abord à préciser. Avant d'ajouter que "la vente des deux (02) parcelles de la société a été faite dans le respect exclusif des intérêts de Dakar Dem Dikk et de ses salariés, avec un respect des prix réels du marché et une égalité de traitement: Afin de rentabiliser le patrimoine de l'entreprise par une rentrée d'argent".

Selon lui, une autorisation du Conseil d'Administration de Dakar Dem Dikk a été émise pour viabiliser la façade du dépôt de Mermoz donnant sur l'Avenue Cheikh Anta Diop. Cependant, un expert agréé a été commis pour examiner la bande de terre promise à la vente. La valeur vénale moyenne comptable du terrain à cet endroit est de 500 000 F CFA le m2, donc un montant d'un milliard les 2000 m2."

« Depuis, août 2014, il y a un nouveau type de management de Dakar Dem Dikk. Les Sénégalais dans leur majorité saluent les efforts fournis et les résultats réalisés jusque-là par la Direction générale de l’entreprise, avec à sa tête. Me Moussa Diop. Nos compatriotes sont conscients, tout comme le Directeur Général, que seul le travail rigoureux et généreux constitue un bouclier et une réponse des meilleures contre toute tentative de diffamation et de distillation dans l’opinion de rumeurs. Le Sénégal émergent deviendra une réalité quand chacun, à quelque station où il se trouve, cultive l’excellente et la probité morale », a conclu Me Moussa Diop.




Ndèye Safiétou Nam Leral.Net
 

Cadeau d’arrivée à Macron : Le boulevard du Général De Gaulle rebaptisé Thiaroye44

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"Des Activistes sénégalais viennent de rebaptiser le boulevard du Général de Gaulle. Ce boulevard porte désormais le nom de #Thiaroye44 en hommage à nos morts, victimes de la lâcheté du bourreau français.....Le cadeau à Macron"
Cadeau d’arrivée à Macron : Le boulevard du Général De Gaulle rebaptisé Thiaroye44

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Suivez en direct le combat Modou Lô / Lac de Guiers 2

Match de catch entre papa et fiston: A ne pas recommander, "âmes sensiblles s'abstenir"

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Jeux entre papa et fiston, il y en a qui sont pour et d'autres, contre mais à y regarder de près...

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